Les Terriens sont les gens issus d'une version futuriste de notre bonne vieille Terre, ayant atterrie par hasard et en catastrophe sur la planète Sorëan à bord de l'Arche. Vous trouverez ici toutes les infos les concernant, aussi bien leur culture, leur technologie et des informations plus généralistes.

• L'Arche
  
• Changement chez les terriens
  
• Organisation du personnel militaire
  
• Organisation du personnel civil
  
• La situation sur Terre
  
• Technologie terrienne
  
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• Vaisseaux spatiaux

L’Arche est le vaisseau spatial le plus abouti et le plus avancé mis au point par la Fédération Humaine à partir de l’étude de la technologie Reïn’ta. Faisant plus de deux kilomètres de long et composé de plusieurs ponts, il entre dans la catégorie des super-cuirassés. Une grande partie de sa technologie est novatrice et conçue spécifiquement pour sa construction, tel son puissant réacteur nouvelle génération, le Mjöllnir, son imposant noyau gravitationnel ou ses moteurs capables de propulser son imposante masse à grande vitesse.

Construit pour une mission de recherche et d’exploration avant tout, le vaisseau est conçu pour être le plus indépendant possible, il possède son propre système de recyclage des déchets et de l’eau, avec au besoin la possibilité de puiser dans des astéroïdes glaciales rencontrée en chemin, des serres hydroponiques pour augmenter encore l’emport de vivre et même une usine pouvant produire de nombreux objets en recyclant quasiment tous les matériaux possibles. La recherche étant l’un des buts, la moitié d’un pont est composée entièrement de laboratoires en tout genre pour toutes les spécialités scientifiques.

Capable de se défendre, le vaisseau est protégé par une coque à blindage multicouches ultra-dense en plus de ses boucliers d’énergie et possède une puissance de feu plus que respectable par de nombreuses batteries laser de contact et les derniers modèles de canons à fusion de la Fédération. Sans compter les trois escadrons de chasseurs de type Garuda qui se cachent dans ses nombreux hangars.

Au départ de la terre, l’équipage comptait 2582 membres d’équipages. Un peu plus d’un tiers sont des militaires, le reste est civil.

L’équipage militaire est divisé en trois parties. Les officiers de pont dont le commandant et son second, ce sont eux qui dirigent et manœuvre le vaisseau. L’aviation, qui regroupe les trois escadrons de chasseurs, le personnel d’entretien de ces derniers et les pilotes de navettes. Et enfin, l’infanterie, chargée des missions au sol et de jouer le rôle de personnel de sécurité du vaisseau.

Le reste du personnel est civil, une grande partie est composée de scientifiques de multiples spécialisations mais on trouve aussi les ingénieurs et mécaniciens responsable de la bonne fonction du vaisseau et tout le personnel tiers, allant de l’entretien à la cuisine jusqu’au personnel médical.

Si en théorie, le commandant du vaisseau est seul maître à bord, celui-ci s’appuie beaucoup sur le conseil de pont pour prendre les décisions importantes et calmer les éventuelles tensions entre civils et militaires. Le conseil est composé de six personnes, le commandant lui-même, l’officier en chef de l’aviation, l’officier en chef de l’infanterie, le responsable scientifique, l’ingénieur en chef et le médecin-chef.

Les nouveaux résidents temporaires de Sorëan ont reprit espoir après avoir enfin renoué le contact avec la Terre. L’attente de trois ans avant l’arrivée de l’Amaterasu ne les a pas abattue pour autant et ils ont fait le nécessaire pour s’installer dans le petit territoire servant d’ambassade et généreusement concédé par l’Empereur de Talrëa.

Par ordre de l’Amiral Bennet, les réparations visant à rendre l’Arche de nouveau apte à voler ont été suspendus tant que les équipes de secours ne seraient pas arrivées et l’engin parfaitement évalué. A la place, ils ont plutôt fait le nécessaire pour se concentrer sur leur confort de vie pour les trois prochaines années.

Les ressources du vaisseau ont donc été redistribuées. Grâce à l’usine interne et le savoir-faire de son personnel technique, les terriens ont aménagé une zone entre le vaisseau et la Garnison étoilée, une sorte de village pour eux à base de bâtiments préfabriqués mais fonctionnels et plus confortables que les cabines du vaisseau. Les terriens ont donc maintenant des maisons pour eux, alimentées en eau et électricité grâce à des raccordements liés à l’Arche. La bourgade porte le nom très simple de Village de l’Arche et de fil en aiguille, il a fini par attirer quelques sorëans de passage pour apporter du commerce et un peu plus de vie, voir même des compagnons sorëans pour certains terriens qui ont trouvé du charme aux autochtones.

Récemment, le Village de l’Arche a finit par attirer, via quelques circonstances un peu particulières, une petite communauté de harpies plus pacifiques qui ont trouvées un lieu de paix, loin des persécutions sorëannes et de la violence de leur propre culture. Officiellement, les terriens ont des accords avec certains clans harpies, concernant principalement de la non-agression, du libre-échange commercial tant que les harpies ne vendent rien de volé, la libération de leurs esclaves qui sont confiés aux soins des terriens en échange de quelques facilité pour les aider à se passer d’eux et surtout la protection de l’Arche tans qu’elles sont dans la zone du village. Il y a même quelques cas rares de couples entre des terriens et des harpies, rendant les lieux plus animés.

Malheureusement, cet accord n’est pas sans conséquence et les terriens se sont mis en froid avec les autorités religieuse locales à cause de ça mais cela reste calme pour le moment. Cela a d’ailleurs divisé aussi bien le clergé de Solyma que celui de Ryna et Rany. D’un côté, certains prêtres et prêtresses estiment que les harpies sont des créatures indigne de Solyma et doivent toujours êtres persécutées et de l’autre des ecclésiastiques plus modérés qui estiment que les harpies qui se civilisent n’ont pas à souffrir éternellement des fautes de leur créateur dont elles ne sont techniquement pour rien. Ces deux courants sont à égalité pour le moment et les terriens ne risquent pas en théorie de souffrir d’une nouvelle croisade du soleil… sans compter que leur puissance militaire est largement dissuasive.

Voyons ici plus en détails comment s’organise la chaine de commandement des membres du personnel militaire de l’Arche.

Tout au sommet se trouve naturellement le commandant du vaisseau, le colonel Vanessa Crescent. Le commandant est épaulé par un commandant en second le lieutenant-colonel Frantz Dinckel, ce dernier a de multiples fonctions, dont celle d’assurer le commandement si le Commandant devait s’absenter du vaisseau pour une raison ou pour une autre.



Le commandant en second est également l’encadrant des militaires de la force spatiale, appelé aussi personnel de pont. La force spatiale peut se diviser en quatre branches.

La première est la navigation, dont le travail est d’assurer la cartographie, le repérage et de tracer les caps. Les navigateurs sont sous la direction d’un officier responsable (grade capitaine).

La seconde est le pilotage. Les pilotes, appelés dans ce cadre-ci, les timoniers, ont pour travail de diriger le vaisseau dans l’espace, selon les caps donnés par la navigation et sous les ordres de l’officier responsable présent sur le pont. Ils n’ont pas d’officier encadrant car leurs consignes leur sont données directement par le commandant ou son second. Autant dire que pour le moment, les pauvres sont un peu désœuvrés…

La troisième est l’artillerie. Les artilleurs s’occupent de tirer avec l’armement du vaisseau, aussi bien la gestion des batteries laser, des canons à fusion que des boucliers défensifs. Les artilleurs sont sous la direction d’un officier responsable (grade capitaine). Le commandant leur dit sur quoi tirer et eux décident comment tirer selon la situation.

Enfin la quatrième est la section communication et transmission. Ce personnel est chargé de toutes les communications, aussi bien internes qu’externes du vaisseau, sous la direction d’un officier responsable (grade capitaine).



L’aviation comprend les trois escadrons de chasse, les navettes de transport, leurs pilotes et le personnel d’entretien de ces machines. L’aviation est supervisée par un officier responsable, de grade lieutenant-colonel, qui est aussi membre du conseil de bord.

L’aviation est ensuite divisée en trois sections :

Les trois escadrons de chasse de chasseur Garuda, supervisé par un officier de grade commandant. Chaque escadron est dirigé par un capitaine (Eric Jansen, Kenichiro Natsumaru et un autre libre). Les pilotes de chasse sont de grade lieutenant, sous-lieutenant ou major en fonction des compétences et de l’expérience.

La seconde section comprend les navettes de transport Orca et Sylph ainsi que leurs pilotes. La gestion des navettes est assurée par un commandant responsable. Les pilotes de navettes sont de grades capitaine, lieutenant, sous-lieutenant ou major en fonction des compétences et de l’expérience.

La dernière section est celle du soutien mobile. Il s’agit du personnel d’entretien des chasseurs et des navettes. Ils sont supervisés par un officier responsable de grade capitaine et ses membres ont des grades allant de lieutenant à adjudant en fonction ici aussi des compétences, de l’ancienneté, du poste occupé et de la spécialisation.



Il s’agit des forces terrestres de l’Arche, chargé du combat au sol ou dans les coursives du vaisseau si nécessaire. Ce sont des soldats entrainés à combattre dans de nombreux théâtres d’opération avec toutes les configurations possibles.

L’infanterie est dirigée par le lieutenant-colonel Samuel Weber, membre également du conseil de bord. Il a sous son commandement trois sections distinctes.

La première et la plus nombreuse est celle de l’infanterie mobile. Supervisé par un officier de grade commandant, elle comprend toutes les troupes de combat au sol. L’organisation des troupes est ici bien plus nébuleuse et surtout plus flexible. On y trouve les troupes d’intervention, les éclaireurs, les forces spéciales, etc. Les grades vont du simple soldat au capitaine en fonction des compétences et des spécialisations.

La seconde est celle de l’infanterie mécanisée, organisé ici aussi par un officier responsable de grade commandant. Elle se divise en deux parties. D’un côté, les tank Arak et leurs équipages, de base, un chef de véhicule (capitaine ou lieutenant), un pilote et un artilleur (grade sergent à sous-lieutenant). De l’autre côté, les unités d’infanterie lourdes. Les soldats utilisant des exosquelettes et des armures lourdes de combat, emportant des armes lourdes, ils servent d’artillerie d’appuie aux troupes légères.

Enfin la troisième est la section de soutien et logistique. Encadrée par un capitaine, elle comprend les mécaniciens des tanks Arak, le personnel d’entretien de l’équipement, les membres du génie et les sections de déminage. Grades de sergent à lieutenant en fonction des responsabilités, des compétences, des spécialisations et de l’expérience.

Même s’ils ne suivent pas la rigueur propre aux militaires, les très nombreux personnels civils de vaisseau ont tout de même une forme de hiérarchie et d’organisation qui leur est propre. Ils sont bien évidemment soumis aux ordres du commandant du vaisseau, Vanessa Crescent ou de son second s’il assure l’intérim. Pour le reste, ils sont répartis en trois branches avec un responsable, membre du conseil de pont, pour chacune d’entre elle.


Sans doute l’un des plus nombreux à bord en raison de la nature de la mission de base de l’Arche. Ils sont sous la supervision du responsable scientifique, membre du conseil de pont, rôle qu’il assure en plus de ces propres recherches.

Les spécialisations scientifiques à bord sont diverses, nombreuses et dans bien des domaines. Les scientifiques sont répartis en divers pôles de recherches avec un responsable pour chacun d’entre eux et même des sous-pôles pour les domaines les plus vastes.



Peut-être moins nombreux que les scientifiques mais englobant une plus large catégorie de personnel. C’est bien évidement ici qu’on trouve les mécaniciens, les ingénieurs et tout ceux chargés d’assurer la bonne marche du vaisseau mais on trouve aussi tout le personnel annexe tel que le personnel d’entretien et le personnel de vie.

Il est sous la responsabilité de l’ingénieur en chef, membre du conseil de bord et dont la voix pèse lourd dans toutes les décisions d’ordre technique concernant l’Arche. En plus de ces propres compétences, c’est une personne devant assurer la supervision de plusieurs corps de métiers, ce qui en fait une place très stressante.

Parmi les branches de cette section, on trouve les ingénieurs énergétiques, ceux assurant le fonctionnement du réacteur et du noyau ainsi que l’alimentation en énergie de toutes les parties du vaisseau. Les ingénieurs moteurs qui s’occupent de la propulsion. Les mécaniciens généralistes assurant tout l’entretien technique courant pour à peu près tout et n’importe quoi. Le personnel d’entretien sans qui tout serait dégueu à bord. Le personnel de vie assurant le confort de tout le monde, principalement les cantiniers mais aussi les manutentionnaires des entrepôts. Les agronomes qui s’occupent des serres et de la production de nourriture et les ingénieurs de l’usine interne du vaisseau.



Moins nombreux mais absolument vitaux à bord du vaisseau. Il s’agit de ceux s’assurant que tout le monde à bord reste en vie et en bonne santé. Ils sont sous la responsabilité du médecin-chef, membre du conseil de pont, un médecin expérimenté habitué à diriger un service médical même en cas de crise.

On y trouve plusieurs excellents médecins dans plusieurs spécialités (généralistes, chirurgiens, dentistes, psychiatres, urgentistes, etc.), certains en cumulent même plusieurs.

Il comporte aussi tout le personnel soignant, tel que les infirmiers, aides-soignants, brancardiers, psychologues, etc. Là aussi, la multi-spécialisation est souvent de mise.

L’action se déroulant sur la planète Sorëan, beaucoup se demandent à quoi peut bien ressembler la Terre à cette époque. En préambule, je parlerais d’image mentale. Non, la Terre n’est pas un monde agonisant et pollué avec de grandes mégalopoles sombres, crasseuses et dégueulasses où on ne voit jamais le soleil telles qu’on pourrait les voir dans des univers comme cyberpunk ou Deus Ex. Imaginez plutôt quelque chose de plus joyeux et coloré, avec cette touche de science-fiction qui redonne le moral, je pense ici à des univers comme Mass Effect, Star Ocean ou Final Fantasy XIII.

Cela fait 118 ans depuis la fin de la guerre de l’unification, seulement celle-ci a porté à l’humanité un traumatisme violent dont elle a tiré les leçons même après plus d’un siècle. Ayant failli se retrouver exterminés avec une planète inhabitable, les humains sont devenus plus vigilants dans leur grande majorité. Les nations existent toujours, surtout sur le plan culturel, mais tout le monde reconnait l’autorité de la Fédération dont le processus reste démocratique.

Grâce à la technologie Reïn’ta, l’humanité a fait des bonds pharamineux en avant et la Terre fut reconstruite, profitant de nos jours d’un âge d’or, en grande partie aussi, grâce à l’exploration spatiale.

Depuis la fin de la guerre, l’environnement et sa préservation sont devenus une priorité absolue dans les méthodes de construction et d’urbanisation. Les études ont montrés que les Reïn’ta étaient visiblement des maîtres de la technologie environnementale et des techniques de terraformation. En appliquant une partie de cette technologie, la pollution Terrienne a été quasiment exterminée et la planète s’est remise des destructions de la guerre. De grandes zones sont réservées à la préservation de l’écosystème et de la biosphère terrestre.

On parle même d’utiliser les dernières techniques de clonage pour ramener à la vie certaines espèces animales ou végétales éteintes mais ce sujet reste encore en débat pour son domaine éthique.

Bien sûr, l’humanité n’est pas devenue rose bonbon pour autant. L’humain est toujours capable du pire comme du meilleur et si les tensions entre nations ont disparues, les criminels existent toujours dans les bon vieux trafics, le fond reste le même, seules les méthodes ont changés. On a aussi vu l’appariation de groupes nationalistes, de sectes religieuses ou de divers groupe extrémistes mais ils restent des marginaux et constituent plus des épines dans le pied que des dangers mondiaux.

Si la vie sur Terre est donc relativement très agréable, elle est plus contraignante dans l’espace. Car de nombreux humains sont devenus résidents de vaisseaux ou de colonie spatiale à cause de l’exploration spatiale. La vie sur les colonies est plus difficile car même avec des aménagements, tout autour de vous vous rappellent toujours que vous êtes dans un bâtiment où la vie est maintenue artificiellement. Seule la colonie lunaire, grande, développée et profitant de la proximité terrestre, offre un confort largement supérieur aux autres. Cependant, personne ne s’installe jamais définitivement dans l’espace, car tout humain a besoin à un moment ou un autre de retourner sur terre et de vivre dans un environnement naturel, chose que seule la Terre pouvait offrir jusque là avant la découverte de Sorëan.

Si dans l’espace, on peut aussi trouver extrémistes et fanatiques, la plus grande menace qui est apparut reste la piraterie spatiale, des groupes armés de profiteurs qui pillent les convois de transports entre les nombreuses colonies du système Hélios.

D’un point de vue culturel, l’humanité ne s’est pas formatée et uniformisée, au contraire, elle n’a jamais été aussi riche que maintenant, seulement les nouvelles technologies ont simplement changé la disposition des choses.

Evolution générale :

Avec la découverte et l’exploitation du site extraterrestre Reïn’ta sur la lune glacée de Callisto, l’humanité a fait de grands bonds en avant dans de nombreux domaines que ce soit dans l’énergie, la médecine, les voyages spatiaux et bien plus encore. L’humanité n’est maintenant plus sujette aux problèmes énergétiques, la technologie Reïn’ta a balayé ce problème par l’invention des réacteurs de type Thor capable de fonctionner de manière quasiment indéfinie pour peu qu’ils soient entretenus correctement. Le réacteur Mjöllnir de l’Arche est basé sur ce principe, sa technologie prototype est surtout orientée pour fournir de grosses quantités d’énergie très rapidement.

La médecine a rapidement évolué, mais fut également très rapidement encadrée pour éviter les dérives. Les progrès en génie-génétique ont permis de balayer un très grand nombre de maladies et malformations, l’utilisation de la nanotechnologie à des fins médicales est aussi largement utilisée, de même que l’utilisation de prothèses bioniques pour remplacer les membres perdus, on ne sait pas encore les faire repousser. Bien sûr, de nombreux traités et lois fédérales limites les abus. L’utilisation de la génétique pour améliorer ou créer des humains supérieurs est interdite, les nano-armes sont illégales et l’utilisation de prothèse à des fins militaires est strictement encadrée. L’espérance de vie humaine a également augmenté, un humain lambda vit en moyenne 115 ans et le vieillissement est ralenti.

L’humanité s’est également étendue dans tout le système solaire grâce au développement des moteurs gravitationnels. La lune accueille désormais à sa surface une colonie dont la principale fonction est d’accueillir l’académie des officiers de la fédération et un imposant spatioport fut construit sur son orbite. Mars subit actuellement un projet de grande envergure visant à la terraformer. La technologie environnementale utilisée pour annihiler la pollution sur terre permettra d’ici quelques décennies aux humains de vivre sur la planète rouge. Les moteurs hyperspatiaux permettent de visiter d’autres systèmes qu’Hélios mais l’humanité ne s’est pas encore implantée ailleurs pour le moment.

En ce qui concerne le confort de vie, les bases sont restées les mêmes que nous connaissons, c’est surtout la forme qui a changé, les ordinateurs sont miniatures et bien plus puissants, la communication par hyper-onde permet un échange de volume de données très important sur de très grandes distances, les claviers holographiques se sont démocratisés de même que les écrans virtuels tactiles. Pour le reste, imaginez simplement que tout est amélioré par rapport à la technologie du début de 21ième siècle.

Technologie militaire et véhicules :

L’humanité a beau être unie, elle estime avoir toujours besoin de se défendre et la technologie militaire a profité de cet essor. En matière d’armement, il existe trois grandes technologies.

Les armes électromagnétiques sont les plus courante, il s’agit plus ou moins d’une version avancée de la technologie des railgun. Il s’agit d’armes à projectiles physiques dont la puissance est amplifiée à l’aide d’un micro-champ gravitationnel. Les projectiles étant de minuscules fragments de métal, les chargeurs des armes contiennent beaucoup de munitions, en revanche les armes électromagnétiques chauffent très vite, ce qui empêche de tirer à la chaine comme un fou-furieux. C’est la seule technologie applicable aux armes dites « légères », c'est-à-dire les armes d’infanteries en générale.

Les armes à énergie focalisée, dites aussi armes optiques ou plus vulgairement armes laser. Il s’agit d’un rayon d’énergie propulsé selon un vecteur rectiligne et qui provoque des dégâts par l’intense chaleur du rayon. Elles sont très rapides et peuvent tirer à la chaine, seulement, elles chauffent très vite, d’où une utilisation en batterie pour palier aux maximum cet inconvénient. Elles ont également une portée limitée car l’énergie du rayon finit par se dissiper, phénomène amplifiée en atmosphère, une arme laser est donc plus efficace dans l’espace. Cette technologie ne s’utilise qu’avec des armes de gros volumes, comme des batteries fixes de forteresses ou de vaisseaux. Les plus petits modèles fabriqués à l’heure actuelle sont les canons des tanks Arach de la fédération.

Les armes à fusion. Il s’agit d’une technologie prototype et novatrice. Seule l’arche est actuellement équipée de ces canons et elle a perdue les deux ventraux après le crash. Le principe consiste à utiliser le puissant noyau gravitationnel du vaisseau pour créer un champ gravitationnel à l’intérieur duquel est maintenu en suspend un mélange de métaux lourds en fusion. Lors du tir, le métal en fusion est propulsé à l’aide d’un champ magnétique rectiligne à une fraction de la vitesse de la lumière. Les dommages sont provoqués par le puissant impact cinétique et l’extrême chaleur dégagée. Il s’agit de canons redoutables, capables de tirer en sécurité toutes les quinze secondes mais qui nécessitent un vaisseau suffisamment puissant pour les alimenter.

En termes de protection, les soldats profitent maintenant de combinaisons de combat en polymères composites et nanotubes de carbone, équipées de systèmes de survie environnementaux et d’ordinateurs de combats intégrés. L’utilisation d’armures lourdes et d’exosquelettes est aussi d’actualités.

La technologie des boucliers énergétiques est aussi apparue mais nécessite de nombreux émetteurs qui les rendent applicables uniquement sur des constructions fixes ou des vaisseaux.

En matière de véhicules militaires, l’Arche emportait avec elle des tanks Arach. Sa conception est étrange mais très efficaces. Loin d’un engin à chenilles, le tank est en fait équipé de six pieds indépendants avec au bout de chacun une roue tout terrain. Les six jambes sont capables de prendre de multiples configuration, permettant à ce véhicule de se déplacer sur n’importe quel type de terrain, même très accidenté, avec facilité et de faire feu de son canon laser.

Les trois escadrons de chasseurs sont des F-35 Garuda, capable de combattre aussi bien dans l’espace qu’en atmosphère, ce sont des appareils rapides et très manœuvrables mais qui nécessites tout de mêmes de bons pilotes, équipés de mitrailleuses lourdes et de batterie de micro-missiles. L’Arche possède aussi trois F-35 R, des variantes moins bien armées mais dotée d’une technologie de camouflage prototype pour servir d’avion-espion.

Pour le transport, l’Arche possède des navettes de deux modèles différentes. Les T-48 Orca sont des navettes de fret, conçu avec un emport lourd pour transporter beaucoup de matériel ou larguer de l’infanterie sur terrain d’opération. A l’inverse les N-27 Sylph sont des navettes rapides mais plus petites adaptées à la reconnaissance ou aux missions diplomatiques.

L’OMV est un appareil dont tous les membres de l’Arche sont équipés et dont ils ne doivent jamais se séparer. Il s’agit en fait d’un mini-ordinateur personnel qu’ils portent où ils désirent, sous forme de bracelet, de collier ou n’importe où ailleurs sur le corps. Il est également relié à une oreillette de petite taille qui se cache derrière l’oreille.

Cet ordinateur très puissant et personnalisable assume bien des fonctions, allant de l’agenda aux communications en passant par la génération de clavier virtuel pour accéder à un système local du vaisseau. Un serveur central sur l’Arche permet même de transmettre informations et mises à jour à tout le monde.

Chaque appareil est personnel et ne peut être utilisé que par son utilisateur, lequel est verrouillé grâce à l’information génétique de son porteur. Ils sont protégés par une coque très solide afin de limiter au maximum les risques de casse. L’OMV est conçu pour résister aux chocs, aux fortes pressions, à l’eau, aux températures très élevés ou très basses ou à n’importe quels autres sévices.

Mais sa fonction la plus intéressante sur Sorëan est celle d’auto-traducteur. Maintenant que la base de données linguistique du vaisseau a été mise à jour avec le langage sorëan, n’importe qui peut se faire comprendre des habitants de cette planète.

Après l’unification de la Terre sous l’égide de la Fédération, une armée unique fut mise en place. La hiérarchie et les grades furent normalisés et simplifiés. Quelque soit son corps d’armée ou sa fonction, un soldat de la Fédération possède un grade unique. Bien qu’il existe quelques cas spéciaux, voici la liste des grades des soldats de la fédération.

Officiers supérieurs

-Général - Gal
-Colonel - Col (Grade de Vanessa Crescent. C'est la plus haut gradé du Vaisseau.)
-Lieutenant-colonel - Lcl
-Commandant - Cdt (à ne pas confondre avec la fonction de commandant de vaisseau !)

Officiers subalternes

-Capitaine - Cne
-Lieutenant - Ltn
-Sous-lieutenant - Slt

Sous-officiers

-Major - Maj
-Adjudant-chef - Adc
-Adjudant - Adj
-Sergent-chef - Sch
-Sergent - Sgt

Militaire de rang

-Caporal-chef - Cch
-Caporal - Cpl
-Soldat



Tous les terriens parlent la langue de leur pays natal, bien entendue. Après, en fonction de la culture, des études, des besoins et de l’histoire personnel, chaque personne maîtrisent une ou plusieurs autres langues ou patois à un degré plus ou moins savant.

Tous les membres de l’Arche parlent l’anglais couramment, c’est la langue officielle à bord et si un membre de l’équipage s’exprime dans sa langue natal, l’auto-traducteur des OMV traduira ses paroles dans la langue de Shakespeare pour tout le monde.

Le travail des linguistes a porté ses fruits et dorénavant, la base de donnée linguistique est mise à jour avec le sorëan courant. Tant qu'ils portent leur OMV sur eux, les terriens peuvent communiquer avec les sorëans sans difficultés. Les OMV continuent d'enregistrer et d'analyser la langue pour continuer à affiner le programme de traduction jour après jour.



Sur Terre, les monnaies nationales n’ont pas disparus, cependant, avec l’avènement de la Fédération humaine, une monnaie centralisée, à défaut d’être unique s’est mise en place, appelée sobrement le Crédit fédéral. A chaque instant, toute personne sur terre peut avoir accès à son compte en banque ayant à la fois sa valeur locale et son équivalent en crédit fédéral. Il existe même une monnaie papier de cette devise centralisée, mais le plus gros des transactions et des paiements se font par des systèmes électroniques ultra-protégés.

Dans les colonies spatiales, les stations stellaires et plus généralement, toute installation en dehors de la Terre, la seule monnaie en cours est le Crédit fédéral.

A l’heure actuelle, les terriens étant coupés de la Terre, ils n’ont pas moyen d’accéder à leurs comptes en banque. Quelques rares personnes sur le vaisseau ont peut-être un peu de monnaie papier mais sur sorëan, elle ne vaudra strictement rien. Le seule moyen pour les terriens d’acheter des choses est soit le troc, soit obtenir de la monnaie locale.

Petit annexe que je rajoute ici après avoir constaté de nombreuses confusions dans l’idée de ce que sont les armes personnelles des terriens, aussi bien les pistolets que les fusils d’assaut. Bon, la plupart des armes m’ont été inspiré par Mass Effect car ce sont celles que je trouve le mieux faite dans leur système et le mieux détaillées.

Les armes personnelles standards des terriens, aussi bien armes de poings qu’armes d’épaules sont des armes électromagnétiques. Ce genre d’arme exploite simplement le principe du dégât par l’énergie cinétique. Le principe de base dit que même une tête d’épingle peut faire autant de dégâts qu’une frappe nucléaire pour peu qu’on la lance avec la vélocité suffisante, sans aller aussi loin, les armes terriennes exploitent cette idée. Le principe consiste à lancer un petit projectile physique tiré à très haute vitesse via un accélérateur électromagnétique placé dans le canon de l’arme. Dans la pratique, une arme terrienne possède des milliers de munitions car le chargeur est un bloc de métal où l’arme vient puiser pour forger un projectile lors du tir. L’entretien courant d’une arme consiste de base à vérifier l’état du bloc-chargeur, celui de la batterie alimentant l’accélérateur magnétique et celui du système de refroidissement car une telle arme chauffe très vite.

Toutes les armes standard de la Fédération ont également un mode secondaire incapacitant. L’idée est très simple, dans ce mode, l’arme ne tire pas de projectile physique, elle se sert simplement de l’accélérateur magnétique pour créer un arc électrique paralysant, même si l’armée dispose tout de même d’arme incapacitante dédiée à ce genre d’action.

Le fusil standard des soldats de la Fédération terrienne est le AR-38 Raijin, une arme efficace, fiable, précise et polyvalente grâce à une grande variété de matériels disponibles pour en changer la configuration.

Le pistolet standard utilisé par tous les soldats et mis à la disposition des civils comme arme de protection personnelle est le FP-26 Indra, un pistolet compact, léger mais fiable, facile à prendre en main et efficace comme arme de défense.

Il existe bien sûr d’autres armes de même modèle comme les fusils de précisions, de proximité ou les armes anti-blindages.

Si vous avez d’autres questions sur les armes des terriens ou des suggestions, n’hésitez pas à MP Solyma.

Titan est un nom de code pour désigner les armures lourdes de combat tactique au sein de l’armée de la Fédération. Avec l’essor des voyages spatiaux et la construction des stations spatiales, les situations de combat auxquels les soldats ont du faire face ont bien évolués au fil des décennies. Les batailles rangées et les combat spatiaux laissant souvent la place à des escarmouches en milieux plus ou moins confinés, que ce soit dans les coursives de vaisseaux lors des abordages ou dans les longs couloirs des stations spatiales.

Cette nouvelle donne a donc obligé les constructeurs de matériel militaire à repenser l’équipement des soldats. Et c’est avec la miniaturisation des réacteurs Thor qu’a fini par naitre l’armure Titan. Cette dernière étant destinée à devenir un char d’assaut à dimension infanterie.

Cette dernière est composée d’un exosquelette servant d’appui au soldat opérateur, puis d’une armure de combat intégrale manœuvrée par de puissants servomoteurs. Une fois équipée, une armure Titan culmine à 2m50 de hauteur pour plus d’1m50 de large. Toute son armure est composée d’un puissant alliage que les armes légères ne peuvent pas menacer. Seule les armes lourdes et les explosifs puissants peuvent espérer entamer son blindage.

Les Titans sont des armures flexibles et extrêmement adaptables en matière d’équipement. Que ce soit avec une « simple » gatling lourde sous chaque bras jusqu’aux puissants canon à rail en passant par les systèmes lance-missiles ou toutes autres armes lourdes, le Titan peut être équipé des armes adaptées à ses besoins. Il peut aussi emporter de grands boucliers en alliage composite pour renforcer encore sa défense et servir de couverture mobile à une troupe d’infanterie, voir même servir de bélier, ses servomoteurs dégageant assez de puissance pour que ses poings défoncent des portes blindées en quelques coups.

Doté d’une propulsion d’appoint et totalement hermétique à l’environnement extérieur, le Titan peut même manœuvrer sommairement dans l’espace, ajoutant encore à sa versatilité. Que ce soit en espace ouvert où il fait office d’artillerie d’appuie ou en espace confiné en tant qu’unité lourde d’assaut ou de défense, le titan est un équipement redoutable.

Cependant, sa puissance et sa versatilité ont un prix, au sens propre du terme. Entre les matériaux de son blindage et son mini-réacteur Thor, une armure Titan est chère à produire, ainsi que son équipement. De plus, elle doit être personnalisée à son opérateur pour en maximiser les performances. Ces derniers doivent d’ailleurs subir une formation rigoureuse pour les manipuler car même avec l’assistance IA intégrée, cela demande de la technique et de l’entrainement.

A son départ de la Terre, l’Arche n’emportait que six armures Titans avec leurs opérateurs et leurs techniciens. L’usine du vaisseau peut remplacer la plupart des pièces mais même elle n’a pas ce qu’il faut pour en produire une en entier.

Voici une nouvelle annexe destinée aux terriens et parlant plus en détails des vaisseaux spatiaux existants et des technologies liées. Ce post n’a aucune incidence directe sur le monde de Sorëan et sert uniquement aux terriens qui souhaitent étoffer leur background.



Techniquement, les vaisseaux spatiaux se déplacent en utilisant des moteurs et des propulseurs, il en existe trois grandes technologies en fonction des situations et des besoins.

-La propulsion standard, de puissants moteurs vectorielles qui servent aux déplacements à courte échelle, aux manœuvres et aux combats spatiaux. C’est la plus maniable, celle utilisée pour les déplacements en orbite ou dans toutes les situations où peu de distances est à couvrir.

-La propulsion gravitationnelle, découverte grâce aux reliques Reïn’ta. Elle est difficile à expliquer aux néophytes mais elle exploite le noyau gravitationnel d’u vaisseau pour le faire aller à une fraction de la vitesse de la lumière. Elle permet de se déplacer à l’intérieur d’un système, on peut relier deux planètes en seulement quelques heures avec. Seulement, il est nécessaire de tracer un cap car cette propulsion ne connait qu’un mode, la ligne droite.

-L’hyperpropulsion, également appelée dans le domaine scientifique propulsion dimensionnelle, car il s’agit moins d’un moteur que d’un système quantique capable de courber l’espace. Techniquement, une hyperpropulsion courbe l’espace entre deux points (le départ et l’arrivée) et crée un tunnel dimensionnel (appelé espace altéré) entre les deux, permettant aux vaisseaux de parcourir des distances gigantesques en peu de temps. Rares sont les vaisseaux à être équipé d’un tel moteur et les ingénieurs eux-mêmes avouent ne pas en connaitre toutes les subtilités, se basant sur les schémas et les équations Reïn’ta. Dans le jargon spatial, on utilise les termes de « plonger en hyperespace » et « faire surface ».



-Les chasseurs : Des appareils monoplace ou biplace, héritiers des avions de chasse contemporains. Ce sont des appareils de petite taille, très maniables, destinés à toutes les opérations d’attaque, de protection, de reconnaissance ou de bombardement tactiques. Ils sont généralement déployés en escadrons qui peuvent comprendre entre 5 et 15 appareils selon les configurations. Ils n’ont qu’une faible portée, dotés uniquement d’une propulsion standard et sont déployés depuis une base, terrestre ou spatiale, ou depuis un vaisseau assez grand pour les accueillir. La Fédération a très longtemps utilisé des F-34 Eole, fiables, performants, facilement maitrisables et peu couteux à produire. Mais récemment, elle a commencé à se doter de F-35 Garuda, bien plus puissants mais plus difficile à prendre en main, ainsi que sa variante F-35 R, un chasseur espion doté d’un module de camouflage dernière génération. L’Arche emporte plusieurs de ces appareils.

-Les navettes : De petits vaisseaux d’appuis, à peine plus grand que des chasseurs mais configurés différemment. Il en existe plein de variantes selon l’utilité entre le transport de personnel, le largage/ramassage de troupe, le transport de marchandises, etc. Ce sont des appareils fragiles et rarement armés, doté d’une faible portée active car pourvus uniquement d’une propulsion standard. L’arche possède des N-27 Sylph, conçue pour le transport de personnel ou au besoin, la reconnaissance et le soutien tactique pour des escadrons de chasse, et des T-48 Orca, navettes servant soit pour le fret ou le transport de troupes.

-Les corvettes : Des vaisseaux de petite taille, mesurant entre 30 m et 40 m selon les modèles et ne nécessitant qu’une dizaine de membre d’équipage. Leur blindage et leur armement sont faibles mais ils sont maniables et rapides. Quelques rares modèles disposent d’une propulsion gravitationnelle mais généralement, ce sont des vaisseaux à faible portée. En règle générale, ils se déplacent par trois. Ils sont principalement utilisés pour la patrouille et la reconnaissance. En cas de contact hostile, ils comptent plutôt sur leur vitesse et leur maniabilité pour échapper au danger et aller chercher du renfort.

-Les frégates : Des vaisseaux de tailles intermédiaires, mesurant dans les 100m à 150m de long selon le modèle, et nécessitant entre 60 et 100 membres d’équipage. Ce sont des vaisseaux d’attaque/interception très efficaces. Rapides, manœuvrables, ils disposent d’une propulsion gravitationnelle et même d’une hyperpropulsion pour les plus récents. Dotés d’un blindage honorable et d’un armement décent incarné par de puissantes batteries laser, ils peuvent s’en tirer dans plusieurs situations de combat et sont utilisables dans de très nombreuses configurations que ce soit en solitaire ou en formation. Ce sont les plus lourds vaisseaux capables de rentrer en atmosphère et en sortir, les modèles au-dessus se cantonnent à l’espace. Pendant longtemps, Vanessa Crescent a commandé une frégate, le Griffon (voir son histoire). Type de nom : Créature mythique.

-les croiseurs : Le vaisseau de guerre tel qu’on l’entend. 500m de long pour environ 400 membres d’équipage. Ils sont tous dotés d’une hyperpropulsion et peuvent accueillir des chasseurs, voir des corvettes. C’est une bête de guerre doté d’un bon blindage, de bouclier, de nombreuses batteries laser et d’armes électromagnétiques lourdes. Ils sont généralement assignés aux patrouilles ou à la protection de lieux stratégiques et dissuadent assez aisément toute attaque de pirates ou de groupes terroristes.Type de nom : Personnage ou arme légendaire

-les cuirassés : Juge de paix et bête de guerre. Les cuirassées sont des vaisseaux monstrueux de plus d’1Km de long et nécessitant entre 800 et 1000 membres d’équipage pour être opérationnel. Construit autour de leur arme principale, un canon électromagnétique presque aussi long que le vaisseau capable d’une puissance destructrice sans égal, ce sont de véritables forteresses spatiales, emportant des escadrons entiers de chasseurs. A l’heure actuelle, la Fédération n’en possède que deux, l’Horus et le Surya, qui échangent leur rôle de façon régulière. L’un reste en orbite autour de la terre pour la protéger, ainsi que la lune, l’autre patrouille dans le système Helios et intervient selon les besoins. Dans la réalité des faits, ces vaisseaux ont peu de combat à leur actif car leur puissance pousse souvent les pirates et les terroristes, même les plus vindicatifs, à la reddition ou à la fuite car personne n’est assez dingue pour se frotter à un monstre pareil. Au départ de l’Arche, un troisième vaisseau, l’Amaterasu, était en chantier, lequel profiterait des dernières innovations technologiques et disposeraient notamment des canons à fusion. Type de nom : Divinités du soleil

-les super-cuirassés : Il n’en existe qu’un seul, l’Arche et cette dénomination à été créée pour lui car malgré sa partie civile, il reste considéré comme une construction militaire.



-Les navettes : Elles ne diffèrent pas beaucoup des modèles militaires, certaines ont parfois les mêmes plans de conception. Elles sont conçues pour des déplacements rapides à courtes portées, que ce soit pour le transport de gens ou de marchandises.

-Les vaisseaux de ligne : Sorte d’avion de ligne spatiaux. Généralement plus gros que des corvettes mais plus petits que des frégates. Rapides et dotés de propulsion gravitationnelle. Leur rôle est le transport des passagers civils à travers tout le système Helios. Ils appartiennent à différentes sociétés privées qui sont les descendantes spirituelles des anciennes compagnies aériennes.

-Les yatch spatiaux : Rares sont les privilégiés à pouvoir se payer de tels engins. Ce sont des vaisseaux privés appartenant à un particulier. La plupart font la taille d’une corvette, certains sont plus gros et manœuvrés par un équipage privé.

-Les vaisseaux de plaisance : Avec l’essor des voyages spatiaux, certaines compagnies ont eut l’idée de créer un tourisme dédiés et ont mis en place de véritables croisières spatiales, créant des demandes pour des vaisseaux répondant à des critères spécifiques. Ils font très souvent la taille d’une grosse frégate et tout est dédié au confort des passagers. Il existe même des projets de paquebots spatiaux, des vaisseaux aussi gros que des croiseurs et capable de vol hyperspatiaux.

-Les cargos : Souvent de la taille d’une frégate, ce sont des vaisseaux rustiques et peu élégants, conçus pour le transport de marchandise. Comme ils sont axés autour de leur soute et de leur propulsion, ils sont faiblement blindés et très rarement armés, ce sont les cibles de choix des pirates spatiaux.

-Les cargos lourds : Rares sont les sociétés à pouvoir investir dans ces transports de la taille d’un croiseur. Ces vaisseaux sont conçus pour acheminer une quantité incroyable de marchandises sur de longues distances, un seul d’entre eux peut amener assez de ravitaillement à une colonie standard pour lui permettre d’être autonome pendant des mois. Peu protégés dans leur conception, ils ont très souvent droit à une escorte militaire en raison de leurs intérêts stratégiques pour le développement spatial.