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Message(#) Sujet: Kamen Vanharm Kamen Vanharm EmptyVen 22 Fév - 9:30

Vanharm Kamen
IDENTITÉ
[Lord Rasler ~ Jeu : Final Fantasy XII]
Nom : Vanharm
Prénom : Kamen
Age : 19ans
Sexe : Masculin

INFORMATIONS IMPORTANTES

Groupe : Talrëans
Métier : Assiste son père et son frère dans leurs tâches.
Fonction : Noble et Bâtard.
Origine : Sorëan
Nationalité : Archamien (Domaine d’Archam) située dans les Terres Côtières, mais a vu le jour dans la cité de Galkor, ville entre à la frontière des Plaines de Turquoise.


CARACTÈRE
En société

Jeune homme calme, courtois et poli. Renvoi souvent une attitude posée, sereine et bien appropriée à son rang, bien que certains trouvent qu’il a trop facilement tendance à hausser la voix lorsqu’il se trouve en désaccord.

Envers ses proches

Sa famille

▬ Firen Vanharm : Montre un grand respect et de la reconnaissance envers Lord Vanharm et semble vouloir que ce dernier éprouve de la fierté pour lui. Lui obéi en toute circonstance, même s’il n’est pas toujours d’accord avec sa décision, mais essai à chaque fois de lui faire savoir son point de vue.
▬ Majolia Vanharm : Très peu d’information sur son attitude envers Lady Vanharm, excepté qu’il ne s’adresse pas beaucoup la parole.
▬ Orphen Vanharm: Pour son comportement avec Orphen, les deux jeunes gens ont depuis toujours étaient en état de conflit et les dernières années n’ont pas arrangés les choses. Néanmoins il obéi également à son frère ainé, pour démontrer à son père sa maturité.
▬ Eliania Vanharm : Concernant sa sœur, il n’y a jamais eu de problèmes entre eux et même depuis leur jeune âge, ils n’ont cessés de montrer un comportement d’ami proche. Visiblement intime donc, ils sont généralement calme et complice l’un avec l’autre.
▬ Kalsen Vanharm : Enfin, concernant le plus jeune de la famille, le jeune Kalsen n’a jamais eu d’intention néfaste pour son demi-frère, mais se laisse de plus en plus embrigader par Orphen pour faire subir des brimades au jeune seigneur.

Ses amis
▬ Maître Luxaroth : Il est devenu évident pour tous ceux qui vivent dans le Domaine d’Archam qu’il existe un lien très mystérieux entre le maitre de magie et le jeune Kamen depuis plusieurs années. Néanmoins, personne ne serait dire qu’elle est la nature de ce lien.
▬ Droggo : Comme il fallait si attendre, il y a un lien très puissant qui li Kamen à son animal « domestique ». Ils donnent chacun l’impression qu’il pourrait mourir pour l’autre.

En combat

Capable de garder son sang-froid, même dans les situations les plus délicates. Analyste et stratège chevronné, il reste de nature prudente et a apprit ne jamais juger trop vite son adverse. Posé, essai sans cesse de désarmer ou de mettre hors combat son adversaire plutôt que de le blesser. D’une trop grande clémence d’après certain, même envers les animaux. Excel dans le maniement de l’épée à une main et assez bon lancier, mais moins habile avec des armes à distance. Trop jeune pour savoir à l’avance si ce Vanharm accomplira de haut-faits, mais beaucoup sont optimistes.

Extrait du « Livre des Seigneurs d’Archam tome 3»

Avis personnel

Maître Tirus, le scribe d’Archam, a assez bien retranscrit les faits je le conçois, mais je tiens personnellement à raconter certaines choses qui ne sont pas mentionné ici, car ce livre n’a pas pour but de poser sur le papier toute la vérité sur les seigneurs de nos contrés, mais juste de laisser une trace… et bien, c’est ce que je compte laisser, mais sans détours ou atténuation, je veux qu’on me voit comme je suis.

Pour mon père, c’est vrai. Je veux tous faire pour qu’il me reconnaisse pleinement comme étant un de ses fils, c’est mon but ultime. Et même si pour ce faire, je dois sans cesse côtoyer Orphen, qui m’a détesté le jour ou je suis venu pour la première fois à Archam et ou je dois subir les regards de haine et de dégoût de Dame Vanharm. Mais je dois avouer, que plus je grandi et plus je comprend son attitude, car je suis le fruit de son malheur, une blessure ouverte à la face du monde qu’elle est obligée de contempler au quotidien. Je ne lui en ai jamais voulu, j’ai même souvent pitié d’elle, de son mal-être.

Avec Eliania, c’est différent. Elle m’a de suite accepté comme son frère et m’a même confié un rôle très important dans sa vie, celui de confident. Ainsi, grâce à elle j’ai pu savoir ce qu’on ressent quand on appartient à la famille Vanharm. C’est de la confiance, de la complicité pur. Elle me fait rire, elle écoute et conseille ce que je lui raconte. Elle est là. Et je l’aime autant qu’un frère peut aimer sa sœur, qui chaque jour lui fait se sentir à sa place.

Le cas de Kalsen est différent. Il ne me vous pas une haine sans faille comme notre frère, mais il n’ira jamais contre Orphen, car il le considère comme si modèle. Je sais qu’en réalité, il n’a rien contre moi, puisque même une fois il s’est excusé de son attitude. Je lui ai expliqué que ça n’était pas grave, qu’il pouvait continuer à appuyer Orphen, car je savais qu’il ne pensait pas à mal.

J’ai longtemps laissé cette page aux lignes précédentes, car j’ai énormément hésité sur la manière de parler de la prochaine personne de ma famille, mais j’ai réalisé qu’il fallait que je parle avec mon cœur. Non, je ne me suis pas trompé, j’ai bien dit de ma famille, car s’il y a bien une chose important qui n’est pas située, c’est ma mère. Rinia Kam Enos. Même si elle est morte quand j’étais très jeune, j’ai encore la sensation de la sentir près de moi, sa douceur, sa chaleur, sa voix calme, apaisante, comme une caresse. Je ressens son amour et je fais en sorte qu’elle aussi, elle soit fière de moi, car je veux devenir l’homme juste et posé qu’elle aurait aimé que je sois.

Autre chose qui n’est pas mentionné dans le livre, c’est que je m’efforce de montrer à tous que je suis quelqu’un de calme et mature, mais en réalité, je suis souvent frustré et en colère à l’intérieur. Les mots d’Orphen et de ses gardes me piquent et chaque nouvelle blessure est autant de poison qui se répand dans mes veines. Mais les railleries sur mon rang ne m’atteigne pas, seul celles touchant mes proches me heurte. Car oui, j’ai déjà explosé. Quand mon frère a frappé ma sœur, quand des gardes ont dit des horreurs sur ma mère, même quand mon frère Kalsen était tombé de son cheval à cause d’un sale fermier qui a fait s’emballer sa monture. Tous à Archam savent, mais rien n’est consigné dans l’ouvrage de Maître Tirus.

Concernant Maître Luxaroth et Droggo, je n’en dirais pas plus pour le moment.



PHYSIQUE

Détails physique majeurs

▬ Taille : 1m78.
▬ Poids : 65kg.
▬ Cheveux : Blonds coupés court et coiffés vers l’avant.
▬ Yeux : Bleus avec des pointes de gris.
▬ Peau : Blanche légèrement halée.

Détails physique mineurs

▬ Posture : Allure posée, dos droit, épaules relâchées.
▬ Visage : traits assez fins, sourire poli, regard expressif.
▬ Muscles : Apparents sans son armure, mais moins développés que ceux de son frère.
▬ Tenues (habits) : Modeste, même pour un fils de seigneur.
▬ Armure : Ne possède qu’une seule armure, en plaques blanc et or.
▬ Entrainement : Maniement des armes, grande maitrise du combat à l’épée.

Extrait du « Livre des Seigneurs d’Archam tome 3»

Avis personnel

C’est en effet ce qu’on peut lire dans le registre de la Famille Vanharm lorsqu’on y cherche mon prénom, mais même si ces éléments sont corrects, il y en a d’autres qui n’y sont pas mentionnés. Ainsi, pour savoir comment les gens me perçoivent réellement, il faut que je les énonce.

Dans les détails majeurs, je rajouterais que mes cheveux font souvent l’objet de moqueries de par leurs positionnements particuliers. Les ayant très fins, les coiffer en avant m’avait semblé être une bonne initiative, mais cela donne l’impression qu’ils vont à « contre-sens » ou à « rebrousse poils », ce qui est une ouverture des plus plaisantes pour tous ceux qui veulent me rabaisser.

Pour ce qui est des détails mineurs, tout est bon pour me « remettre à ma place ». Mon allure posée devient arrogante, mon sourire présomptueux, mon regard pernicieux, ma carrure, moins bâtie que d’autres, leurs apparait comme celui d’une « mignonne », ou pour la plupart à celle d’une catin et mes habits, moins soignés que ceux de mes frères, à une « catin de 2e mains ». Et enfin, mon entrainement quotidien devient la « preuve » que je suis trop faible et que je ne pourrais survivre sans cela. Mais si je fais autant d’effort, c’est surtout pour être un grand guerrier et pouvoir rendre mon père fier de moi.

Voilà comment les gens de mon pays me considèrent, même si la plupart ne me le disent pas en face, excepté les gardes, qui sont sous les ordres de mon frère et qui peuvent dire tout ce qu’ils veulent de moi.

Pour ma part, je m’efforce de rester neutre et impassible à tous ces dires, même si parfois ce n’est pas facile, car je suis un Vanharm et un Vanharm ne perd pas son sang-froid pour quelques veines paroles. Je resterais intègre aussi longtemps que je le pourrais et je leur démontrerais ainsi le rang qui est le mien.



HISTOIRE

« Pour comprendre mon histoire, il faut d’abord savoir la leurs. »

Extraits du « Livre des Seigneurs d’Archam tome 1 »
~ Arkam Vanharm et la Bête ~

An 1160, naissance d’Arkam, fils unique d’Alarath Vanharm noble de la cité de Tilesse.

An 1176, âgé de 16ans, le jeune Arkam décide de consigner dans un journal toutes les aventures qui lui arriveront pendant sa vie.

An 1179, la promise du seigneur Arkam vient de lui donner un fils : Firen Vanharm 1er du nom.

An 1182, des rumeurs étranges ceux font de plus en plus entendre dans le sud et l’ouest du pays, le seigneur est inquiet, bien que confiant.

An 1185, la brusque disparition de la reine attriste tout le royaume de Talrëa.

An 1186, n’y tenant plus des attaques répétées qui se produisent à l’ouest du pays, Arkam demande à l’empereur Grenn Nat Eiran de mener lui-même une expédition vers ces terres très peu habités. Etant un combattant émérite et un homme de confiance, l’empereur accepte.

An 1186, automne, mois du vent, le seigneur Vanharm et son armée arrive dans les terres côtières, sur son passage, il ne rencontre que quelques villages, la plupart déserté, car d’après les dires de ceux qui restent des « monstres qui viennent de la montagne de feu » ont étaient vu, détruisant tout sur leur passage. Et plus l’armée se rapproché de la chaine de montagne, la crête d’Igna, et plus ils virent des villages détruits. Arrivait au pied de la montagne, Arkam vit pour la 1er fois la chose qui allait changer son destin.

Une petite colonie de bêtes recouvertes d’écailles avait émergées des entrailles de la montagne, part une ouverture béante en son flanc. Mais ces créatures n’étaient rien comparait à celle qui les commandées. Avec au moins une tête et demie de plus que ses congénères et un poids trois fois supérieur, le chef des Basillics avait immédiatement tapé dans l’œil du seigneur. Homme à vouloir toujours démontrer son courage et son adresse au combat, Arkam décida d’aller affronter la bête. Ses hommes voulurent le raisonner, lui dire que ces bêtes seraient plus vulnérables au mois suivant, quand l’hiver viendra, mais plus les jours passaient et plus l’envie de se battre grandissait en lui. Alors le seigneur Vanharm, âgé de 26ans entra dans la grotte de la bête, qu’on surnomma plus tard « La faille du monstre », car Arkam voulait ajouter à son mérite le fait qu’il avait combattu le lézard dans son domaine.

Plusieurs jours passèrent, sans que le seigneur ne revienne. Les hommes commençaient à perdre espoir, mais un peu avant les premières lueurs du 5e jour, le jeune Arkam revint, la tête de la bête trainant derrière lui. Sur le chemin du retour, il était très faible et failli succomber, car la chaleur intense et le manque d’eau avait grandement affaibli le guerrier. Après avoir reçu des soins, il raconta qu’il avait réussit à vaincre la bête au 2e jour, mais que les galeries du volcan étaient toutes plus traitresses les unes que les autres. Revenant à Tilesse en héros, l’empereur Nat Eiran pour lui démontrer sa reconnaissance, lui donna le droit de possession sur les terres qu’il avait sauvées.


An 1187, quelques semaines après le mariage de l’empereur avec sa seconde épouse, le seigneur Vanharm annonce à tous que le Domaine d’Archam est prêt à accueillir tous ceux qui souhaitent trouver un abri après le désastre des terres côtières.

An 1194, pour montrer à tous la bravoure de la famille Vanharm, Arkam demande à son fils Firen le jour de son 15e anniversaire, de rentrer dans « la faille du monstre » et de ne pas y ressortir avant le levé du soleil. Souhaitant se montrer aussi brave que son père, l’adolescent accepte, créant en ce jour, la tradition qui veut que tout Vanharm pénètre dans l’entre de la bête le jour ou il aura atteint 15ans.

~~Fin~~

Le journal d’Arkam, qui a était lu par un grand nombre de Vanharm durant ces derniers 400 ans et ouvert à toute personne le faisant la demande auprès du Maitre de lecture, à savoir aujourd’hui à Maitre Foulas. Mais concernant le prochain ouvrage dont je vais vous parlez, il n’a jamais était dévoilés au public. A vrai dire, je crois que l’auteur de ce journal ne l’a fait lire qu’à moi, du moins la partie que je vais évoquer ici.

Une chose qu’il faut savoir, c’est que depuis Arkam, beaucoup de Vanharm ont également tenu un recueil de leur aventure. Il n’a donc rien détonnant à ce que l’auteur de l’histoire dont je vais vous parlez, soit mon père. Firen Vanharm, 2e du nom. Ce que vous devez avant tout comprendre, c’est qu’il ne m’a fait lire son journal qu’une seule fois, quelques jours après mon 15e anniversaire. Il se peut donc que je ne soit pas très précis ou très clairs certaines fois, mais je m’efforcerais d’être le plus sincère possible en retranscrivant ses propos.


Extrait du « Journal de Firen, fils de Walmen Vanharm »

An 1556, printemps, Décès de mon père, le seigneur Walmen après une blessure mortelle pendant une chasse.

An 1556, je deviens seigneur à la place de mon père et épouse comme convenu la fille d’un seigneur voisin qui m’avait été promise depuis plusieurs années, Majolia Turdras. Nous avons tous les deux 17ans.

An 1557, 1an après notre mariage, Majolia me donna un fils, qu’on appela Orphen.

An 1560, été, je reçois un message d’un de mes vieux amis, le seigneur Drix qui me demande de l’aide, car ses contrées sont menacées par des créatures d’une férocité monumentale. Etant un Vanharm, je ne pouvais refuser. C’est donc avec la moitié de mes meilleurs hommes que je quittais mon royaume, mes sujets, mon fils et ma femme qui portait notre second enfant, pour une durée qui se révéla être bien plus importante que prévue. Après plusieurs jours de route, nous sommes arrivés en fin d’après-midi à proximité de la cité de Galkor, qui se situe au sud/ouest de Talrëa, près de la frontière entre les Plaines de Turquoise et les Terres Côtières, la ou l’une des plus grandes forêts est présente. Le domaine avait visiblement subit plusieurs attaques… Et ce fut aussitôt notre cas.

Je me souviens être tombé de cheval, des hommes criaient pendant que j’essayais de me relever. J’ai vu mes soldats à terre, mais je ne voyais aucun ennemi en vue. J’avais contemplé mon cheval un moment, il avait la moitié du flanc arraché, quelques centimètres de l’endroit ou était placée ma jambe. Soudain, je vis un éclair vert fondre sur moi, me renverser, je senti une vive brulure à l’épaule puis j’entendis un rugissement sourd au dessus de moi, avant que la brulure ne s’estompe. J’étais à peine conscient quand on m’amena à l’intérieur des remparts, mais je me souviens clairement avoir discerné deux yeux jaunes dans un fourré, avant de perdre connaissance.

A mon réveil, mon épaule gauche était bandée de tissu propre et je me trouvais sur un lit, au coin d’une cheminée ou ne demeurait plus que quelques cendres. J’étais en vie. Un homme m’apporta de quoi me sustenter et une fois que j’eu terminé, il m’emmena là ou les seigneurs étaient rassemblés. Je fus à moitié étonné de trouver ici un certain nombre de seigneurs des terres côtières, 4 pour être précis et 1 des plaines de Turquoise. Eux aussi avaient répondu présent et eux aussi avaient perdu des hommes à leur arrivé. On m’apprit au cours de cette réunion, que les bêtes qui nous avaient attaqués avaient été baptisées par le seigneur Drix, les « crocs-vifs ». Ils étaient apparut il y a quelques semaines, sortant de la forêt et tuant avec une rapidité affolante toute créatures vivantes pouvant leur servir de diner. Elles tuent aussi bien la nuit que le jour et arrivent à tuer des dizaines d’entre nous avant que nous puissions en tuer une.


An 1560, hiver, nous sommes piégés. Cela fait des mois que nous essayons de repousser ces bêtes à dents de sabre, mais rien n’y fait. Nos hommes tombes, nos ressources diminuent, nos espoirs de retour deviennent illusoires. Même si nous arrivons à nous défendre, ils nous ont encerclés, ils nous tiennent prisonniers dans notre fore. Toutefois, depuis que la neige est apparue, nous avons gagné un gros avantage. Car si en été, les crocs-vifs étaient indiscernables dans le paysage, à présent, le blanc fait ressortir leur pelage. Les mâles, plus gros et plus puissant, mais plus lent sont d’une couleur entre le marron et le sable, alors que les saletés de femelle, sont beaucoup plus petites, mais extrêmement rapide et rajoutait à cela leur pelage vert qui en font des redoutables adversaires.

Après ces 5mois passé ici, je n’arrive plus à me dire que j’arriverais à rentrer chez moi. C’est une guerre d’usure que ces créatures étaient en train de nous affliger et ils prenaient le dessus. La seule chose qui me faisait tenir, c’était elle. Elle s’appelait Rinia, elle était guérisseuse, même si en général ce terme est réservé au personne pouvait soigner avec leur magie, elle s’était avec des herbes qu’elle voulait aider. Fleuriste de métier, elle avait apprit beaucoup de chose sur les plantes et lors de l’attaque, elle avait décidée d’aider comme elle pouvait. Au fil du temps passé avec elle, des sentiments sont nés. Je me suis dit que les dieux avaient été généreux de me faire connaitre l’amour avant de mourir.


An 1561, aujourd’hui quelque chose d’horrible et de merveilleux à la fois est arrivée. J’ai eu un fils, un fils de Rinia. Je l’avais comprit il y a quelques mois que cela arriverait, mais je n’ai pas voulu y croire. Maintenant qu’il est là, je me sens tétanisé. Sa mère veut que je choisis son nom, mais je n’y suis pas préparé, je panique même pour la première fois depuis longtemps, depuis que j’étais enfant. Et comme ma propre mère l’avait fait, elle me calme, elle m’apaise. Je l’a regarde dans les yeux, je vois son sourire. Alors je ferme les yeux, je réfléchis un instant, puis j’ai trouvé.

Début de l’an 1564, les renforts arrivent de moins en moins souvent, tous sont septiques devant ses ennemis qu’ils ne parviennent pas à voir. Nous nous sommes différents, nous avons apprit à vivre avec eux, nous arrivons maintenant à les sentir, à les voir. Nous reprenons espoir et… nous avons un plan. Les panthères ont comprissent que nous étions devenu trop difficiles à tuer, mais elles avaient aussi vu que ça n’était pas le cas des nouveaux arrivant. Alors, elles attaquaient désormais sans réfléchir les hommes qui s’approchaient des remparts. Donc nous avions décidé que ça serait à ce moment là, qu’il fallait agir. Pendant que ces fauves se jetteront sur leur proie, nous les prendre à revers.

Et c’est ce qui ce passa, mais on eu l’impression d’attendre les « appâts » une éternité, on eu même le malheur de penser à ce qu’aucune nouvelle garnison ne viendrait. Mais elle vint. Elles n’ont rien comprit et n’arrivait pas à savoir ou elles devaient se défendre. Je me rappel en avoir tué une bonne douzaine avant que je remarque la tragédie. Une femelle immense avait franchit les murailles pendant que presque tous nous battions dehors. Elle tua 19 femmes et 5 enfants, sans compter les hommes qui avaient voulurent l’arrêter. Et la 19e, c’était Rinia. Je me rappel avoir continué à lui tirer des flèches dans le corps bien après qu’elle ai laissé échappé son dernier rugissement.

Ce qui va suivre, je ne m’en rappel pas, car je ne voyais rien hormis le corps de Rinia, mais on m’a raconté plus tard, que la Grande-Croc morte, ces congénères avait aussitôt fuis, alors qu’ils n’avaient jamais cessé le combat depuis ces dernières années, même quand ils voyaient la mort arriver. Nous avons supposés plus tard, que la Grande-Croc devait être leur chef, c’est pourquoi on la nomma ainsi et quand mourut, ses « soldats » ne pouvant plus se battre, sont partis dans la forêt.

J’avais une décision à prendre désormais. Deux des seigneurs qui étaient venu été morts et les trois autres ne parlerait pas si je le leur demandais. Pourtant pourrais-je vraiment le faire ? Mon fils à plus de 2 ans aujourd’hui et sa mère est morte. Pouvais-je réellement l’abandonner ? Cette décision, je l’ai prise le soir même, quand j’ai regardé la chair de ma chair dans les yeux, quand j’y ai vu la douceur et la volonté de sa mère. Un Vanharm ne fuit pas, un Vanharm assume ses actes. Et j’allais assumer les miens.


~~Fin~~

Voilà, déjà vous avez une idée de la vie qui est la mienne. Même si cela ne suffit pas à ce que vous sachiez ce que j’ai fait, vous pouvez vous douter que ça n’a pas du être facile tout les jours. Etant un bâtard, j’ai du composer avec mon entourage, n’étant pas pleinement un noble sans pour autant être un paysans. Mais je n’entrerais pas dans les détails de mon enfance. Après que mon père m’ai ramené avec lui de Galkor, vous vous doutez bien que le reste de la famille Vanharm ne m’a pas accueillit à bras ouvert. Mon frère m’a haï, Dame Majolia m’a traité comme un pestiféré et ma sœur m’a accepté. Il n’y a rien à dire de plus.

Concernant mon lien avec Maître Luxaroth, j’ai beau avoir promit que je dirais toute la vérité dans ces pages, je ne peux pas en parler, car je ne tiens pas à ce que notre secret soit lu par quiconque, c’est trop tôt d’après Lux. Mais sachez juste que nous sommes amis, ainsi je ne mentirais pas, même si je ne dis pas tout.

Ce qui doit par contre être raconté, est arrivé le jour de mon anniversaire… de mes 15 ans.


An 1577, je me souviens qu’on était venu me réveiller très tôt ce matin là. Je n’avais pas beaucoup dormit, car je savais ce qui m’attendais, du moins en théorie. Vite préparé, nous primes aussitôt la route vers les crêtes d’Igna. J’étais déjà venu une fois, mais cette fois je ne suis plus spectateur, mais bien acteur. Mon souffle devenait de plus en plus court tant les murailles de pierres se rapprochaient. Puis en rien, nous y étions. La Faille du Monstre.

Je descendis de cheval, que déjà on me tendit une torche. Je l’a prit de la main gauche, sachant que je devais garder ma main droite de libre pour empoigner mon épée… si besoin est. La fissure béante s’ouvrait juste devant moi et je sentais le vent glacé s’engouffrer à l’intérieur. J’eu un regard en direction de mon père, je vis son expression sérieuse et je mesurais alors la gravité de ce moment. C’était en effet, comme si ma vie dépendait de ce qui allait aujourd’hui, car si je me montrais digne des Vanharm en réussissant l’épreuve, mon père aurait eu raison de ne pas m’abandonner. Dans le cas contraire…

Je chassa de suite cette idée. Je fis quelques pas en direction de l’entré de la montagne, puis je me retourna vers la troupe qui m’avait accompagné. Il y avait bien sur la famille Vanharm au complet, ainsi que quelques gardes, mais le plus important c’était que Maitre Luxaroth était également venu. Je me concentra sur le visage confiant d’Eliania et sur le sourire de mon ami magicien plutôt que sur les rires moqueurs de mon frère et ses amis. Je pris une profonde respiration. « Cache, cache toi bien, car quand je t’aurais trouvé, tu ne pourras plus m’échapper ! ». Et après avoir répété ces paroles d’Arkam, je franchis le seuil de « la faille du monstre » pour la 1ère fois.

J’avais le souffle court et je sentais le stresse grandir en moi. Bien sûr, tout le monde savait que les Basilics qui vivaient dans ses grottes avaient disparut depuis que mon ancêtre avait tué leur chef, même si Orphen voulait me faire croire le contraire. Toutefois, ça n’était pas les bêtes qui me faisaient peur, mais la montagne elle-même. C’est en effet une chose que j’ai découvert ce jour là, c’est que d’être coincé dans un espace restreint me m’était très mal à l’aise, me terrifiais pour être honnête. Et le fait que ça soit un vrai labyrinthe n’arrangeait rien.

Après plusieurs heures à marcher, je n’arrivais plus du tout à me repérer. Pourtant j’avais un assez bon sens de l’orientation en temps normal, mais là, avec ces galeries qui se ressemblait toutes, ma claustrophobie et ajouté au fait que la flamme de ma torche décroissait de manière inquiétante, m’avait fait perdre tous mes moyens. Je réalisais alors que j’étais perdu. J’essayais de réfléchir calmement, mais j’avais beaucoup de mal à y parvenir. Pourtant, une chose était devenue évidente, je ne pouvais pas rester sur place, car personne ne viendrait me chercher.

Après avoir tourné à je ne sais combien d’intersection, je remarqua enfin une chose qu’il n’était pas pareil à d’habitude. Devant moi s’ouvrait deux nouvelles galeries, mais de l’une d’entre elle émanait une lumière rougeoyante. Après y être entré, une vive chaleur me submergea. Je me situais en hauteur d’une sorte de salle. Au fond, coulait des « ruisseaux » de lave en abondance et juste en dessous de moi, il y avait comme une plateforme de forme ovale, sculptée dans la roche. De chaque côté de la plateforme continué d’autres galeries. Soudain, un éclat situé sur la plateforme capta mon attention, je me baissa alors pour mieux observer la chose, mais le haut de la pente ou je me situait été plus friable que je ne le supposais et je dégringola les 20e de mètres qui me séparais du sol et perdis connaissance.

A mon réveil, ma tête me faisait souffrir et ma main droite était ensanglantée. Je crus d’abord que cela imputait à ma chute, mais je remarqua bien vite la cause. C’était un morceau de coquille qui m’avait coupé et qui avait surement scintillé avec la lave. En me relevant, je vis des tas de morceaux de coquilles partout sur le plateforme, surement les œufs des anciens Basilics habitants la grotte. Toutefois, un doute m’envahit. Et si après 400 ans d’absence, ces bêtes étaient revenues de ce côté-ci de la montagne ?

J’ai essayé de remonté la pente là ou j’étais tombé, mais je n’y parvins pas, elle était trop haute, trop chaude et trop friable pour que je reparte par là ou j’étais entré. Je du donc me résigné à emprunter un nouveau chemin. A plusieurs reprise, je déboucha sur une même plateforme que celle que je venais de quitté, elles aussi jonchées de coquilles cassées. Pourtant, à la 5e salle similaire, un élément était différent.

Un Œuf ! Il était là, dans un des coins de la plateforme, tout seul. Je resta figé un long moment avant de m’en approcher. Je le toucha. Il était encore chaud, mais rien d’étonnant car la chaleur de la pièce m’était devenu pénible. Je leva les yeux et remarqua que la pente de cette pièce semblait moi dur que pour les autres salles. C’est alors que j’imagina mon retour. Si je revenais avec cet œuf, cela serait la preuve de mon courage et de mon appartenance à ma famille. Mais j’apprit que le prix de cet œuf était lourd à payer, car pour escalader la pente, j’avais besoin minimum d’un bras, or il fallait que je choisisse entre l’œuf ou ma torche. Car oui, je savais que si ces salles étaient baigné de lumière, les autres non.

Pourtant, l’envie de prouver ma valeur au mien fut trop forte, ainsi j’abandonna ma torche, serra l’œuf verdoyant contre moi et commença mon ascension. Je ne m’attendais pas à ce que cela soit si difficile, même si je n’étais pas un champion d’escalade. Je glissais, les prises étaient fictives, j’étais en nage avec cette chaleur infernale et l’effort. Après avoir puisé au bout de mes forces, j’atteignis enfin le haut du plateau. Je n’avais jamais autant ressenti la soif qu’à ce moment là, je n’arrivais plus à bouger, ainsi je suis resté assis et adossé au mur et bon moment avant que finalement je finisse pas m’endormir.

En rouvrant les yeux, je cru que j’étais devenu aveugle, mais c’était la lumière intense de la lave qui en était la cause. Après m’être réhabitué à l’éclairage, je parvins à me remettre sur mes pieds. Je ne savais pas combien de temps j’étais resté dans ces grottes, mais je savais que je devais faire vite si je voulais rentrer avant la nuit. Sans lumière désormais, mes mouvements étaient devenus moins aisés. Après un temps néanmoins, je m’habitua peu à peu au manque de lumière, mais il n’empêche que j’étais toujours perdu.

Plus tard, quand mes jambes n’en pouvaient plus, je décida de faire une pause. L’œuf pensait son poids, malgré ce que j’avais estimé à prime abord. Je me demandé à quoi il pouvait bien ressembler, quand je fus parcouru par un frisson. Pas de peur, mais de froid, car je venais de sentir un vent glacial dans mon cou. C’est alors que je réalisa. Privé de ma vue, je ressentais mieux mes autres sens et donc je sentais les courants d’airs qui me giflais le visage. Si le vent rentré, c’est que la sortie ne devait plus être très loin. Je me leva d’un coup et courut à contre courant du vent. Je n’avais pas peur de me cogner dans un mur, j’étais exalté par le fait de pouvoir sortir d’ici.

Je déboula à l’extérieur de « la faille du monstre » comme une bête enragé, menaçant même de tomber à la renverse. Relevant la tête, j’aperçu à l’horizon le soleil qui allait bientôt se coucher. « J’ai réussi !! ». Pendant que je reprenais mon souffle, je réalisa peu à peu quelque chose. Personne n’était là ? Quand mon frère avait exécuté son épreuve, on avait été obligé de rester sur place le temps qu’il sorte. Ça ne m’avait pas gêné, car j’avais passé ma journée à parler avec Eliania, mais je n’aurais jamais pensé qu’ils partent avant que j’ai fini.

Il y avait plusieurs lieux entre la crête d’Igna et Archam, en plus que je sentais mon entrain décroitre et ma fatigue réapparaitre. L’œuf me paressé de plus en plus lourd et le soleil était bientôt presque entièrement tombé quand je m’écroula. Je fut réveillé par un nid de poule sur la route. J’étais dans une charrette, à son bord, deux gardes ainsi que maitre Luxaroth, c’est lui qui tenait mon œuf. Il m’expliqua alors, que je n’étais pas revenu avant la nuit, mais la nuit d’après, soit que j’avais passé deux jours dans la faille.

Quand nous fûmes arrivés, le Maitre me conduisit dans la salle à mangé, là ou le reste de la famille devait se trouver. Quand je pénétra dans la pièce, je vis le sourire d’Orphen disparaitre. Je salua mon père, puis je lui tendis l’œuf sans dire un mot. J’avais peur de m’effondrer avant qu’il n’ai pu dire quoique ce soit, mais je tenu bon. « Garde ceci comme preuve de ton courage, pour que tes descendants sachent de qui ils tiennent ». Après avoir remercié mon père, Maitre Luxaroth m’amena à ma chambre voyant que j’avais grand besoin de repos. Il fit couler le l’eau par magie et m’en donna encore, sachant qu’il m’en avait déjà donné dans la carriole.

Quand tous ures quitté la pièce, je me dirigea non pas vers mon lit, mais vers la cheminé allumé. J’y déposa délicatement mon œuf et le regarda rougeoyer un moment avant de m’endormir sur le sol. Je fut réveillé quelques heures plus tard, par un bruit étrange. Je me frotta les yeux tellement j’avais du mal à croire ce que je voyais. A la place de l’œuf, se trouvait un tas de morceaux éparpillés et juste devant moi, un petit bébé Basilic.

Je vous passe les détails, mais sachez que le jour même, je l’ai passé à convaincre mon père de ne pas tuer ce bébé car comme c’est moi qui l’avait trouvé et il était sous ma responsabilité. Finalement, il accepta en me disant que j’étais un homme désormais et que moi aussi je devais assumer mes actes. Le bébé était à moi désormais et ce bébé… je l’ai appelé Droggo.



[Voilà, je sais que ça fait un peu beaucoup, mais je trouvais sympa d'écrire comme ça. Je m'excuse d'avance pour les fautes, car j'essai de beaucoup me relire, mais des fois je passe à côté. Pour le secret concernant Luxaroth et mon perso, je pense qu'il serait mieux de voir cela par mp. J'ai l'autorisation pour créer la ville et les bêtes (les crocs-vifs) ne vous inquiétez pas ^^.Si vous avez des questions ou des objections, pas de problème, je suis ouvert à la critique.]

DE TOI A NOUS DIS NOUS TOUT
Pseudo : Je resterais mon perso jusqu’au bout
Age : 23 ans
Comment avez-vous connu le forum ?Par la fondatrice ^^ "
Qu’en pensez-vous ?J’adore le contexte et j’ai hâte de voir ce qui va se passer après cette « invasion extraterrestre » Wink
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Sur quelle lune de Jupiter les humains ont-ils trouvés le site Reïn’ta ?Ok By Vanessa

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Message(#) Sujet: Re: Kamen Vanharm Kamen Vanharm EmptyVen 22 Fév - 11:06

Bonjour et bienvenue sur Sorëan, préviens nous quand ta fiche sera finie et n'hésites par à contacter le staff si tu as la moindre question.
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Message(#) Sujet: Re: Kamen Vanharm Kamen Vanharm EmptyVen 22 Fév - 12:30

J'ai édité plus tôt que prévu >///<

Fiche terminée, en attende des commentaires.
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Vanessa Crescent

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Message(#) Sujet: Re: Kamen Vanharm Kamen Vanharm EmptyVen 22 Fév - 15:47

@_@ Vous voulez ma mort ou quoi ?

Magnifique fiche très bien travaillée. L'histoire est cohérente et parfaitement intégrée au contexte. Seul détail, pour la nationalité, ton perso a beau venir d'Archam, c'est tout de même un talrëan^^

Pour le reste c'est parfait, je t'invite aussi à consulter ce sujet pour nous créer la créature dont tu as parlé.

Bon jeu <3
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Message(#) Sujet: Re: Kamen Vanharm Kamen Vanharm Empty

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