| JE M'APPELLE Meswen d'Amecar ET JE SUIS Diverses Informations Multi-Compte : duc d'Amecar | |
| (#) Sujet: Duc d'Amecar Dim 9 Fév - 18:08 | |
| Meswen d'Amecar | [Harada Sanosuke ~ Hakaouki] ▬ Nom : d'Amecar ▬ Prénom : Meswen ▬ Age : 30 ans ▬ Sexe : masculin ▬ Groupe : Felionien ▬ Métier ou fonction : duc d'Amecar ▬ Origine : Sorëan ▬ Nationalité : Félonia |
Caractère
Il convient de distinguer plusieurs caractères chez le jeune Duc : celui qu'il avait avant de le devenir, et celui qu'il affiche maintenant qu'il a sur les épaules le destin d'Amecar.
Avant que cette tuile monumentale ne lui tombe sur le coin de la trogne, le jeune homme affichait un tempérament aussi explosif que bien des Volcans de la chaîne d'Igna, ce n'était pas son genre de fuir les ennuis, et affichait une ferveur à les trouver au moins aussi flamboyante que ses cheveux. Insouciant ? Non, seulement avide de profiter de sa jeunesse, et de sa force, il ne reculait jamais devant un bon combat, il cherchait constamment à repousser les limites de son corps, sans être perfectionniste, il tenait à savoir ce qu'il valait vraiment. En dehors des entraînements, manœuvres et duels qui rythmaient la vie de militaire, Meswen était quelqu'un de souriant, très amical et ouvert. Des amis, il en avait plein, certains auxquels il tenait plus qu'à d'autres, bien sur, mais il avait cette faculté d'attirer les gens à lui, un peu comme les papillons attirés par la lueur d'un brasier. S'il donnait facilement son amitié, être son meilleur ami s'avérait plus compliqué mais quand tel était le cas, c'était à la vie à la mort entre lui et l'élu(e).
Curieux de nature, malgré une nette préférence des activités physiques par rapport aux intellectuelles, ses dehors bourrus et martiaux dissimulaient une certaine intelligence et une grande sensibilité aussi... Très tôt il est venu à s'intéresser au sort du peuple, vadrouillant à droite, à gauche dans le duché, voyageant incognito, ou pas en fonction de ses manies. Plusieurs fois il s'arrêta pour discuter avec des paysans, connaître leurs problèmes, leurs revendications. A force de discuter, de connaître le quotidien des masses laborieuses, il se fit une image qui n'était guère rose de la vie au sein du duché, et se promis de faire ce qui était en son pouvoir pour y remédier. Les paysans appréciaient l'absence de distance que le jeune homme instaurait entre eux, l'absence d'étiquette rendait le contact plus facile et aidait à délier les langues...
Mais depuis qu'il est Duc, il se doit de respecter certaines règles... Déjà, il a du se forcer à être moins impulsif, et surtout beaucoup plus réfléchis, maintenant qu'il a l'avenir de son Duché complet sur les épaules, la moindre de ses décisions, pour peu qu'elle soit prise de manière impulsive, pouvant mener son peuple au désastre. L'étiquette, encore une des raisons qui font que le jeune homme déteste sa nouvelle position, tout ces salamalecs échangés entre gens de la "bonne" société, Meswen a du mal avec ça. Mais, même s'il a du mal à être diplomate de temps en temps, il est bien forcé de s'y plier. La nostalgie, le jeune homme est nostalgique de l'époque où il pouvait agir comme bon lui semblait, où sa meilleure amie n'avait pas à lui donner du "messire" ou "duc", nostalgique de l'époque où son frère ainé vivait encore, nostalgique de l'époque où la pire chose pouvant lui arriver était une chute de basilic. Sa fierté est toujours intacte, et son caractère impulsif manque bien souvent de lui faire commettre un impair, du genre envoyer son poing dans la figure d'un vassal prétentieux ou trop ambitieux. Sa nouvelle position le rend plus semblable que jamais aux volcans de la chaîne Igna, jamais vraiment éteints, toujours prêts à éclater...
Malgré tout, une fois débarrassé des tracasseries dues à son rang, il reste le jeune homme curieux, souriant et ouvert qu'ont connu ses amis... Il a également gardé sa très grande affection pour les Basilics, il a conservé sa monture et essaie aussi régulièrement que possible de la monter ou de dresser d'autres montures. A propos des femmes, il est comme n'importe qui, intimidé au début, plus à l'aise une fois la conversation établie, ensuite... tout dépend de ses attentes et de celles de la donzelle...
Il est amoureux de l'ancienne mage personnelle de la défunte reine de Félonia, Lyriel Daran, et sait ses sentiments réciproques...
Physique
Commençons par son visage. Un visage fin, bien dessiné, un menton volontaire surmonté d'une bouche aux lèvres fines, des yeux d'un marron tirant sur le rouge... jusqu'ici rien que de très ordinaire, sauf peut être les yeux, flippants pour les uns, envoûtants pour les autres, Meswen n'apporte que peut d’intérêt à ce que les autre pensent de ses globes oculaires, son principal intérêt vis à vis de ses yeux étant le fait qu'ils lui permettent de discerner un mouvement rapide d'un éventuel adversaire. Le visage est surmonté d'une tignasse très fournie, souvent coiffée en queue de cheval, d'un rouge aussi flamboyant que le cratère d'un volcan, que le jeune homme entretiens quand il en a le temps, où l'envie. (la tignasse, pas le volcan)
Pour le reste du corps, le Duc dispose d'un corps sculpté par des années d'entrainement, ses bras ont été forgés par le maniement des armes, il peut user d'une épée ou d'une lance avec puissance et célérité, mais excèle surtout dans l'art de manier le naginata, pendant la durée d'un combat ou d'une bataille, avec les conséquences inhérentes à ces activités en terme de fatigue ou de blessures, ses épaules sont solides et larges, il peut peut supporter des charges avoisinant son poids, du moment que le trajet ne soit pas excessivement long, son torse dispose de pectoraux et d'abdominaux biens dessinés, malgré le fait que l'inaction forcée à laquelle il est contraint n'adoucisse les reliefs de ses abdominaux à cause de la légère couche de graisse se formant sur son ventre...
Concernant ses jambes, elles aussi ont été forgées par des années d'entraînement, et malgré son nouveau statut, le duc s'accorde une session de course tout les matins, toujours le même trajet, afin d'en conserver et d'en entretenir l'efficacité. Des cuisses puissantes, des mollets bien modelés aux muscles fins, même s'il ne s'agit pas de la partie de son corps qu'il préfère, le duc est fier de ses jambes.
Concernant les particularités, on peu juste signaler une cicatrice sur le bras droit, une blessure reçue lors d'un combat, une lame lui ayant transpercé le biceps, mais le résultat passe inaperçu, à moins d'y prêter attention, ainsi qu'une cicatrice à l'abdomen, conséquence de quelques secondes d'inattention face à un basilic acariâtre.
Le duc présente donc 1.85m de normalité martiale, habillée de larges pantalons blancs et d'amples vestes blanches bordées de rouge, avec ou sans manches. Il aime à enserrer ses avant bras de bandes de lin, renforçant la solidité de sa prise sur ses armes, et lui assurant, même si elle est légère, une certaine protection, ses mains sont souvent couverte de mitaines rouges, au grand dam de ses conseillers, pas toujours en accords avec cette tenue résolument martiale. Autre point de désaccord vestimentaire, la propension du jeune homme à laisser ses veste largement ouvertes, "offrant" son torse à la vue de tous...
Histoire
La vie du jeune Duc d'Amecar a commencé trente ans plus tôt, dans le château des ducs d'Amecar, dans la ville de Sumendi. Déjà bébé, son père sait que le nouveau né se tournera vers les armes, c'est un poupon robuste et plein de vie qui mène la vie dure à ses nourrices, on sent qu'il est animé de la même énergie que celle qui gronde sous le sol d'Amecar, ses parents le baptisent Meswen, le "feu vif". Physiquement parlant, Meswen est très en avance : il tient solidement sur ses deux jambes alors que les enfants de son âge en sont encore à crapahuter à quatre pattes, et commence très tôt l'exploration pataude des nourrissons, à la découverte de ce vaste monde qui sera le leur, guidé par son frère aîné, qui, malgré une constitution plus fragile que celle de son benjamin, a prit très tôt son rôle de grand frère au sérieux, sous le regard amusé de son père et attendri de sa mère.
De fait, la relation que les deux frère entretenaient était forte, et très tôt, il fut évident que l'un était le complément de l'autre : l’aîné des deux, de faible constitution, compensait par une curiosité et une soif d'apprendre certaine, tandis que le benjamin, lui, se surpassait dans tout ce qui avait trait aux activités physiques et, malgré une certaine curiosité, il s'ennuyait profondément aux cours dispensés par leur précepteur. L'apprentissage de la lecture, du calcul et de l'écriture fut rapide, Meswen était d'avantage aidé par son frère que par leur professeur pour progresser en la matière, il aimait l'histoire et la géographie, mais à petite dose et surtout pas en pleine journée, rester enfermer alors qu'il pouvait se dépenser dehors rebutait le jeune homme, et il n'était pas rare de le voir faire le mur pour aller traîner dans les casernes avoisinantes ou juste apprécier le temps, le ciel, le vent, allongé sur la branche d'un arbre.
C'est donc d'avantage à son frère que Meswen devait son "érudition", il lui faisait lire des livres le soir avant de s'endormir et, bien qu'ils aient chacun leur chambre, il était très fréquent de trouver les deux enfants endormis dans la même chambre. A l'age de huit ans, Meswen refusa tout net de suivre les cours du précepteur, et décida de passer ses journées à s’entraîner, les remontrances paternelles n'y firent rien, et Meswen fut confié à la bonne volonté d'un maître d'armes, un ancien membre de la garde ducale, un vétéran du nom de Veran Lamil au visage aussi ravagé qu'une falaise subissant les assauts d'un océan en furie. L' ancien combattant en avait vu des vertes et des pas mures, et son entraînement fut dur, très dur pour le jeune garçon, mais sa nature résistante et sa fierté, autant que son tempérament, ne lui firent jamais baisser les bras. S'il n'était pas un combattant exceptionnel, la résistance et la volonté du futur duc impressionna très favorablement le maître d'arme, et il s'appliqua à faire du futur duc un des meilleurs candidats possibles pour les casernes des troupes d'élite du duché. Le maître d'arme eut un jour la bonne idée de faire essayer une arme étrange, une épée à tranchant simple et lame courbe fichée dans une hampe de lance, au jeune garçon, et il s'aperçu qu'il était très doué avec cette arme plutôt atypique, à tel point que Meswen refusa de s'en séparer. Une telle arme n'était pas vraiment une arme de noble, et le jeune garçon dut quand même, bon gré, mal gré, continuer à manier l'épée
Le jour de son admission dans la caserne des gardes ducaux, caserne formant des combattants d'élites, tous d'origine noble, sous l'égide d'un maître d'arme réputé du nom de Kryos Nigelsund (ancien co-disciple du précédant maître d'arme du jeune homme), Meswen reçu un œuf de Basilic, l'animal, né peu après, fut baptisé Sigür par son propriétaire, qui en fit une monture obéissante, dotée néanmoins d'un caractère bien trempé. La vie à la caserne convint parfaitement au jeune homme, qui ne tarda pas à se faire des amis, malgré de trop nombreux fils de nobles aimant à se faire mousser. Parmi eux, une personne se détachait du lot, Jana de Tryër, fille d'une noblesse du duché, était la partenaire d'exercices favorite du futur duc, une redoutable bretteuse qui bien souvent lui tenait la dragée haute, une beauté combattante, une amazone qui attirait quasiment tout les regards masculins. Meswen ne chercha jamais à s'attirer les faveurs de la belle, pas plus qu'elle ne chercha à s'attirer les siennes. Entre eux naquis une solide amitié, entretenue par de beaux combats, les seules fois où Meswen parvenait à la battre étaient celles où il se battait avec son arme de prédilection, de belles parties de rigolades et des balades à dos de Basilics, la demoiselle étant elle même propriétaire d'une de ces bêtes.
De par son rang, Meswen devint officiellement garde ducal avec un grade supérieur aux autres, non qu'il ne l'ai pas mérité, mais que le jeune duc ne soit pas d'accord avec cet état de fait n'entrait pas en ligne de compte, il avait le grade de capitaine alors qu'il avait à peine vingt ans. Heureusement pour lui, sa meilleure amie l'accompagna dans l'aventure, seule personne avec laquelle il se sentait vraiment en confiance, la seule qui le connaisse vraiment au milieu de tout ces nobliaux ivres de leurs propres mérites ou légendes, qu'ils soient ou non vérifiés. Les missions s'enchaînèrent, Jana et lui prirent rapidement du galon, et son amie devint vite son bras droit. Partout où elle allait, la paire d'amis faisait des étincelles, c'est donc naturellement que le père de Meswen les désigna pour assurer une mission représentative auprès de la cours.
Bien qu'il ne fut pas préparé à ce rôle, l'état de son frère l'empêchant de le soutenir face au roi, et ses parents, préoccupés par l'état de leur aîné ne souhaitant pas l'abandonner, forcèrent Meswen à accepter. Embarquant Jana dans l'affaire, hors de question pour lui d'affronter une première fois la famille royale sans un soutiens amical, ils se présentèrent à Félios pour représenter Amecar. A la cours cependant, se produisit un événement auquel Meswen ne s'attendait pas : il tomba amoureux de la mage personnelle de la reine elle même. Ils se parlèrent d'abord lors d'une soirée mondaine, une réception où Meswen ne se sentait pas du tout à l'aise, les mondanités, les salamalecs échangés entre puissants, tout ça lui donnait la nausée. C'est en allant prendre l'air qu'il la trouva, seule sur une terrasse. En discutant, il se rendit compte qu'il se sentait attiré par elle, sa peau légèrement brunie, son corps, il avait envie de les étreindre, ses lèvres, envie de les embrasser, sa personne, envie de la choyer...
Coup de foudre ? Pour le futur duc, sans l'ombre d'un doute. Il essaya de la revoir aussi souvent que faire ce peut, sans forcément lui faire la court, mais en ne dissimulant pas le trouble qui l'habitait, ni l’intérêt qu'il lui portait... et lorsqu'elle céda à ses avances, la suite fut comme dans un rêve. Il passèrent des moments délicieux ensemble, tous fait de tendresse, de passion et d'affection. Mais comme dans un rêve, tout s'arrête trop tôt, Meswen dû retourner à Amecar, la santé de son frère s'était brutalement dégradée et le pire était à craindre. Il parti, laissant une partie de son coeur à Félios.
L'autre partie fut brisée à son retour à Amecar : son frère était mort de maladie, sa mère et son père étaient effondrés, le pauvre homme n'avait plus le coeur de poursuivre la gestion du duché, la succession de son père lui incombait. Tout s'écroulait pour Meswen. Il avait toujours cru son père solide comme le roc, aussi inébranlable que les fondations de leur palais de Simendi, et pourtant, cet homme qu'il avait toujours vu comme un cap pouvant faire face à toute les tempêtes, venait de vieillir de vingt ans suite à la mort de son fils aîné, il avait toujours cru que ce dernier, tout fragile qu'il fut, pourrait prendre la succession de leur père, jamais il n'avait envisagé qu'il puisse mourir avant lui. Et du jour au lendemain, Meswen perdait son cher frère, l'image réconfortante d'un père fort et solide volait en éclat, et il devait assurer la pérennité d'un duché entiers, alors que rien ne l'y avait préparé... de plus, la promise à son frère indiqua que les fiançailles étaient rompues de par la mort de ce dernier, le nouveau duc d'Amecar ne chercha certes pas à retenir cette demoiselle qu'il n'avait, par ailleurs, jamais rencontré, et son cœur était de toute façon déjà pris.
Il dû tout apprendre sur le tas, et surtout, faire un sacré travail sur lui même. La première réunion du conseil de trois duchés, pour se présenter aux autres ducs, et présenter les divers éléments ayant conduits à cette situation, Meswen se senti encore une fois au bord de la nausée. Il cru cependant se découvrir une certaine affinité avec le duc d'Yliss, en terme de façon de voir l'avenir, mais la parler à la jeune duchesse de Huss lui donnait l'impression de tenter d'apprendre la géographie à un Basilic... heureusement, il pu retrouver les bras de Lyriel Daran après cette réunion, le temps de quelques retrouvailles avant de devoir retourner au duché, non sans avoir essayé de l'y faire venir, en vain.
Et puis, alors que le jeune homme commençait enfin à se faire à ses fonctions, survint la mort des souverains. L'accident ébranla Félonia encore plus brutalement qu'un séisme ne pouvait bouleverser Amecar. Le jeune Duc se rendit aussi vite que possible à Félios, et il eut la tâche de porter le cercueil du défunt roi avec les autres ducs et le champion Rizen Trabis. Après cette cérémonie aussi éprouvant qu'émouvante, le conseil des ducs devait décider de qui pouvait reprendre la succession royale. Les faits ne donnèrent pas de successeur, et les ducs s'en retournèrent chez eux, la situation était tendue.
Meswen a depuis préparé son duché à l'inévitable affrontement à venir, il n'avait pas l'intention de frapper le premier, mais un vassal trop amoureux de sa légende en devenir a décidé de couper court à l'immobilisme ambiant, et déclenché les hostilités. Meswen sait que, quelle que soit sa décision, en découlera une magistrale empoignade qui amènera le futur roi de Félonia sur le trône, quel qu'en soit le résultat, il se battra pour Amecar, pour Félonia, et par le fer ou le feu, il est prêt à vaincre !!
Réellement ▬ Pseudo : Rapier7▬ Age : 26▬ Comment avez-vous connu le forum ? par mon autre compte ^^ ▬ Qu’en pensez-vous ? hmmm... ma seconde présence devrait suffire à répondre à cette question non ? ^^ ▬ Code : OK by Vanessa▬ Quel était le nom de l'empereur de Talrëa lors de la guerre de la reine Harpie ? OK by Vanessa |
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