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L'arche de Sorëan :: La Terre des Discussions :: Archives V1 :: Fiches V1 des persos :: Loan et son copain imaginaire
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Message(#) Sujet: Loan et son copain imaginaire Loan et son copain imaginaire  EmptySam 23 Fév - 17:19

Loan Goldrain
IDENTITÉ
[One Piece ~ Trafalgar Law]
Nom : Goldrain
Prénom : Loan
Age : 24 ans
Sexe : Masculin

INFORMATIONS IMPORTANTES

Groupe : Inventeur
Métier ou fonction : Gribouillard - Inventeur d'une machine à dessin sur peau
Origine : Sorëan
Nationalité : Féliona - Duchet de Huss -


CARACTÈRE
« Mec, t’es bête comme tes pieds. Tu parles tout seul. »

La ferme la chose, comment peux-tu savoir qui je suis et ce que je suis ? Tu n’es même pas réelle, non, tu es un truc sortit de mon imagination. Tu es sortie de ma tête, simplement. Personne n’a su dire ce que c’était, on me prend pour un aliéné, quelqu’un de profondément bête. Allez savoir, je suis un homme qui ne contredit pas les autres, après tout, j’aime ma tranquillité, j’aime passer du temps à regarder les nuages, j’aime prendre mon temps. Je suis quelqu’un de calme et posé.

J’aime fumer et planer, j’aime simplement la tranquillité, je suis quelqu’un de physiquement calme, on me prend pour quelqu’un de calme, pour quelqu’un de posé, de totalement.

« Menteur et si tu leur disais la vérité Loan »

… Pourtant, vous vous trompez, je suis un faux calme. Souriant, presque flippant, je peux être quelqu’un de calme et de bonne compagnie. Comme quelqu’un de violent, quelqu’un de rancunier. Personne ne vous dira le contraire, temps que l’on va dans mon sens, tout va bien. Dans le sens contraire, je m’énerve… Je perds le contrôle et allez savoir, un coup est si vite partit…

Mes parents appelaient ça des crises de démence, des crises de folie, ainsi on m’enfonce un peu plus dans l’aliéné. Un être malade, à part. Si vous saviez.

« Dis leur à quel point tu parles bien »

Oui… Je parle bien. Je vous l’ai dit plus haut, je suis de bonne compagnie. Plus que ça, je suis aussi un homme qui peut avoir un langage d’affaire. Monnayer, marchander, je sais le faire avec un don bien développé. On pourrait me prendre pour un arnaqueur, quelqu’un qui a le langage commercial.

« Et moi ! J’existe moi, parle de moi »

Elle… C’est finalement celle qui me maintient ainsi, elle fait partie de moi. Elle fait partie de ce que je suis… Car je suis différent, tout le monde a su me le dire. En bien ou en mal. Nous sommes un tout…
J’ai peur du jour où elle disparaitra, j’ai peur du moment où je ne l’entendrais plus, du moment où je ne verrais plus sa matérialisation.

Car elle est la seule qui ne m’a pas laissé dans un coin…

« Gentil garçon »

PHYSIQUE
« Tu es laid Loan, dis leur a quel point tu es laid »

Je suis laid… C’est elle qui le dit, personne n’est repoussé par mon corps. Je ne suis pas trop grand, pas trop large d’épaule mais un peu quand même. Ouais, c’est ça. Avec des muscles dans la moyenne, travaillés et fins à la fois. Oui, ça fait beaucoup d’entre deux, c’est assez dur de se décrire quand on en a pas l’habitude.
Je ne suis pas assez narcissique pour ça.

Des jambes taillées pour l’attente, un corps robuste. Et le détail qui tue, j’ai les mains douce, souvent tachées d’encre, mais douce quand même. C’est assez bizarre quand même, je suis un homme et j’ai les mains… Douces… Comme si je n’avais pas assez de problèmes comme ça.

« Fais pas ta Mijaurée, décrit leur ton visage aux airs de fou »

Air de fou… Tout de suite. Mais bon. Si l’on remonte le long de mon torse, de mon cou, si l’on regarde mon visage, on pourra s’apercevoir qu’il est ovale. Des lèvres fines, souvent accompagnées d’un sourire en coin.
Un nez cassé, mais tout de même pointu. Oui, j’ai une bosse, mon père me l’a cassé lors de ma première crise de démence. Il m’a frappé trop fort. Pour me calmer il parait… Ouais, il parait.
Et finalement, mes yeux… Je n’ai pas les yeux vairons comme Moana, c’est un peu plus bizarre en fait. J’ai les yeux bleus et dans l’œil gauche on peut voir un quart doré/marron.

Finalement, mon crane est recouvert d’une tignasse noire, coiffée en brosse. Quand à mon menton, il arrive qu’il soit imberbe comme recouvert d’un duvet lui aussi noir.

« Montre leur l’œuvre d’art qu’est ton corps »

Tu me gêne, arrête. Je ne dois pas vous cacher que mon corps est parsemé de cicatrices. Des ratés d’expérience par ci par là… Mais aussi des dessins cicatrisés, car avant de tenter la pigmentation, j’ai finalement dessiné sur mon propre corps, avec un objet coupant. Fou ? Je ne sais pas, je ne pense pas, peut-être, je ne sais pas.
Demandez-lui, à la voix, elle vous répondra peut être.

Pourtant, il n’y a pas que ça. On peut voir sur mes mains et mes bras, des tatouages abstraits. Signe de mes premiers essais. Puis, plus on avant, plus on peut voir des choses finalement de plus en plus travaillées. Mon torse est pourvu d’un tatouage tribal. Mon cou est signé d’un tatouage de cicatrice qui faisait le tour de cette partie de mon corps. Ma cuisse droite est pourvue d’un paysage lunaire et finalement, l’intérieur de ma cuisse gauche est pourvu du même tatouage que possède Moana sur les reins.

« Tu es as moi, tu ne serais pas une œuvre d’art si tu ne m’entendais pas. Laideron »

HISTOIRE
« Tu es né. Savaient-ils seulement quels problèmes allaient les attendre ? »

Je ne pense pas non. Et toi ? Le savais-tu ? Toi qui me suis depuis ma naissance. Quoi que, non, tu n’as pas fait hurler ma mère pendant plus de dix heures, tu ne l’as pas faite souffrir pendant des heures. Tu ne lui as pas déchiré les entrailles en voulant sortir.
J’étais tellement bien dans mon petit ballon de liquide et de chaleur. Nourrit, logé. Rien de mieux.
Mais il a fallu que je naisse. Qu’ils soient fiers de ça. Mes fesses ouais. Vous n’avez jamais été fiers de moi. Je n’étais que la ressource. La petite idée de rechange au cas où Moana ne serait pas assez parfait.

Etiez-vous seulement au courant de mon ‘’problème‘’, de cette ‘’maladie‘’ qui me touche de ce qui fait de moi un homme apparemment simplet. Un fou. Un idiot. Un aliéné.

« Tu étais seul et je suis arrivée. Moi, celle qui fait de toi un être mal vue. Ton ami ? Non, ne rêves pas… »

Tu es plus une malédiction qu’une amie. Je n’ai jamais eu d’ami. Etant petit, j’avais des cours, j’avais des animaux, j’avais un frère à qui je ne parlais presque pas. J’avais des parents qui ne m’ont jamais fait sourire.
Ils n’avaient qu’un nom à la bouche ‘’Moana‘’. Et toi Loan, toi, tais-toi et révises tes leçons. Ainsi, elle est apparue, oui, tu es apparue.
Des murmures, des chansons, finalement des discussions. Tu n’étais qu’une petite voix, douce et tendre, tu n’étais qu’un soutien, un ami que je ne pourrais trahir car toujours de mon côté.

Je t’entendais. J’étais le seul. Je te voyais, J’étais le seul. Je trouvais ça normal. Ils trouvaient ça bizarre. Ils ont cru que je m’inventais une histoire. Pour passer le temps. C’est devenu plus sérieux. Ça leur à mit la puce à l’oreille.
J’ai vu des gens bizarre, des personnes qui m’ont regardé sur toutes les coutures. Un Cobaye. Un truc bizarre.
Tu m’as soufflé ses mots et j’ai perdu mon calme légendaire. Pour la première fois… J’avais six ans. Mon père m’a frappé au visage, un coup que j’ai encore en travers de la gorge, car il m’a cassé le nez. Sans un pardon.

On m’a finalement laissé dans mon coin. Seul, à nouveau, encore. On m’a finalement laissé tranquille avec cette voix, cette personne dansant sous mes yeux. J’étais un idiot, j’étais un aliéné, pour eux je n’étais pas un fils.
J’étais une chose, un plan raté… Je n’étais pas un enfant, j’étais une expérience ratée.
Je me suis alors plongé dans le dessin, j’ai commencé sur des feuilles, j’ai continué sur le sol, m’enfermant dans ma bulle. Dans mon monde.
Loin de tout ce qui pouvait me faire mal.

« Aaaah, l’adolescence. Tu étais tellement hors du monde à ce moment-là. Pourquoi tu ne t’es pas suicidé ? »

J’ai joué avec des outils coupants, mais je ne suis pas assez fou pour leur faire le bonheur de mourir. On m’a laissé dans mon coin… On m’a laissé faire.
Je me suis passionné pour le dessin, tout était tellement mieux ainsi, seul dans mon monde. Pourtant, j’ai souffert, je n’avais plus de regard de la part de mes parents, on m’a laissé seul, on m’a laissé sans aucune considération. Sans amour, sans regard.
J’étais seul dans le noir.

Finalement, j’ai continué, j’ai appris, j’ai commencé à dessiner sur une toile plus vivante, mon corps. D’abord de façon simple. Le couteau faisait l’affaire.
On me les a retiré, alors j’y suis allé avec un outil plus simple une aiguille et un bambou. J’ai commencé simplement, sur moi. Puis par vengeance sur mon frère.
Lui non plus ne m’aimait pas, est-ce que j’existais seulement à ses yeux ? Est-ce que je… J’avais une vie, une existence en dehors des regards, des surveillances. Je demandais simplement de l’attention, que je n’ai pas eu…

Vengeance.

« Et tu as montré que tu étais intelligent »

Douloureux, les dessins étaient douloureux. J’ai beau être un idiot, un aliéné, je n’avais pas d’idée masochiste dans la tête. Alors j’ai pensé. J’ai commencé à penser à une machine qui atténuerait la douleur.
J’ai créé une machine qui perce la peau si vite que la douleur est moins présente. J’ai découvert une passion.

Je fus mon premier Cobaye. Mon frère fut mon Cobaye, torturé par mes heures de travail, j’existais ainsi. J’étais fière de moi. Je n’étais pas si idiot, je n’étais pas un aliéné. Je… J’étais content. J’ai voulu la montrer à mes parents, ils m’ont ri au nez. Une petite tape sur la tête et va-t’en Loan, tu gênes.
Tu donnes une mauvaise image de cette famille.

J’ai été blessé… je me suis sentis tellement trahis, tellement mal. Comment pouvait-on m’ignorer à ce point, comment pouvait on me traiter ainsi ? Je pense avoir été blessé, je… Imaginez-vous ?
Vous êtes fière de vous, vous voulez prouver à vos parents, vos géniteurs que vous n’êtes pas une erreur et eux… Eux vous tapotent sur la tête et vous renvoient, sans faire attention. On vous cache aux invités présents…

« Tu as souffert ce jour-là, c’était jouissif. Et tu as commis l’irréparable »

Qu’ai-je fais ? J’ai divagué, je suis parti en ville, me promener pour effacer cette douleur lancinante dans mon cœur. J’ai erré pendant longtemps. Très longtemps. Puis je suis tombé je ne sais pas où et j’ai vu mon frère, lui et son mentor.

J’ai tout vu. Il m’a demandé de garder le secret. J’y ai vu une nouvelle forme de vengeance. Chantage. Odieux chantage que je lui ai faits. Lui demander de m’aimer. Lui demander de me rendre vivant. Coté malsain. Nous avons commencé à coucher ensemble. De temps en temps, puis plus fréquemment.

Je me perdais dans ses bras. Il se perdait dans les miens. Je perfectionnais mon art sur la toile qu’était son corps. Je le marquais de façon indélébile. Possessif.

« Tu n’as pas été assez prudent. Ou l’as-tu fait exprès ? Tu ne demandais que l’amour de tes parents après tout… »

Nous avons été découverts… Un soir, dans le même lit. Nus. Enlacés. Nous avons été découverts par nos parents.
Nous avons été mis dehors. Reniés. Simplement reniés. Ils nous ont rayés de leur famille. Ils nous ont rayés de leur vie à jamais…

Je les ai détesté. Après tout… Ont-ils seulement eu des remords ? Barrer deux hérésies, deux plans raté, c’est simple… Tellement plus simple qu’assumer.

« Et tu fais ta vie »

Oui, nous partons ainsi, nous sommes ainsi. Nous bougeons de ville en ville. Nous travaillons dans les fêtes. Nous participons à la bonne humeur des gens. Nous créons l’émerveillement et le bonheur… Nous vendons du rêve et créons des toiles.

Et nous sommes des génies, même si l’académie du savoir et son sadique sont aveugles. Comme nos parents l’étaient. Nous vivons, simplement.

DE TOI A NOUS DIS NOUS TOUT
Pseudo : Et bah, toujours la même chieuse hein
Age : 20 ans
Comment avez-vous connu le forum ? Fuuuu ~
Qu’en pensez-vous ? Je l'aime ♥
Code : Code ok by Irisia
Sur quelle lune de Jupiter les humains ont-ils trouvés le site Reïn’ta ? Ok by Irisia
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Message(#) Sujet: Re: Loan et son copain imaginaire Loan et son copain imaginaire  EmptyVen 10 Mai - 22:36

Terminéeuuuuuh
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Vanessa Crescent

JE M'APPELLE Vanessa Crescent ET JE SUIS Admin ▬ Vanessa
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Multi-Compte : Lagneya, Ylliana, Rizen, Ark'na, Melyn
Message(#) Sujet: Re: Loan et son copain imaginaire Loan et son copain imaginaire  EmptyVen 10 Mai - 22:37

Dans la famille foldingue, je voudrais le petit frère tatoueur incestueux et barge Oo

Rien à redire sur le fond, vas donc profiter de ta vie d'artiste peintre XD

FICHE VALIDÉE
"C'est partit pour le Grand Voyage ! Découvrons Sorëan et l'Arche tous ensemble !"

Félicitation !
Ton personnage est validé, nous te souhaitons bienvenue sur L'Arche de Sorëan et espérons que tu t’amuseras bien parmi nous !

Afin de commencer à jouer sur de bonnes bases, nous t'invitons à aller recenser ton avatar afin d’éviter de potentiels conflits quant aux images/personnages pour les nouveaux arrivants.

De plus, sache que tu peux aussi réaliser une fiche de suivi RP/Relations ! Pour ce faire, il te suffit de te rendre dans ce forum-ci. Sache que le modèle proposer de codage n'est pas obligatoire, si tu veux faire autrement : tu peux -_^

Pour te lancer en rp, tu peux consulter ou faire ta propre demande de rp dans le forum mit à ta disposition pour cela !
Tu pourras aussi y faire verrouiller tes topics clos, et trouver le code nécessaire si tu désires proposer des prédéfinis à l'administration.

N'hésite pas à contacter le Staff par MP si tu as un problème ou une question.


Le staff te souhaite la bienvenue!

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