Grandit dans une famille de personne honnête et aimable, William n’est pas plus différent que ses parents. Un cœur doux et paisible malgré le stress de son travail. C’est bien rare que quelqu’un va voir le Will-O être de mauvaise humeur… Quand tout va bien. Quand les choses ne vont pas comme planifiées, il devient un peu plus sérieux et même froid de temps à autre. La manipulation de la technologie bionique n’est pas quelque chose de simple et requière une grande patience à construire et à venir attacher au corps humain. Le déranger pendant ces moments était un risque potentiel de se faire gueuler dessus et se faire reviré de bord. William ne veut pas que les gens le prennent personnel. C’est simplement qu’en plein construction ou chirurgie, il a beaucoup de stress à gérer. Une seule petite erreur peut causer de grande perte ou bien même de grande douleur et c’est bien la dernière chose qu’il veut faire.

En dehors de son travail, il est très amicale et même assez drôle, semblant totalement différent que dans ses cabines. Nullement fait de malices et de mauvaises intentions, on dirait presque que c’est quelqu’un qui n’a vécu que du bon et qui donne que du bon. Will-O est en fait exactement comme ça. Il ne boit pas, ne prend pas de drogue autre que ses cigarettes (Et même là, il échange ça pour avoir un cure-dent dans la bouche au lieu, essayant de tranquillement s’en défaire). Il ne se bat que très rarement, dans des cas où il n’a pas de choix ou bien que sa colère déborde énormément. Un gentil nounours pour la plupart des cas. Toujours quelqu’un d’aimable à avoir autour.

William n’est pas ton homme typique, du moins venant de sa famille. C’est bizarre qu’il ne retienne pas vraiment de ses parents, d’allure et de taille. Il était près d’un mètre quatre-vingt-dix, bien plus grand que son père. Ça continue avec sa largeur, semblant avoir une masse musculaire et un ‘’châssis’’ bien plus épaisse. C’était à demander si il ne venait pas du voisin d’à côté. Ceci s’enforcit même avec ces cheveux noir et les yeux d’un bleu claire et pâle, un regard bien paisible.  Ça peut être bien étonnant avec ses multiples cicatrices au visage… Ce n’était pas des marques de combats, aucune lame ne l’avait coupé. C’était causé par l’accident de l’Arche, des matériaux qui n’étaient pas proprement sécurisés et quelques débris de verre. Ça lui donnait un air menaçant (ce qui n’était pas lui du tout) et une certaine présence dominante… Il avait la technologie pour les effacer, mais William avait peu de temps sur les mains avec l’accident de l’Arche et toutes les blessures et les réparations qu’il devait faire.

Sinon, pour retourner à sa taille et son épaisseur, ce n’était pas un petit homme. Il avait une belle définition musculaire, venant de ses plusieurs années de sports et sa nage fréquente. Il n’avait pas relâché même avec sa nouvelle job dans l’entreprise et ça paraissait bien encore maintenant. C’est aussi pourquoi il ne se gêne pas avec les vêtements, restant assez neutre dans les couleurs le plus possible… Et bien sûr, dans ses habits de travails quand il était dans ses cabines.  

William John était le plus jeune de deux enfants de la famille Swanson. Née dans la ville d’Edmonton, Alberta, sa famille n’était pas des êtres sans sous, pas du tout.  Étant le fils d’un grand architecte, c’était bien clair qu’il y avait de grande attente venant de lui et sa grande sœur. Ce n’était pour dire qu’au moins, ils auraient les ressources pour devenir des personnes d’importance s’ils le désiraient. L’enfance de William était bien simple en fait, n’ayant rien d’inhabituelle autre que son talent en dessin. Il adorait dessiné et créé, tout comme son père. Un de ses passe-temps favori était de dessiné quelque chose puis utiliser des blocs de plastics  pour en faire un modèle réduit ou simple.  C’était un grand plaisir et son père adorait le voir aller, ayant beaucoup de support pour le pousser à laisser aller son imagination.

Quand vint le temps du secondaire, le jeune garçon avait déjà prouvé être quelqu’un de grande intelligence et un athlète bien talentueux. Les classes n’étaient rien de particulièrement difficile, surtout venant dans les sciences et les maths. Pour lui, les calculs, la compréhension de la biologie, la chimie et la physique étaient de simples tâches qui mettaient quand même un effort pour accomplir avec perfection. Sa sœur n’avait pas autant de chance dans ses capacités à comprendre ce genre de chose, mais au moins, elle avait quand même son propre domaine où elle semblait excellée. En dehors des classes, il y avait aussi les sports et ses arts aux papiers. Ce qu’il préférait dans les sports? Le volley-ball. C’était un sport technique, rapide et qui demandais une grand précision, tous des choses dans lesquels William dominait. Il n’était pas quelqu’un d’une grande force physique (malgré sa taille) et il ne voulait pas passer du temps dans les salles d’exercices, mais adorait la nage. Il évitait les sports qui demandaient du contact physique avec les autres. Il n’était pas quelqu’un de brusque ou de violent, loin de là. Il était patient et calculateur. Il préfère éviter la violence et résoudre un problème avec connaissance et logique. Ses arts le prouvaient aussi, car il était délicat et précis dans ses traits de crayon et portait une grande attention aux détails.

En contraste avec ceci, il n’était pas le gars le plus sociable. Ce n’était pas quelqu’un qui se faisait intimider hors des cours mais ce n’était pas quelqu’un à aller vers les autres. C’était quelqu’un à son affaire, travaillant fort pour ses études et ses sports et se laissant peu de place pour le sociable. C’était bien étrange, car il n’haïssait  pas être avec les gens, loin de là. Il n’avait simplement pas le temps. Et, de plus, c’était clair que ce n’était pas vraiment un chef non plus; c’était un suiveur. Il fait ce qui est demandé et c’est tout.

Le secondaire entier ce passa comme ça et venu à sa graduation, il restait encore un petit mystère pour William; Où allait-il aller après ça? Il voulait poursuivre dans des études universitaires, mais dans quel domaine? C’était une question qui s’était posé longuement après sa graduation. Avec les très bonnes notes et son talent au volley-ball, quelques universités lui avaient offerte de généreuses bourses pour aller à leur campus… Sauf que sans idée de quoi il voulait faire, ce n’était pas géniale. Ce processus prit du temps en fait, au moins une année où ses parents l’avaient aidé à trouver quelque chose. Il finit par trouver quelque chose, mais ce n’était pas vraiment de la façon qu’il aurait espéré.

C’était la fête de la grande sœur, pour ses 21 ans et la famille avait planifié une fête avec quelques amis et autres membres de la famille. Les quatre étaient dans le même véhicules et un accident c’était produit, un violant accrochage qui causa la perte totale du véhicule. Le seul qui finit conscient dans cette situation tragique était la mère, qui avait fait de son mieux pour sortir tout le monde… La seule personne qu’elle put sortir était le père, laissant William et sa sœur dans l’écrasement du véhicule. Ce prit peu de temps pour les urgences d’arriver et de retiré les deux de là et partir avec les quatre aux urgences. Le séjour sur le lit d’hôpital n’était plaisant pour personne, mais heureusement, William et ses parents ont eu des blessures qui pouvaient se guérir avec le temps… Mais la sœur n’était pas aussi chanceuse. Les docteurs ont dit qu’elle avait perdu son bras et que la seule chose qu’ils pouvaient faire était installé un bras bionique. Les parents n’ont même pas hésités, payant ce qu’ils devaient payer pour que ça arrive.

William, pendant les quelques jours que sa sœur devait rester à l’hôpital, il y resta avec elle. Quoi d’autre avait-il à faire? Pas grand-chose. Il ne travaillait pas pour le moment et restait à la maison avec ses dessins ou bien allait au gym. Il avait la chance de la voir qu’une fois que la chirurgie  et son éveille la journée d’après… William était bien content de la voir en bonne état, même avec les multiples cicatrices de l’accident. Et quand il alla prendre sa main, il remarqua l’extension bionique. Il n’en savait pas beaucoup, n’en voyant que rarement, mais c’était toute une surprise. Ça prit sa curiosité en voyant les doigts bouger et la jonction ou la chair et le fer se touchait. C’était un mystère comment le tout marchait, comment c’était possible.

Les prochaines semaines qui suivirent le retour de la sœur que William avait choisi sa voie universitaire : La technologie bionique. Il avait pris la chance qu’on lui offrait encore pour les bourses et les sports, voulant bien s’essayer d’évoluer dans cette technologie bien étrange et complexe. C’était un nouveau début, ayant maintenant quitté la maison et parti dans les États-Unis pour aller dans une des meilleures universités dans le monde. C’était tout un changement de paysage et même un peu intimidant pour William. Il était, en quelque sorte, seul maintenant sans sa famille ni le peu d’amis qu’il avait. C’était, par contre, une opportunité qui ne pouvait pas laisser de côté. Est-ce pour le mieux? Il allait bien le savoir.

Son ‘’aventure’’ commença assez bien, avec de très bonne notes les premières années, une compréhension adéquate de la robotique et de la kinésiologie. C’était une bonne base et en plus, sa place parmi l’équipe de volley-ball de l’université était faite. Les années qui suivirent eux commencèrent à tranquillement mettre beaucoup de pression sur l’homme du Canada. Il n’était pas un génie comme plusieurs dans sa classe, mais il suivait très bien avec beaucoup d’effort mit dans ses travaux. Ça se résumait encore bien avec aucune vie sociable vraiment, autre que les sports… C’est le moment où, pour tout ce qui se passait, il avait commencé à fumer du tabac. Non, il n’allait pas pour de la drogue dure ou bien pour la boisson. Il avait simplement besoin d’un petit quelque chose pour le détendre un peu avec tout ce travail. Ce petit quelque chose était tout ce qui lui fallait, car il réussit les dures années.

Les dernières années étaient bien spéciales. Il avait trouvé son rythme et sa cadence pour rester bien stable dans ses travaux et ses projets, ce qui veut dire qu’il avait finalement un peu de temps de sociabiliser. Il allait à des évènements sociaux, du genre concert de musique, fête et autre. Ce qui était bien étrange, William ne semblait pas être bien confortable. Est-ce les années qui passèrent à ses propres affaires? Surement, car il préférait que de petites soirées avec quelques amis et non de grand groupe. C’était, en même temps, comment il avait trouvé son travail temporaire. Il avait pris quelques leçons du père d’un ami, pour devenir un tatoueur. Son talent d’artiste sur papier l’avait aidé à entreprendre ce job, et il adorait même. Il n’avait aucun tatou lui-même, mais ça n’arrêta pas son talent avec les outils sous ses mains.

Il se rendit à la graduation avec d’excellentes notes, quelque chose qui rendrait ses parents fiers. Il avait réussi à sorti de cette université avec un bon diplôme en Technologie Bionique, mais ce n’était pas la fin de son séjour parmi cet institue. Il avait appris comment fonctionnait un membre bionique, comment le fabriquer, le programmer, le réparer si jamais c’était défectueux, mais pas comment le connecté à la chair humaine, ce qui semblait être une toute autre étude en soit. Ce serait quelques années de plus maintenant, mais il avait quoi à prendre? Rien, alors il entreprit le chemin sur la chirurgie bionique maintenant.

Ce n’était rien de particulièrement difficile, ayant mis encore cette effort pour surmonter le fais qui ne sois pas un génie comme quelques-uns de ses camarades de cours. Il continua le sport et son job au studio de tatouage comme normale, la vie allait bien. Venant à sa deuxième graduation, on lui avait même offert un boulot plus intéressant. Une opportunité de travailler pur une grande corporation dans l’innovation de la Technologie Bionique. C’était surtout le fais qu’il savait aussi comment installer la technologie qui avait attiré l’œil de quelques personnes. Ayant accepté sans hésitation, il semblait que la vie de William était devenu assez claire… Mais non, il avait encore une autre chose.

L’annonce de recrutement  pour une expédition galactique s’était ouvert… Et ils avaient besoin de nombreuses personnes avec bien des spécialités. Encore, William sauta sur l’opportunité d’aller plus loin dans sa carrière et joindre cette brigade. Pourquoi? Plusieurs raisons vraiment, mais en résumant bien clairement, c’était pour la famille et leur nom et pour l’humanité.

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