Je vais vous dire une bonne chose, jamais personne ne m'égalera dans mon domaine. J'ai toujours été le meilleur et ce n'est pas maintenant que quelqu'un pourrait croire qu'il me surpasse lorsqu'il s'agit d'aviation. Oui ce désir et cette volonté m'ont toujours habité, donc tout ce qui est défi ou autres je suis toujours partante, et sûre de moi. Après cette obsession d'être le meilleur me suis autant au travail que dans ma vie privée, mais c'est vrai que je suis beaucoup plus calme quand on ne parle pas travail avec moi, mais c'est inutile, ce n'est pas comme ci j'allais vous écouter m'apprendre à faire mon métier. Enfin j'essaye de donner cette impression aux gens, mais au final, à la moindre critique j'essaye de m'améliorer alors que je crois déjà être l'aviateur parfait, et la moindre de vos fautes je me fait un plaisir de vous corriger.

Ah oui... En fait j'ai toujours été le meilleur soldat qu'on puisse imaginer, si on oublie mon problème avec l'obéissance , oui bien sûre je respectais les ordres... Mais à ma manière, qui est pour moi la meilleur manière d'atteindre le but demandé... Ouai ça peut énerver certaine personne, mais c'est ainsi que je vis, et c'est pas vous qui allez me faire changer. Malgré ça on m'a tout de même permis de monter en grade pour deux raisons, autant ma détermination à évoluer qui n'avait aucune faille et aucune limite, mais aussi pour mon génie, on m'a vite reconnu comme un tacticien plus que doué. Manipulateur et sarcastique, tant de compliment, ça fait toujours plaisir, non ? On me dit aussi très agaçant... Mais je ne fais que vous corriger, l'erreur est humaine, alors ne vous plaignez pas si je vous aide. Pour finir, j'ai une mauvaise habitude, chercher les problèmes... Pourquoi ? Eh bien pour les résoudre !


Mes relations avec les femmes ? Et bien absolument pas différente que celle que j'ai avec les hommes. Quoi que sensible aux charmes d'une femme, ça ne change en rien mon comportement de chieur professionnel (et en plus j'ai deux travail, ne suis-je pas parfait ?)  

Au final, à part mon désir de tout contrôler, mon sarcasme et mes sous-entend qui vous mettent en général en dessous de moi, je suis quelqu'un de très sympathique tant que vous n'êtes pas ma tête de turc parmi mes subordonnés. Il se trouve que malgré ma monté en grade j'ai toujours été présent pour tout le monde, devenir chef d'escadron ne m'empêcha en rien de continuer de travailler avec les mécaniciens et l'entretien, et plus que de donner des ordres j'aime bien taquiner tout le monde, étant fils unique j'ai cette mauvaise habitude de me conduire facilement comme un frère à cause d'un genre de manque dans mon enfance, alors oui en tant que frère j'adore embêter le personnel de mon escadron, malgré qu'au final je suis très protecteur avec eux même si ils ne le remarquent pas souvent. Bien sûre contester mes ordres n'est pas une option, tentez une fois de me remettre à ma place et vous le payerez par une très belle humiliation, enfin sauf si vous êtes mon supérieur... C'est ça le problème avec l'armé on ne peut pas rigoler avec tout le monde.  

Je n'en ai pas l'air, mais ne méfiez-vous, l'armée entraine bien ses hommes, et ce n'est que plus réussi lorsque ces ces hommess'entrainent plus que quiconque. Oui mon entrainement n'a jamaisinflué mon apparence physique, mais dans les faits je suis tout aussi fort que d'homme aussi entrainé que moi. Au début j'avoue que ça me gêné, certains osaient même se moquer de moi, mais au final j'ai trouvé que c'était un avantage, déjà parce que j'étais plus souple et agile que la plupart d'entre eux et en plus ça les surprené à chaque fois de voir à quel point les apparences sont trompeuses, je remerciecet aspect de ma personne pour m'avoir fait gagner tant de pari et avoir permis de rabaisser tant de personnes. Mon corps est tout de même bien sculpté même si il a l'air d'être fin.

Bon à part ça, de manière plus détaillée, j'ai les cheveux noirs et souvent loin d'être parfaitement coiffé mais malgré mon désir de perfection ça ne m'a jamais dérangé, étrange contradiction... Mais bon, mes yeux sont d'une couleur des plus inhabituels, un rouge très clair et la raison sont simples ce n'est pas ma couleur naturelle, mais je vous expliquerais ça dans mon histoire.

Chapitre 1: Une passion.

Ma naissance fut paraît-il le plus beau jour de la vie de mes parents, après leur mariage. Il faut dire que dans cette famille j'étais chouchouté, aimé et protégé. Dans mes premières années je vivais comme un enfant tout à fait normal, je courrais partout,apprit à parler après des mois de tentatives d'articulation qui en vaine on aboutit à quelque chose. Mais plus je grandissais plus je voyais mieux ce qui se passer autour de moi, je me rendais compte que mon père n'était pas aussi présent que je le croyais, ça m'avait attristé mais ses cadeaux très fréquents me consolé, toujours des avions miniatures, qui finirent par devenir une passion pour moi. J'avais commencé à lire la bibliothèque de mon père dès que j'appris à lire en fait, des livres qui de guerre, des tactiques militaires, de la théorie expliquant comment conduire plusieurs dizaines d'avions différents, j'avais tout appris, je savais tout ce qu'il fallait savoir. D'ailleurs mes professeurs aux primaires s'inquiétaient beaucoup, je passais mes journées à lire et même parfois relire ces livres trop techniques ou violents, mais c'était devenu un genre de drogue pour moi, je voulais tout savoir, surtout pour au final me rassurer sur le travail de mon père, pour moi un homme qui avait autant étudié ne pouvait faillir. Et j'attendais encore et toujours le nouvel avion qu'il allait m'envoyer.


J'ai vite sauté beaucoup de classe, me retrouvant avec des gens plus âgés que moi qui était toujours aussi surpris par ma passion, ça faisait de moi quelqu'un de très seul, mais ça ne me dérangez pas, j'attendais le retour de mon père pour lui montrer comment j'avais évolué, comme j'avais grandi, à 15 ans j'avais intégré une grande université spécialisée dans l'aéronautique et je continuais mon apprentissage là-bas. Et un jour, vers mes 17 ans, il revint, mon père rentra à la maison. Après lui avoir montré tout ce que j'avais fait, je finis par lui demander pourquoi il était revenu et qu'il n'allait plus repartir en mission. Sa réponse ? Il avait fait pas mal d'erreur de navigation, il avait raté plusieurs missions d'affilée, il s'était planté...


Chapitre 2: Je vais te montrer comment on conduit un avion... Incapable.

À mes 18 ans, j'intégrais l'armée de la fédération. L'armée de l'air. Ici aussi, au vu de mes connaissances très évoluées je suis vite passé aux entraînements plutôt pratique. Et il s'avéra très vite qu'autant mes connaissances que ma volonté avait développé chez moi presque un don pour piloter, un sang-froid inébranlable assez rare chez les nouvelles recrues, je faisais mes preuves, et devenait toujours meilleure. Mais apparemment mes supérieurs n'aimaient pas trop mon manque de respect, je faisais mon maximum pour ne pas dépasser les bornes mais je ne pus me contrôler et à cause de cela ma monté en grade fusse pas mal ralenti mais c'était compensé plus que largement par mes compétences. J'ai exécuté un assez grand nombre de missions contre les terroristes, c'est là que tout ce j'avais appris, tout l’entraînement que j'avais eu, toute ma volonté, me discernèrent de mes collègues. Mon esprit tactique et mon sang-froid ainsi que ma familiarité envers les autres pilotes et le fait que j'adorais les corriger faisait de moi un  bon chef d'escadron, mes hommes m'écouter, même si je les emmerder un peu ça mettait une certaine ambiance sur la radio en mission.
Au cours quinze ans de missions acharnées avec un pourcentage de réussite incroyable, je montais en grades, et les responsabilités se faisaient de plus en plus grandes, la paperasse plus lourde, mais au final rien de trop dérangeant à part le fait que je restais un peu plus dans un bureau qu'avant. Étant quelqu'un d'assidu et de travailleur je n'avais aucun mal avec tout ce qui était paperasse, je m'occupais moi-même d'aller voir comment se porter le travail et la personne de chaque groupe de personnes qui se trouvaient sous mes ordres. Je discutais pilotage et avion avec les pilotes, je ne perdais pas la main en mécanique avec mes mécaniciens, je restais aux plus proches des gens autour de moi. Ce côté de ma personne ses révéla à me sont entrés dans l'armée, avant je restais toujours seul, à étudier, mais là non pas que j'avais peur de la solitude m'étant habitué à ce sentiment, mais j'avais découvert l’esprit de groupe, et en être le chef n'étais que plus amusant.


Je finis par monter au grade de lieutenant-colonel, j'avais atteint le grade de mon père en moins de temps que lui. Dans un sens il était fier de moi, mais le fait que je veuille lui donner une leçon l'énerver plus qu'autre chose, et j'avoue que ça me plaît qu'il le prenne comme ça. J'étais le meilleur, personne ne discuter mes tactiques ni ma manière de voler, j'étais connu en Europe et en Asie pour mes compétences, et celles des pilotes qui étaient sous mes ordres.  


Chapitre 3:  Devenir le meilleur pilote de l'univers... On peut toujours essayer !

Bien évidemment j'avais posté ma candidature pour intégrer le personnel de l'arche, et lorsqu'on m'accepta, je ne savais pas si je devais content ou pas... Et si en partant on découvrirait un nouveau moteur, je serais en retard sur la technique, et si au final il prenait beaucoup d'avance sur terre pendant que nous serions dans l'espace... Oh et puis ce n'est pas grave je les rattraperais à mon retour. Et ce qui était aussi très plaisant c'est que je n'avais qu'un supérieur ici, ça risquait d'être bien plus amusant surtout si je réussis à m'entendre avec elle, enfin ce n'est pas gagné si elle est comme les autres vieux complexés qui pensent que leurs paroles sont sacrés...

Petite précision sur mes yeux :

À notre superbe atterrissage sur cette nouvelle planète, j'ai perdu le sens de la vue... Vous imaginez même pas comment je me suis cloîtré dans mon dortoir sans laisser personne entré. Je ne voulais pas que quelqu'un me trouve ainsi, aussi faible. J'hésitais à aller voir le colonel, sachant très bien qu'elle serait très occupé et qu'elle me ferait sûrement chier vu le respect que j'ai envers elle d'habitude. Enfin je suis impoli avec elle, c'est juste que je parle de manière trop familière et que je ne l'écoute pas à chaque fois qu'elle me parle. Mais au final au bout de trois jours à entendre les gens courir dans tous les sens, je suis sorti, et j'ai demandé à la première personne que j'ai vu de m'aider (quelle honte...) à aller chez Vanessa, arrivé là-bas, je lui expliquais la solution. Et étrangement elle ne profita pas de ma faiblesse pour m'enfoncer où se venger, elle me proposa d'en parler au responsable de la section médecine. Celui-ci m'implanta des genres de lentilles de contact, mais possédant une technique connectée à mon cerveau me permettant de voir, comme à travers une caméra, avec quelques petites capacités supérieures à celle d'un humain normal, comme le zoom ou le détecteur de chaleur ainsi que la vision nocturne. Bien sur je leur ai demandé à tous deux de ne dire à personne que j'étais devenu aveugle, et je ne voulais pas que mon secret soit connu de quiconque ! Et étrangement depuis ce jour il obéit à son cher colonel, pas par chantage, mais par respect on va dire, il lui est reconnaissant pour ce qu'elle a fait pour lui.