1,70 m plein de charmes. Ludmila est une très belle femme, ou plutôt une femme très sexy. Ses yeux violets contrastent avec ses cheveux blancs aux reflets légèrement bleutés. Ce que l’on remarque ensuite est sans équivoque sa paire d’obus. La polonaise affiche un bon bonnet D. Pour ne pas subir les outrages du temps, elle a rapidement opté pour une opération visant à réduire cette poitrine. Le chirurgien de l’époque lui avait proposé des implants révolutionnaires, en prototype. Elle dispose d’implants mammaires qu’elle peut configurer de manière réduite. Une évolution du bonnet de C à E ou bien une variation légère de la forme d’arrondi en passant par les fameuses pommes ou poires. La polonaise n’avait pas vraiment besoin de cela, mais cela renforce son atout sex-appeal avec la plupart des hommes qui la trouve poumonnée selon leurs goûts.
Elle est bien en forme, avec des formes harmonieuses et généreuses. De longues jambes et une taille assez fine.
Elle aime régulièrement utiliser un instrument de tatouage minute qui permet l’application de centaines de tatouages provisoire préprogrammés. Elle affectionne particulièrement des tatouages tribaux ou de dragons sur l’un de ses seins ou sur sa cuisse.

L’un des seuls dons de Ludmila est son sex-appeal. Un rien la rend sexy, y compris son uniforme. Toutefois, elle adore particulièrement se débarrasser de son treillis pour ne conserver que son gilet tactique qui ne cache pas grand-chose de sa plastique. Pareillement, elle préfère largement la version short de son treillis, voir la version mini jupe. Elle surf joyeusement avec les trous en matière de règlement à ce sujet. Elle énerve autant qu’elle plait dans les hautes sphères du commandement à cause de ses tenues militaire à la limite du vulgaire.

Malgré sa carrière militaire, elle a su conserver un corps sans cicatrice qu’elle entretien régulièrement. Elle est particulièrement soignée. Il le faut bien avec son hygiène de vie parfois douteuse.

Née en Pologne, Ludmila passe sur terre, une enfance heureuse et insouciante. L’enfance, c’est bien le moment qui aura marqué à jamais la belle jeune femme. Elle est d’ailleurs depuis bloqué dans ces années là : Insouciante et amusement.
Il n’y a pas grand chose à dire jusqu’à sa majorité. Elle va à l’école, s’y amuse, n’apprends pas, se débrouille. Elle y est médiocre, ni plus, ni moins, juste ce qu’il faut pour ne pas être cataloguée dans les cancres.
Le collège est pareil, si ce n’est qu’elle commence à s’intéresser aux garçons et les garçons s’intéresser à elle. C’est à cette période qu’elle découvre son réel pouvoir. Contre quelques câlineries, elle fait faire ses devoirs, copie sur ses voisons. Elle est l’une des filles les plus populaires sans que pour autant elle soit en vue de tous. Les garçons l’aiment bien, mais ne s’affichent pas ouvertement avec elle.
C’est aussi l’âge de la rébellion et de la crise d’ado. Bêtises, musique subversive, tenues provocantes. Ses parents ne savent plus comment la gérer. Elle n’arrive à rien à l’école, refuse de tenter de s’améliorer pour assurer son avenir et en plus ramène des garçons à la maison !
18 ans …La coupe est pleine et Papa Galka s’énerve pour de bon et fout sa fille dehors, espérant que cela lui mettrait du plomb dans la cervelle et la forcerait à se bouger.
C’était sans compter sur sa nature profondément fainéante.
Après avoir donné quelques temps dans le squat chez des amis, les squats tout court, elle n’a pas trop d’autre choix que de cherche un boulot pour gagner sa vie. C’est à cette époque qu’elle croise dans un bar un recruteur pour l’armée terrienne. Ils passent quelques jours ensemble et il lui promet un poste tranquille, un salaire et des repas chauds si elle s’engage. En plus cela leur permettrait de continuer à ce voir.
Sur le moment, l’idée ne semblait pas si idiote que cela. C’est donc une signature plus tard que Ludmila intègre le prestigieux corps de l’infanterie mobile.
Après des classes catastrophiques, Ludmila est tout de même intégrée. Tireuse médiocre, implication néante, exercices physiques tout juste passables, c’est à la sueur de son corps nue que Ludmila obtient du sergent instructeur d’avoir un dossier légèrement revu à la hausse pour satisfaire les critères d’enrôlement. Pourquoi faire cet effort ? Et bien parce que la vie militaire lui convient. Des tas d’hommes, souvent bas du front, musclés et virils. Beaucoup de temps libre à glander quand on ne se fait pas remarquer. De bonnes opportunités d’avancement à grand renfort d’astiquassions de manches…
Enfin c’est ce qu’elle s’imaginait. Alors techniquement cela marche, même plutôt bien. Sauf que jusqu’à présent, la promotion canapé lui à tout juste suffit pour couvrir sa mollesse, ses bourdes et son comportement m’en foutiste. Elle a tout juste réussi à grappiller une promotion au grade de caporal, ce qui est plutôt pathétique pour presque 10 ans de carrière.
À côté de cela, comme à l’école, comme dans la vie en général, les gens l’apprécient. Ces compagnons d’armes savent qu’avec elle on s’amuse toujours, qu’il y a toujours de la place pour les copains qui passent.

Tout allait pour le mieux sur terre jusqu’à ce que les parties de jambes en l’air de la demoiselle l’amènent au bout du gland d’un colonel des services des ressources. Il s’en eut fallu de peu que la femme du dit colonel ne les surprenne sur le bureau. Le couperet n’étant pas tombé loin, le colonel s’imagina que pour la sécurité de son couple, pour que sa femme qui se doutait de quelque chose ne trouve rien à redire, il fallait que Ludmila parte….Qu’elle parte loin….Pourquoi pas à l’autre bout de la galaxie.

C’est un coup de tampon plus tard, un dossier rempli, validé en toute discrétion que Ludmila fut affectée dans l’une des unités d’infanterie mobile qui allait embarquer sur l’Arche.

L’Arche ?! Cette affectation allait être galère, Ludmila s’en rendait bien compte. Il n’y avait à bord que la crème de la crème, militaire, comme civile. Des scientifiques, des experts du combat électronique, des pilotes de chasses, d’armure Titan. Même les cuistots et les autres fournisseurs de services étaient parmi les meilleurs dans leur domaine, et pour cause : tous avaient été recrutés après un long processus de sélection qui n’avait laissé que les meilleurs sur les rangs. Tous…sauf elle.
Ludmila est loin d’être stupide et encore plus loin de se bercer d’illusion. Elle ne se croit pas meilleure que tout le monde. Elle sait qu’elle pourrait être meilleure que la médiocrité qu’elle affiche, mais elle n’en a tout simplement pas envie. Enfin elle ne brillerait jamais clairement, là n’est pas son talent, mais bon.
Mais au final, le talent social de la belle et sa chance insolente finiront par la tirer de ce mauvais pas comme toujours. Son talent social lui fait se faire apprécier, comme partout, de ses collègues, de ses chefs, de tout le monde. Appréciée, pas pour son expertise militaire, c’est certain. En revanche elle n’a nulle rivale sur toute l’Arche en matière de galipette. Il faut dire qu’elle a le physique et la lubricité pour. Sa chance insolente ? Et bien pour certain, le crash fut une tragédie, une catastrophe. Pour Ludmila, se fut juste la bénédiction de se retrouver dans un nouveau monde, du personnel parfois stratégique disparu…Un horizon plein d’opportunité. On ne pourrait pas lui reprocher son dossier et ses failles car on aurait besoin d’absolument tout le monde, même si cela veut dire quelqu’un d’un peu en dessous de ce qu’on attendait de cet équipage d’élite.

Cela fait maintenant quelques mois que l’Arche est là et notre belle prostituée de bord a su tirer son épingle du jeu. Son talent hors du commun pour louvoyer entre les emmerdes et ne pas se faire remarquer des mauvaises personnes a été mis à rude épreuve dans un vase aussi clos et surveillé à cause des circonstances, mais elle y est arrivée. La plupart des membres de l’équipage l’ont déjà sollicité pour ses bons soins. Elle prodigue ses prouesses sexuelles en échange de services et de matériel. Au début c’était cela. Puis accumulant les services et le fameux matériel, elle se dit qu’il serait bête et dangereux de stocker trop de choses. Elle commençât donc à faire du troc : Un paquet de clopes contre une tablette de chocolat, un tour de garde remplacé par un collègue contre les yeux fermés sur l’horaire de fermeture de la salle de jeu…Bref, elle organisa un petit marché noir des biens et services.
Elle est à présent assez incontournable lorsque quelqu’un veux quelque chose, ou juste baiser avec la fille la plus sexy du bord.

La polonaise n’est pas naïve, ni idiote, c’est déjà dit, et elle sait bien que cela n’aura qu’un temps. Les renforts arrivent, même si cela prendra une poignée d’années. Et même s’il n’arrive pas, l’Arche ne restera pas tranquille éternellement, accrochée à ce monde qui n’est pas le sien. Viendra tôt ou tard l’explosion de ce microcosme terrien sur cette planète. Elle tourne donc son regard vers ce monde où même elle, la cancre, la médiocre, pourrait être une génie de par sa simple connaissance issue d’un monde à la technologie avancée. Ne parlons même pas de la puissance qu’elle pourrait avoir avec quelques armements judicieusement choisis.
Elle se verrait bien princesse ou reine, vivant dans le luxe, la luxure et l’oisiveté. Ici ou sur terre, qu’elle différence ? Ah si, ici elle peut devenir quelqu’un qu’on respecte.