| JE M'APPELLE Joachim VonSchwarzenwald ET JE SUIS Diverses Informations Multi-Compte : Docteur en Archéologie | |
| (#) Sujet: Joachim vonSchwarzenwald, docteur en Archéologie Sam 9 Jan - 1:04 | |
| Identité du Personnage Informations Générales ▬ Nom : SonSchwarzenwald ▬ Prénom : Joachim ▬ Âge : 34 ans ▬ Genre : ♂ ▬ Groupe : Personnel civil ▬ Métier ou Fonction : Docteur en Archéologie ▬ Origine : Terre ▬ Nationalité : Allemand Psychologie & Physiologie Caractère Jochen est comme tout les hommes, ses hauts et ses bas, ses coups de gueules et coup de cœurs... Il n'est pas du genre à se laisser faire. Forte tête ? Peut être, mais ce qui est sur c'est que le jeune homme a hérité de ses ancêtre Germains la fierté qui a toujours été la leur. Il n'a pas à proprement parler le sang chaud, mais il n'hésitera pas une seconde à faire parler les poings si on lui en donne l'occasion. Le reste du temps, on trouvera un Aryen ouvert à la discussion, à la patience proverbiale, à l'optimisme réchauffant et au rire facile. L'Archéologue n'a beaucoup d'amis. Il est vrai qu'il est imposant et peut intimider, sans le vouloir, ceux qui l'approchent, mais une fois passé la première impression, et malgré un visage d'apparence hautaine, on s’aperçoit vite qu'il reste une personne sympathique et assez ouverte. Il est très fidèle en amitié et quand il donne la sienne, c'est pour très longtemps. Il croit en l'amitié, en la camaraderie aussi, l'esprit de corps est pour lui quelque chose qu'il faut respecter et favoriser, et ce à toute les échelles et quelle que puisse être la branche, qu'on soit bidasse ou grosse tête, on est tous dans la même galère, on doit tous donner du temps, du sang et de la sueur, ensemble, pour s'en sortir. Et si une fois qu'on a réussi, on peut tous aller s'en jeter un petit, alors tout va bien. Le jeune homme est fier, fier d'être un membre d'une des plus prestigieuses familles Allemandes, fier d'être arrivé au poste qu'il occupe, et ce par son seul mérite, par sa tête et ses capacités d'interprétation et non par sa "belle gueule" comme dirent certains de ses camarades d'étude. Sa fierté va de pair avec sa ténacité. Le jeune homme est quelqu'un d'assez obstiné et, quitte à se retrouver seul à travailler sur le problème, si on le lui donne, il se fait un point d'honneur à le mener à bien le mieux possible, même s'il n'a aucune compétence dans le domaine. Bien qu'étant un civil, il s'accorde parfaitement avec la rigueur militaire de mise au sein de l'équipage, elle ne lui est pas étrangère, il a été soldat dans l'infanterie mobile de la Fédération pendant trois ans avant d'entamer ses études et de servir comme réserviste. L'Armée a toujours fasciné le jeune homme, qui est un mordu de la Heer, l'Armée Allemande de la seconde guerre mondiale, se désolant juste qu'elle ai servi avec brio les desseins d'un mythomane psychopathe et sanguinaire. S'il n'a pas rempilé lorsqu'on le lui a proposé, c'est qu'il s'est également pris de passion pour l'étude des artefacts anciens, et la réserve lui permettait d'assouvir ses attentes martiales. Avec les femmes, le jeune homme est assez à l'aise, même si la gente féminine l'intimide un brin tout de même. Le docteur, pas macho pour deux sous, a en effet été longtemps pourchassé par les demoiselles dans sa jeunesse, jusqu'à ce qu'il aille au lycée et développe sa musculature. Ces incessantes courses poursuites ont légèrement traumatisé la jeunesse du jeune homme, qui n'avait jamais vraiment su comment se comporter avec les femmes, constamment sur ses gardes qu'il était. Il est parvenu à donner le change, grâce à ses études, dans des promotions composées à 85% de jeunes femmes, et, pour finir, ce traumatisme de jeunesse s'est mué en mauvais souvenir, ou du moins en une sorte de méfiance instinctive qui ne dure jamais trop longtemps... juste le temps du premier verre. Concernant ses loisirs, Jochen n'est guère compliqué, il passe une partie de ses loisirs à lire et apprendre d'avantage qu'il ne sait déjà, quand il n'aide pas à quelques tâches sur l'Arche. Il collectionne les livres, mais n'a malheureusement pas pu tous les apporter avec lui, il ne dispose que de facs similés de manuscrits écrits en latin et relatant les recherches d'un moine espagnol à propos des Mayas, ainsi que d'autres travaux se rapportant à des études sur les civilisations précolombiennes. Physique*froissements de papier* "Taille : 2.10m Poids : 113 kg Couleur des yeux : bleus Couleur des cheveux : Blonds Détail distinctif : impressionnante cicatrice lui parcourant le dos de haut en bas" Sur le papier, ça sonne bien, mais qu'est ce que cela donne en vrai ? Jochen est un véritable colosse. Même dans son pays il passe pour un homme plus grand que la moyenne, et de fait, sa taille et sa carrure en impressionnent plus d'un. Vu dans ses vêtements, il a les épaules larges et solides, des bras épais et musculeux, des mains à la poigne ferme, bref, pas vraiment le genre de type qu'on va aller provoquer comme ça, pour rigoler. Si on enlève les vêtements (pas tous quand même, restons un minimum pudique) on peut apercevoir des pectoraux bien dessinés, un ventre raisonnablement plat (et oui, Jochen est un gourmand gourmet et l'activité physique qu'il s'impose tout les jours suffit tout juste à lui éviter la naissance d'un embonpoint prononcé en entretenant sa musculature), des cuisses épaisses et puissantes à même de propulser le jeune homme au pas de course pendant quelques kilomètres, le tout recouvert d'une fine toison blonde. S'il se retourne, on peut apercevoir, sur son dos, l'impressionnante cicatrice résultant du passage trop près de celui-ci d'un missile d'exercice, et plus particulièrement de la trop grande proximité de la tuyère d'échappement des gaz propulsifs de l'engin avec la peau du jeune homme. Si on s’intéresse au visage maintenant, lui aussi est "typiquement Germanique" : mâchoires anguleuses, menton volontaire, traits fins sans paraître fragiles, nez droit aux proportions harmonieuses, yeux bleus surmontés de sourcils fins et blonds, chevelure blonde et relativement abondante, lèvres fines s'étirant souvent en un sourire dévoilant des dents blanches, ce visage prend souvent un air sévère, notamment quand le jeune homme réfléchit. La couverture capillaire de l'Archéologue, quand elle ne s'arrange pas au gré du vent, est souvent cachée par une casquette de type Feldmütze M43, une reproduction d'un modèle de la Wehrmarcht des années 1940 datant de l'époque où il pratiquait les reconstitutions historiques de cette période. Une bonne partie de la garde robe de Jochen est du même acabit, il a en effet de nombreuses vareuses de la Wehrmacht portant les galons du grade qu'il avait en quittant l'Infanterie Mobile, Lieutnant, et deux portant le grade qu'il a dans la réserve, Capitaine, et il n'est pas rare de le voir les porter par dessus une chemise ou un T-Shirt de couleur blanche ou noire. Concernant les pantalons, il préfère la modernité, se contentant d'agréables Battle-pants, bien pratiques du fait de leur grand nombre de poches et de leur solidité, ce qui ne l'empêche pas d'avoir apporté deux pantalons d'officiers de la Wehrmacht. Rassurez vous ceci dit, vous n'entendrez jamais le claquement des bottes, il leur préfère de solides chaussures de randonnée montantes et d'épaisses chaussures de sécurité, beaucoup moins casse gueules en terrain accidenté. Il ne part jamais sans son nécessaire d'Archéologue, une trousse en cuir qu'il a toujours à sa ceinture, et qui contient pinceaux fins, brosse, truelle, loupe, calepins, crayons, brefs, le minimum vital de tout Archéologue ne vivant pas dans son époque. Aucun bijou autre que le pendentif représentant la Ritterkreuz 1813, la fameuse croix de fer, dans laquelle il a dissimulé son OMV, ne vient compléter le portrait de notre jeune Docteur en Archéologie. Biographie Jochen est né à Munich, un beau jour de mai 2199, le 15 pour être précis, fils d'un notaire et d'une bibliothécaire. Ses parents, bien que membres d'une famille prestigieuse et fortunée, ont tenu à exercer un métier différent de ce à quoi les prédestinait l'appartenance au milieu aisé pour apporter leur modeste pierre au bon fonctionnement du pays. Très jeune Joachim baigna dans un environnement studieux et très porté sur les livres, la bibliothèque des VonSchwarzenwald était une des plus belles collection de livres papier de toute les époques et de tout types d'Allemagne. Privilégié ? Le poupon blond l'a certes été, privilégié, couvé, choyé, il n'a manqué de rien jusqu'à ce qu'il entre a l'école maternelle, première confrontation pour lui avec la plèbe. Le premier choc, il démontra de bonnes capacités d'adaptations et devin un des enfants les plus appréciés des institutrices. Les problèmes commencèrent quand les filles voulurent toute l'avoir comme "amoureux" dans leurs jeux, Jochen se retrouva pris entre deux feux, celui des filles le pourchassant et celui des garçons, jaloux, l’inondant de quolibets. Ce traumatisme là fut très difficile pour je jeune garçon. Et l'entrée au collège n'arrangea pas les choses. Plus porté sur la lecture que sur l'exercice physique, Jochen n'était pas très endurant, et se retrouva, en plus des filles dont le nombre avait augmenté, la cible des mauvais garçons de l'établissement. Bien souvent il ne devait son salut qu'à l'intervention des surveillants ou de son premier vrai ami, Hans Keller, un garçon blond lui aussi, un bon vivant qui respirait la joie de vivre. A son contact, le jeune Von Schwarzenwald commença a délaisser quelque peu les livres et commença à se muscler. Le lycée fut un autre épreuve, car il se retrouva dans un autre établissement que son ami, mais les deux jeunes gens gardèrent le contact, et Jochen, donc la stature était déjà impressionnante, n'avait plus à souffrir ni des poursuites des demoiselles, ni des tentatives de racket des autres. Tout comme au collège, il se plaça sans problèmes dans le peloton de tête, tout en pratiquant l'Aikido et le basket-ball. L'Histoire était sa matière préférée, peut importait le sujet, il brillait, s'attirant les félicitations du professeur. Une fois son bac en poche, il du décider d'une voie à suivre... mais il hésitait. Son ami Hans lui proposa de ne pas rester inactif et de tenter quelque chose, même si elle n'avait rien à voir avec ses matières de prédilection. Jochen décida donc de tenter l'Armée. L'Armée de la Fédération était en plein remaniement de ses cadres, et le jeune homme passa les concours d'entrée dans les écoles de sous officiers. La discipline de fer des Ecoles d'Aspirants fut une surprise pour l'aristocrate, qui s'attira quelques quolibets de la part de ses camarades, mais à force de persévérance, il fini par rentrer dans le rang, et devint, au même titre que tout les élèves de sa promotion, un des meilleurs élèves sous officiers de la Fédération. Lors d'un exercice, un missile failli mettre un terme à la carrière de l'élève Von Schwarzenwald. Une mise à feu accidentelle due à une surtension projeta l'engin sur Jochen qui ne du son salut qu'au sang froid d'un de ses camarades qui l'envoya au sol au moment ou le missile arrivait sur lui. La brûlure que causèrent les gaz d'échappement du projectile contraignirent Joachim à deux semaines de repos, valurent à son sauver une citation à l'ordre de la compagnie et une bonne expérience aux élèves médecins de l'infirmerie de l'école, et n'empêcha pas notre ami de sortir de l'école diplômé deux mois plus tard. Il fut versé au 389è Régiment Mobile de Potsdam, et commença sa vie de sous off' dans une caserne, vie partagée entre la surveillance des corvées, les rapports, la paperasse, les exercices et les affectations. Jochen adorait les exercices, aussi cherchait-il à les multiplier autant que possible, quelle que soit sa nouvelle affectation. Les supérieurs hiérarchiques du jeune homme, autant surpris qu'amusé par la propension de leur subalterne à inventer toute sorte de situations et exercices se prirent au jeu eux aussi, et ressortirent des cartons la vieille tradition allemande du Kriegspiele, avec application sur le terrain. Deux ans de ce régime fit découvrir à Jochen ce que signifiait être membre de l'Infanterie mobile. Partout où il allait, le modèle restait le même les hommes avaient le même état d'esprit, la même façon de voir la chose militaire. Ce que Jochen préférait chez ses hommes, c'était qu'avec eux, il n'y avait pas d'élite justement, l'esprit de corps et la camaraderie, la confiance mutuelle qu'ils se portaient tous avait supprimé toutes les barrières hiérarchiques, ils agissaient tous comme une seule entité. Il se sentait vraiment intégré, pour la première fois de sa vie, il n'était pas "l'autre" mais il était "un des nôtres", mais il sentait aussi que l'armée n'était pas son truc finalement. Il fit part à ses hommes et supérieur de son intention de ne pas rempiler, les uns acceptèrent les autres non, mais personne ne s'opposa vraiment à cette décision, et Joachim fut libéré dans ses foyers avec les honneurs militaires et le grade de Lieutenant. Une page était tournée, une autre allait commencer. Durant son service il était allé au Gabon, en Thaïlande, au Japon, il avait marché sur les restes de la muraille de Chine, salué un des bouhda rescapé des Talibans en Afghanistan, Visité Anghkor Vat, escaladé nombre de pyramides Maya et Inca, sué dans les Rocheuses et grelotté au pôle sud, il était riche d'incroyables expériences dans de nombreux pays de la fédération. Jochen s'inscrit à des cours d'Archéologie. Sans être le meilleur, là encore il se classa sans problèmes parmi les dix premiers, il se passionna pour les cultures précolombiennes et décida de faire sa thèse dessus, mais avant de pouvoir commencer sa thèse, qui allait le mener jusqu'au doctorat, il devait se farcir les années licence et master, et tout les aspects inintéressants qu'elles pouvaient receler. Mais pendant son service militaire, il avait pu développer son caractère obstiné, et il s'accrocha autant qu'il le pu. Certains professeurs, au vu de ses notes dans certaines matières, lui dirent qu'il ferait mieux de retourner à l'Armée, ce à quoi il répliquait qu'il était déjà réserviste. Il connu là ses premiers échecs scolaires, plus du à son aversion pour les sujets enseignés qu'à une réelle incompétence, et ne fit guère d'étincelles lorsqu'il décrocha son Master. En revanche, il enthousiasma ses professeurs référents lorsqu'il prépara son doctorat, il passa plus de temps sur le terrain qu'en Bibliothèque et acquis là bas de précieuses expériences qui lui servirent à étoffer le sujet de sa thèse. Cette dernière, portant avant tout sur divers légendes circulant sur les Chachapoya et leur véracité, les sujets écrits se trouvaient de toute façon bien rares. Traductions de cartouches Incas et Olmèques se succédèrent pour apporter leur contribution au travail du futur Docteur en Archéologie, qui obtint ce diplôme avec les félicitation du jury, le 30 Juin 2229, un mois et demi après son trentième anniversaire. Il travailla l'année qui suivit sur Callisto, se basant sur les récentes traductions de Reïn'ta pour trouver et explorer de nouvelles zones de fouilles et trouver leur rôle au sein du site. Il est bien entendu au courant du projet Arche, et a déposé sa candidature pour en faire partie, mais n'étant docteur que depuis peu, il ne se faisait guère d'illusions sur ses chances d'en faire partie. Et pourtant il reçu une convocation pour le départ de l'expédition, il avait été retenu, lui, le récent docteur en archéologie, avait été préféré à des puits de sciences en matière Archéologique... Il ferait partie de cette expérience unique ! Avec le recul, il comprend mieux pourquoi il a été sélectionné : il fallait une personne récemment formée, apte à s’accommoder de la mainmise militaire sur l'opération, ayant suffisamment de connaissances en Archéologie pour faire du bon boulot, mais n'en ayant pas forcément trop pour pouvoir s'acclimater plus facilement au nouvel environnement de recherche. Sa veste militaire sur les épaules, battle-pant et chaussures de randonnée, trousse d'Archéologue, Jochen est près à découvrir ce que ce nouveau monde est prêt à offrir. Ellipse des 2 ans Lors de l'incident de la Sombre Possédée, Jochen, en attirant l'attention du monstre, s'est mangé une magistrale mandale dans la tronche qui l'a envoyé valser dans la foret. Il perdit connaissance lors de "l'atterrissage" et n'émergea que plusieurs heures plus tard, dans un campement, le bras droit enserré dans une atèle, sa jambe gauche ayant subi le même traitement. Au vu de la douleur qu'il ressenti lorsqu'il essaya de bouger, il en déduit, qu'en plus de son bras et sa jambe, il avait quelques côtes cassées. Néanmoins, le fait qu'il a été soigné prouvait qu'il était aux mains d'un autochtone... qui s'avéra être une autochtone. Une superbe femme à la peau bleue l'observait, assise en tailleur. Après avoir vérifié que sa ritterkreuz n'était pas abîmée, Jochen entama la conversation. Il apprit ainsi que la femme bleue était une chasseuse du peuple des glaces, Isen Hyinen. Pendant les quelques jours qu'ils passèrent ensemble, Jochen acquis la certitude qu'elle était enceinte. Tout les matin, la belle chasseuse rendait tripes et boyaux. ses blessures empêchaient le jeune docteur d'aller voir comment la jeune femme allait, et son inquiétude s'affichait sur son visage. Mais la jeune femme l'assurait que tout allait bien. elle s'occupait bien de lui, notemment pour les bains... avec un bras en moins, l'hygiène pose souvent problème, sauf quand on est aidé. La chose était assez gênant pour le germain au début, puis cela devint presque naturel, il finit même par y prendre plaisir. Quand il fut capable de claudiquer Isen l'accompagna jusqu'à l'Arche, mais curieusement refusa de rester au sein du confortable vaisseau. Le Munichois fut un peu déçu mais s'était le choix de la future mère, et il se devait de le respecter. Il rongea son frein à l'infirmerie, et du faire son rapport sur les évènements survenus aux ruines. Le sergent et le reste de l'équipe étaient revenus saint et sauf, la harpie amicale aussi visiblement. Peu de temps après sa convalescence, Jochen réussi à convaincre les bidasses de retrourner aux ruines pour fouiller. Mais il avait une autre raison d'aller traîner ses basques dans le coin. La femme à la peau bleue occupait les pensées du jeune docteur en archéologie. Comment allait-elle ? Que devenait-elle ? Une fois la campagne d'études aux ruines lancée, Jochen commença à s'aventurer dans les bois. Il invoquait à chaque fois le fait qu'il pensait avoir vu d'aures ruines dans les sous bois, mais en fait, il partait à la recherche d'Isen. Quand il la retrouva, elle l'accueilli de façon plutôt sauvage. Elle semblait être revenue à l'état primitif. Décontenancé, le jeune homme n'en revint pas moins quelques temps après, et renouvela ses visites. A force de patience, l'archéologue finit par se faire accepter par la jeune femme. Il revint de plus en plus souvent, avec de la nourriture et divers autres produits (médicaments et savons entre autre), voyant que la jeune femme avait l'intention de mettre son enfant au monde en pleine forêt, Jochen voulait que l'évènement se déroule le mieux possible, pour la mère et l'enfant. Avec le temps, le ventre de la jeune femme s'arrondissant, certaines tâches devinrent impossible pour elle, naturellement, le germain se proposa pour l'aider... y compris pour les bains. C'est pendant un de ces bains que leur relation prendra un tour radical, et très agréable pour le jeune homme. Alors qu'il terminait de lui laver le dos par un petit massage, comme il le faisait habituellement, elle se retourna et l'embrassa à pleine bouche. Après un court moment de surprise, Jochen répondit avec passion et ce qui devait arriver arriva... ils couchèrent ensemble, et leur relation prit ainsi un carractère plus officiel. Le germain aida sa compagne à mettre au monde son enfant, un évènement qui le toucha énormément. Dès le premier cri du bébé, Jochen senti une vague d'amour paternel l'envahir, malgré le fait que l'enfant ne soit pas de lui, il considèrerai dorénavant Jörgan, nom choisi par Isen, comme le sien. Peu après les relevailles, Isen confie à Jochen une missive à expédier au père. Jochen s'en chargera et envoya le courier par messager du vent, un peu surpris par le fait qu'elle ne souhaite pas retourner dans ses terres natales. En fait, l'archéologue découvrit qu'elle souhaitait rester le plus loins possible des membres de son peuple, de manière catégorique,et quoi de mieux pour ça que de rester en pleine forêt ? Le campement devient la maison de la petite famille, même Leros, le lunae de sa compagne, participe à l'éducation du bambin. Jochen pour sa part, ne cesse de s'étonner de l'attitude de la jeune mère vis à vis de son peuple, mais n'en laisse rien parraître. Avec le développement du vilage de l'Arche, Jochen a eu la possibilité de se construire une maison. Il a décidé de s'intaller un pied à terre en pleine forêt... enfin un pied en l'air plutôt. Le fascécieux germain a installé son petit chez lui dans les massifs et solides branchages d'un gigantesque arbre, une petite maison en bois, cuisine/salle à manger, salon, deux chambres et un bureau, suffisament grand pour trois, même si Isnen n'aime pas être enfermée entre des murs, avec panneaux photovoltaïques et éoliennes pour l'électricité, citernes de récupération, décantation, purification pour l'eau courante. Il a installé un grand balcon à sa maison, pour que sa compagne puisse profiter du plein air si elle se sent trop oppressée. L'Allemand profite de l'instant présent avec sa petite famille. Il a une raison de plus de rester à Sorean désormais, la raison qu'il attendait, la seule qui vaille vraiment la peine. Informations IRL ▬ Pseudo : Rapier ▬ Âge : 28 ans ▬ Comment avez-vous connu le forum ? Partenariat Star Wars Destiny ▬ Quel code se cache dans le règlement ? OK by Vanessa▬ Comment était surnommé la nouvelle Reine de Feliona, avant d'être couronnée ? OK by Vanessa |
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