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Lautrec est un homme joyeux et généreux de nature, n'hésitant pas à aider ceux qu'il croise. Peut importe leurs rangs paysans comme noble. Il à un sens de la justice assez développé.
Plus que tout il est extrêmement curieux, ce qui lui à valu pas mal d'aventure et de mésaventure, plutôt intelligent il sait s’adapter à ce qui l'entoure cependant il reste un homme assez borné prêt à tout pour faire ce qu'il à décidé et ce même si cela est extrêmement dangereux, en soit sa jeunesse d'esprit reste un caractère dominant, préférant apprendre par l’erreur qu'écouter tout simplement les conseils d'anciens plus expérimentés.
D'un calme relatif il ne faut cependant pas le pousser à bout de nerf.
D'un point de vue, sentimental, il ne s'est jamais attachée à personne et ses voyages ne lui ont pas fournis d’expérience dans ce domaine même s'il n’a jamais dit non quand il s'agissait d'entrer dans le lit d'une charmante damoiselle
Lautrec est un homme de plutôt bonne taille, dépassant le mètre quatre-vingt cinq, il est d'autant plus imposant avec son armure dont il ne se sépare pas, malgré le fait qu'il est grandi à l’extérieur, il possède une bonne très blanche encore vierge de cicatrice imposante.
Possédant un musculature développée, il n'est pour autant pas vraiment une armoire à glace, certains le trouveraient même plutôt maigre.
D'un point de vue combatif, il fut formé très tôt au maniement de l'épée arme jugée plus noble par sa famille, ce fut d’ailleurs l'une des partie les plus importante de son enfance, partie qui fut bordée de sermons sur les devoirs d'un noble vis à vis de ses pairs et des habitants du commun
N'ayant pas de chez soi propre, il porte tout sur lui, que ce soit son nécessaire de toilette ou ses armes
Le plus souvent, on ne voit de lui qu'une armure grise, au dos de laquelle est fixée une cape rouge arborant le blason de la famille d'Astora
Son équipement se compose d'une épée bâtarde simple, couplée avec un écu reprenant l'emblème de sa famille.
Derrière les fentes de son heaume, on peut distinguer ses yeux, l'un des scintille d'un bleu de glace alors que l'autre est vert émeraude donnant à son regard un quelque chose d'étrange

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Lautrec d'Astora est la premier née de la famille Astora, minuscule parcelle de terre dans le duché de Ferrel, un simple château tenant l'unique route à travers le Crocs entre Turquoise et Ferrel.
C'est une famille qui n’a jamais joué un rôle majeur dans le labyrinthe politique de l'Empire de Talréa et l'arrivé de l'Arche ne changea rien
Fils du Baron d'Astora, il passa son enfance dans les forges du château, apprenant très vite à manier le marteau sur l'enclume. En tant que premier né on aurait pu croire qu'il aurait eu tout les égards de son père, et qu'il aurait donc logiquement dû être élevé de la meilleure façon possible. Or le Baron n’a jamais eu pour ambition d'élever sa famille, préférant la vie confortable bien que moins honorable de sa petite noblesse. Il préféra enseigner à son fils ce qui pourrait lui être utile, le combat, le code du chevalier, et comment veiller sur ses terres.
Le château de la famille Astora n’était pas vraiment un de ces havres luxueux dans lesquels les nobles sont assis sur du velours, non celui-ci était un bâtiment de guerre, ses hautes murailles de pierre avait vu les temps passer devant elle, et rien n'avait su les renverser
Lautrec ne devint donc pas un noble policé et resplendissant mais un parfait chevalier, plus à l'aise dans le fracas d'une bataille que dans les salon feutrés de la noblesse.
Très tôt le Baron décida que son premier fils se devait de connaître le monde avant de lui succéder, ainsi il le nomma chevalier.
Sa nomination fut une longue cérémonie pendant laquelle il se vit remettre l'armure de la famille, une antique pièce enchantée par un talentueux mage il y avait des éons de cela. Depuis cette armure passait de génération en génération et malgré l'age n'avait jamais subis les contraintes du temps
Il se retrouva donc bien vite sur les routes du royaume, parcourant sur son cheval les multiples duchés, sa cape sur les épaules officiant le plus souvent comme mercenaire pour subvenir à ses besoin sans l'aide du Baron
Bien sur le voyage fut dangereux, et seul, il ne put compter que sur son épée pour se protéger des bandits et autres créatures.
Faire une longue liste de ce qu'il vit lors de ses voyages ne serait pas utile, mais depuis, il peut se vanter d'avoir vu les gens du peuple des glaces et des harpie vivante, et surtout preuve de ses talents martiaux, il est encore en vie pour en parler

Qu'avez-vous fait durant ces deux années ?
Lautrec fut en quelque sorte changé par son combat contre la sombre possédée ou plutôt grâce à sa rencontre avec l'empereur. Même si ce n'était que de loin le chevalier eut, en voyant cet éminent personnage, une révélation. Alors que les cendres de l'attaque finissaient à peine de retomber il jura fidélité à l'empereur de Talrea et rejoignit la Garde Impériale. Son rang de chevalier lui imposa très tôt le commandement de nombreux gardes. Le chevalier fit de son mieux pour dynamiser ce corps d'armée déjà exemplaire. Même s'il ne fit que rendre les entrainement plus fréquent et plus dur dans un premier temps c'est lorsqu'il fut muté à la garde du palais que tout changea réellement. La famille d'Astora avait toujours montré son soutiens envers le trône et chaque noble de cette maison aussi insignifiante soit elle possédait un grand attachement à la famille impériale, et le meurtre de l'impératrice provoqua une grande colère chez le premier né de la maisonnée . Ce ne fut donc que de sa modeste place qu'il tenta de faire changer les choses. Le chevalier finit par travailler le jour et s’entraîner la nuit, jugeant que les chevalier d'Eiran avaient failli dans leurs devoir, il voulait tenter de rendre dans la mesure du possible la garde impériale plus efficace. Conscient que les chevalier d'Eiran le dépassaient dans de nombreux domaines, il à néanmoins perfectionné sa technique d'épée longue contre le plus d'adversaires possibles.    
Et si sa dévotion envers l'empereur est sans faille, il est conscient de n'être personne, cet état de fait le pousse à s'exercer de plus en plus durement chaque jour, et ce avec les gardes en factions.
En matière de commandement il ne croit pas dans le commandement à l'arrière mais bien celui du front, préférant mener les gardes sous son commandement par l'exemple. Est-il considéré comme farouchement loyal ou juste stupidement aveugle ? Lautrec ne saurait trop le dire se contentant de faire son devoir au mieux.

   

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