Ce colosse de plus d’1m90 tout en muscles et couvert de cicatrices est l’archétype même du soldat vétéran endurci. Les technologies médicales actuelles de la terre font que du haut de ses 60 ans, c’est encore un soldat capable de se battre comme s’il en avait 20.

Fils, petit-fils et arrière petit-fils de militaire, il a l’armée dans le sang depuis son plus jeune âge. C’est donc tout naturellement qu’à ses 18 ans, il s’est engagé dans l’armée de la fédération. Il a choisi de commencer en bas, comme un soldat de base. Il a rapidement évolué et monté en grade.

C’est un homme qui a eu l’occasion de suivre les meilleurs formations, il a rapidement intégré les forces spéciales de la fédération et a toujours eu l’occasion de faire ses preuve sur les pires zones d’opération, car si l’humanité est unie, elle n’est pas forcément en paix pour autant. Les activistes qui avaient prit des otages sur la base lunaire, c’était lui, le nettoyage d’une mine sur mars prise par des fanatiques, encore lui, la destruction d’une base de pirate sur Io, rebelote !

Il a finit au grade de lieutenant-colonel, mais ne reste jamais derrière un bureau, il déteste la paperasse, c’est un homme d’action et de terrain qui n’a aucune hésitation à aller au feu pour diriger ses troupes. Il est très respecté par ses subordonnés, Samuel dispose d’un rare charisme qui pousse les soldats à le suivre aveuglément.

Malgré sa forme physique, c’est tout de même un homme au corps abîmé, une explosion lui a arraché le bras droit (ce qui ne l’a pas empêché de terminer la mission), il l’a fait remplacé par une prothèse cybernétique gracieusement offerte par l’armée.

Quand l’Arche fut armé, il se porta volontaire et le commandement accepta de confier un poste à ce vétéran dont l’expérience est un atout pour l’équipage. Il est l’officier responsable de toute l’infanterie de l’Arche, chef de la sécurité du vaisseau, rôles qu’il prend très à cœur, et par état de fait, membre du conseil de pont, même si les réunions ne sont pas son fort. Il prône une discipline stricte et les actions directes plutôt que de trop tourner en rond.

Sur le plan privé, il ne fut jamais marié, chose qu’il a regretté bien trop tard mais a quand même de la famille, dont trois nièces qu’il adore et qu’il allait voir aussi souvent que ses permissions lui permettaient.

Cette belle dame est née et a grandi en Australie. Elle est dotée d’un caractère d’une douceur exemplaire et fait preuve d’un instinct maternel sur-développé.

Sans véritable talent particulier autre que son écoute, elle se passionne pour une activité très simple, la cuisine.

La vie avait tout pour la rendre heureuse, à vingt ans à peine, elle se marie et monte son propre petit restaurant à Sydney. Elle tombera même enceinte mais les hasards de la vie font qu’elle subie une fausse couche en fin de grossesse. Malgré l’évolution technologique, la science et la médecine sont encore loin d’être parfaites et la jeune femme perd toute capacité à avoir des enfants de façon naturelle. Ceci détruira son couple. Divorcée, elle revend son affaire et quitte tout.

Elle change radicalement de vie en se lançant dans l’exploration spatiale, elle passera sa carrière sur plusieurs vaisseaux civils où sa bonté et sa gentillesse seront autant de baume pour les équipages. Elle sera retenue pour l’équipage de l’Arche et partira à l’aventure. Elle est très appréciée à bord pour sa cuisine et son sourire qui redonne le moral.

Malgré toutes les épreuves de la vie, elle reste d’une désespérante bonne humeur. elle voit toujours la vie en rose, au point d'en avoir même coloré ses cheveux de cette couleur ! Optimiste convaincu pour certain, cruche avérée pour les autres, elle est un peu maladroite sur les bords.

Autant sa cuisine est excellente la plupart du temps, autant il faut se méfier quand elle décide de s’adonner à quelques expérimentations culinaires, les goûts sont parfois… exotiques. Et nul doute que sur cette nouvelle planète, elle sera plus qu’enchantée d’essayer des trucs avec les ingrédients locaux…

Depuis l'installation du village du l'Arche, elle a obtenu l'accord des supérieurs de monter son propre petit restaurant qui connait un succès important aussi bien auprès des terriens, des sorëans et même des harpies. Il faut juste parfois... se méfier du plat du jour "à la fantaisie du chef"

Robin a commencé l'informatique par le hacking. Ayant apprit seul, en vadrouillant sur la toile, il fut repéré à l'âge de 17 ans après avoir hacker un fichier confidentiel traitant, justement, des états de recherche sur la technologie Reïn'ta.
Il avait le choix entre l'interdiction pure et simple de toucher aux moindres moniteurs, dans un monde où la technologie est constante...et de travailler pour le gouvernement. Forcément, son choix alla au second.

S'illustrant dans ses facilités d'apprentissage et de compréhension, il gravit rapidement le milieu scientifique ayant trait au réseau et à la création d'IA et autres systèmes de traitements de données.
Lorsque le projet Arche fut mit sur pieds, on lui imposa la gestion du pôle réseau...Rôle qu'il prit à cœur.

Il est un civil, mais travaille régulièrement avec les militaires du vaisseau. C'est aussi un inconditionnel de la théine. D'ailleurs, la maintenance réseau quotidienne de l'arche s'effectue tous les jours, de 17h à 17h15 : heure du thé.
C'est lui qui a conçut le réseau social "SpaceBook" sous la pression du Lieutenant Lemingvinder...Mais finalement, c'est quelque chose qu'il apprécie. Un petit plaisir qui rappelle les réseaux de leur bonne vieille Terre.

Ne rappelez jamais à Tsurara qu’à 25 ans, elle ressemble encore à une adolescente, cela vous vaudrait de bien désagréables surprises. Et si vous avez le malheur prononcer tout homonyme de « petite » ou toute expression signifiant son absence d’attributs féminins, préparez-vous à vivre un cauchemars sans pareil…

Comme le disent parfois les mauvaises langues, ce qui n’a pas été donné pour développer son corps a été transmis à la place dans son cerveau. En effet, Tsurara dispose d’une intelligence rare, avec une grande vitesse de réflexion et des capacités d’apprentissage qui forcent le respect.

Tsurara a survolé les études les doigts dans le nez, sautant les classes à la chaine et explosant divers records d’apprentissage. A 20 ans seulement, elle accomplie l’exploit d’être diplômé d’un doctorat en biologie, avec la capacité aux différentes spécialités de cette science selon les besoins.

Mais loin d’être une coincée, la jeune femme a développée un caractère joueur et retords, arborant souvent un sourire à la limite du joueur et du sadique. Si elle est très sérieuse dans son travail, en dehors, elle peut devenir la pire blagueuse qui soit, sans parler des multiples allusions olé-olé, parfois crues, qu’elle ne se gênera pas de vous sortir, n’ayant aucuns complexes sur ce sujet.

C’est aussi un mécanisme de défense car avec son corps, personne n’ose la toucher et elle enrage parfois de n’attirer que les vieux pervers…

« Mangez-moi ! Mangez-moi ! Mangez-moiiiiiiiii ! »

Vous trouvez que Sofia a une tête de fumeuse de champignon ? Quoi de plus normal, c’est une fumeuse de champignon… Sofia est aussi talentueuse en matière de botanique qu’elle est allumée.

Notre jeune et belle grecque a grandi sur terre, dans des régions un peu reculése, passant sa jeunesse à jouer avec les plantes. A l’adolescence, elle fait plusieurs bêtises de jeunesse, fume, boit, essaie diverses substances à fumer pas très nettes avant de concocter les siennes.

Mais loin d’être une simple droguée, c’est surtout une jeune femme de talent qui fait des études scientifiques et les réussit, se spécialisant bien évidemment… dans la botanique. Car fait paradoxale, si la jeune femme consomme volontiers ses petites productions personnelles de champi, elle se révèle très souvent bien plus efficace lorsqu’elle est sous effet de substance… La preuve, elle a eut son doctorat avec brio.

Comment cette délurée de droguée a-t-elle fini au laboratoire de botanique de l’Arche ? Grâce à une chaude recommandation de son directeur de thèse qui a peut-être sous-estimé à quel point sa protégé est un cas social…

Depuis les accords avec les harpies, elle est bizarrement devenue très copine avec de nombreuses chamanes, provoquant de nombreux échanges de recettes...

Si vous en avez besoin, elle vous le fabriquera… si vous n’en avez pas besoin, elle vous le fabriquera quand même !
Maria est une as de la débrouille, une reine de la fabrication, une déesse de l’ingénierie et du recyclage, un véritable McGuyver féminin.

Notre demoiselle aux formes indécemment généreuses est née et a grandi en Espagne, fille d’un père et d’une mère tous les deux techniciens dans une usine de pièce pour vaisseaux spatiaux, elle a grandi les mains dans le cambouis, le nez dans la mécanique.

Débrouillarde de nature, petite déjà, elle adorait démonter et remonter ses jouets, puis tous les gadgets qui lui passait sous le nez. Alors que les jeunes filles de son âge jouent à la poupée ou avec des simulations de dressages équestres, pour sa part, elle préfère s’attaquer à l’électroménager familial et à tout appareil un tant soi peu évolué qui lui passe sous la main.

Naturellement, elle étudie bien vite la mécanique et les sciences techniques modernes ou elle décroche sans problème une qualification d’ingénieur. Suite à quoi, elle acquière des spécialités dans divers domaines. Sa capacité à recycler, bricoler, et s’adapter en fera une candidate potentielle pour le projet Arche.

Retenue, elle se retrouva affectée à l’usine interne du vaisseau où elle fera des merveilles, surtout après le crash où l’usine se retrouve à fonctionner à plein régime.

C’est également une femme de caractère et elle n’est certainement pas facile sous prétexte qu’elle exhibe sa poitrine horriblement généreuse avec des décolletés à donner le vertige. D’ailleurs, elle n’hésitera pas à vous rappeler que ses yeux sont quinze centimètres au-dessus de son cou et non quinze centimètres en dessous…

Breena est une jeune femme très énergique originaire d’Irlande. A première vue, on ne dit pas comme ça mais cette jeune femme appartient au corps militaire et plus précisément, aux forces spatiales. Elle fait partie des rares timoniers présents à bord de l’Arche, pilotes d’élite dont la mission était de diriger l’imposant super-cuirassé à travers l’espace.

Pourtant à l’origine, Breena ne se destinait pas du tout à une carrière militaire, passionnée de mode depuis son enfance, elle se voyait déjà coiffeuse, styliste, travailler avec les stars, tout ça. Elle s’entrainait même ardemment avec sa petite sœur et toutes ses copines.

Seulement, la famille n’était pas d’accord et constatant que sa fille n’avait finalement aucune idée de ce qu’elle devait vraiment faire et se révélait être plus une rêveuse qu’autre chose, papa Elwood a dit « tu vas faire l’armée comme ton grand-père, ma fille ! »

Et Breena se retrouva donc à rentrer dans l’armée dès sa majorité. Mais bon, son père ne fut pas assez cruel pour lui imposer un corps d’armée spécifique. Alors la jeune femme décida de rejoindre l’académie lunaire pour intégrer les forces spatiales, raison officielle : pour voir ce que l’espace avait à offrir. Raison officieuse : les forces spatiales sont les seules à ne pas imposer de coupes de cheveux règlementaires !

Cependant, la jeune femme se révéla loin d’être idiote, au contraire, elle se révéla même très bonne étudiante et fut orientée très vite vers la timonerie. La flotte de la Fédération ne cessant de grossir, cette dernière était toujours à la recherche de bons pilotes pour leurs vaisseaux. Elle sortit de l’académie avec d’excellentes notes et fit ses preuves sur différents vaisseaux, des frégates, des croiseurs...

Lorsque le projet Arche fut mis en branle, elle suivit avec une dizaine d’autres timoniers une formation spéciale sur l’un des rares cuirassés déjà opérationnels de la Fédération où elle se révéla douée pour manœuvrer d’énormes vaisseau.

Son talent lui valut d’être prise comme timonier à bord de l’Arche avec le grade de lieutenant. Elle fit de son mieux lors de l’atterrissage pour limiter les dégâts et prouva une nouvelle fois son talent.

Seulement, depuis le crash, les timoniers ne servent plus à rien, ce qui est déprimant pour eux. Qu’à cela ne tienne, Breena en a profité pour retourner à sa première passion et s’est autoproclamée coiffeuse officielle du vaisseau. Elle cherche maintenant un endroit où ouvrir son propre salon de coiffure. Reste à convaincre les supérieurs…

Avec la fondation du village de l'Arche et le fait qu'elle ne sert vraiment plus à rien, elle a enfin pu réaliser son rêve : ouvrir son propre salon de coiffure et d'esthétique où elle reçoit de plus en plus de mondes, y comprit des sorëannes et des harpies curieuses

Le Devoir. Wilson, dit "Bill", est un homme gorgé par le sens du Devoir. Élevé dans une famille aux antécédents peu glorieux avec la justice, tous auraient pu croire qu'il tournerait mal.
Et pourtant, il n'a jamais supporté la violence de ses voleurs de parents, ni la vie de dérive qu'ils lui ont fait vivre ; ayant fini par vivre de famille d'accueil en famille d'accueil.

Lorsqu'il arriva à sa majorité, désireux de se défaire de l'influence néfaste de sa famille qui était là comme des rapaces, il s'engagea dans l'armée de la fédération. Y faisant son apprentissage, il vint à rejoindre l'unité d'infanterie.
Il se révéla doté d'un talent pour le tir sur de longues distances...Et a même fini par se faire ajouter un implant cybernétique dans l’œil : une aide à la visée.
C'est sur le front contre des groupes terroristes qu'il monta en grade, en tant que véritable faucheur.

Si en service il est d'un professionnel à faire peur, dans le privé, c'est un homme affectueux prêtant volontiers l'oreille à ceux le voulant. Mais qui garde ce qu'il ressent pour lui par "crainte" de déranger.
Néanmoins, il adore faire des soirées au bar du mess à jouer aux fléchettes dans les salles de détente avec les autres militaires. Il est d'ailleurs encore invaincu aux fléchettes.

La famille Engelberg est une famille qui a toujours détesté la guerre, les batailles, et l’armée. Une famille autrichienne ayant toujours fait connaître leur voix comme « Défenseur d’une Paix Universelle et d’un Monde Pacifiste » ! Oui…Les Engelberg sont des idéalistes. Et pourtant, dans leur famille, naquit leur « vilain petit canard » : Charly.

Enfant, la petite Charly n’entendait que du mal des militaires. Qu’il s’agissait de personnes cherchant et ne voulant que la guerre. Et pourtant…Otages parmi de nombreux autres civils d’un acte terroriste lorsqu’elle était adolescente, la jeune fille parfaite de bonne famille vit ces mêmes militaires en action.
Elle vit leur humanité. Elle vit leur vaillance. Elle considéra leur devoir sa vie…et commença à remettre en question la pensée manichéenne de sa famille visant à dire et voir les militaires comme des despotes avides de sang.

Cet évènement fut un tournant qui la mena à faire face à sa famille, à se révolter. Lorsqu’elle fut majeure, elle claqua la porte de la maison familiale pour rejoindre l’armée de la fédération. Douée, elle rejoint une unité d’intervention où elle fit ses preuves.
Recommandée, elle reçut une proposition pour suivre l’entraînement des forces spéciales d’intervention de la fédération. Elle ne fut nullement la meilleure, mais certainement pas la moins bonne.

S’illustrant, son nom reste souvent source de quolibet pour les militaires qui ne la connaissent pas. Se moquant du fait qu’une Engelberg fasse la guerre. Mais Charly a du caractère, et sait se faire respecter.
Le projet Arche fut une chance pour elle de servir à nouveau sous les ordres de Samuel Weber…la personne qui l’a sauvé quant elle était adolescente d’ailleurs. Fière de l’honneur qui lui fait, elle souhaite au fond, prouver à sa famille l’humanité de la vie militaire.

Fille d’un mécanicien de l’armée qui a cessé son activité après la perte d’une jambe, Kiele a grandit dans une famille monoparentale sans jamais rien connaître de sa mère. Ce n’est que bien des années plus tard, que son père daigna lui parler de sa génitrice…Mais cela n’a pas fait grand cas chez Kiele, véritable garçon manqué, qui préférait passer du temps dans le garage de campagne de son paternel, à bricoler avec lui.

Peu riche, la famille s’en sortait très bien. Kiele pouvait même suivre des cours par internet, leur village étant perdu loin de l’école la plus proche. Mais lorsque son père tomba malade, et que le prix des médicaments vint à mettre les maigres finances à mal…la jeune fille ne trouva qu’un remède à leur situation : s’engager.
La rente de son père ne suffisait plus à couvrir leur situation, aussi, elle n’hésita nullement. Rarement l’argent à la maison, elle avait alors dix-huit ans qu’elle embarquait dans une unité d’infanterie.

Formée, c’est en tant que pilote de matériel terrestre qu’elle s’illustra. On lui fit suivre une formation pour les célèbres Tank Arach, et son feeling avec l’engin lui permit de finir major de sa promotion.
Sa carrière démarra alors, mais son père finit par mourir de sa maladie. Si cela toucha sa fille, elle seule le sait car à l’enterrement elle ne laissa rien paraître.

Forte, casse-cou, brute, malpolie. Ce sont des termes qui qualifient Kiele…mais c’est là l’image qu’elle se donne. Car, finalement, elle cache une sensibilité qu’elle pense être une faiblesse. De cela naît une certaine maladresse…mais au moins, cela ne se ressens pas dans ses aptitudes militaires.
Lorsque le projet Arche fut annoncé, elle se porta volontaire. Sans vie de famille, avec un dossier militaire de qualité –outre des soucis avec l’autorité– elle était clairement éligible et fut donc prise à l’expédition.

Avec le crash, elle rêve d’aventure et de voyage. Voir ce que cache ce monde. Mais, en même temps, elle continue de s’énerver quant on lui fait remarquer que c’est une femme, qu’elle est moins forte que les hommes ou tout autre réplique. Le comble, ce n’est pas du féminisme : mais juste un garçon manqué de mauvaise foi. Une fille élevée comme un homme…

Akihide est l’héritier d’une des quatre grandes familles Yakuza du Japon. Élevé dans la plus pure des traditions, c’est un homme avec un certain charisme et talent, reconnu par ses pairs.
Pourtant, Akihide a un énorme défaut. C’est un véritable feignant, et paresseux. La sieste est, pour lui, une véritable addiction. Les responsabilités, il les a en horreur. Et pourtant, en cas de pépin, il a déjà prouvé que le clan pouvait largement compter sur lui.

Néanmoins, ce comportement a finit par déplaire à son grand-père, le chef de clan actuel. Voulant le responsabilisé, il lui donna la gestion d’une zone. Si tout se déroulait au mieux, un groupe du clan semblait désireux de ne pas voir Akihide hériter. C’est ainsi qu’ils manigancèrent contre lui…pour le faire plonger.

On accusa Akihide de « dégradation de matériel », et de la « destruction d’un établissement publique ». Même s’il n’y était pour rien, et que tout n’était que coup monté, il assuma et appliqua le code de sa famille. Son Chef lui-même ne vit en cette accusation que du feu, et pris cela pour l’incompétence de son héritier.

La peine aurait dû être des travaux d’intérêt généraux et de la prison…Mais le projet « Arche » cherchant de la main d’œuvre, il fut décidé qu’éloigner l’héritier Inagawa en l’envoyant dans l’espace serait pour le mieux.
C’est ainsi qu’il s’est retrouvé à bord du vaisseau, avec la tâche de commis de cuisine sous les ordres de Samantha Taylor. Autant dire que, pour quelqu’un n’ayant jamais même cuisiné un steack haché ou du riz…l’aventure est de taille !

« Calamité Culinaire » est son nouveau surnom…Doublé du « Fuyard Paresseux » qui tente toujours de gruger ses heures de service. Mine de rien, loin de son clan et de la pression de sa famille, Akihide apprend la vie en société : la vie civile et non mafieuse.
L'arrivée sur Sorëan, il la voit comme un étrange rêve éveillé...et il se surprend à se demander s'il veut réellement retourner à sa vie de "Yakuza".

Constatant le désastre de laisser cet homme en cuisine, Vanessa a eu l'idée de recycler son éducation de Yakuza à l'ancienne pour faire quelque chose de plus utile. Maintenant que le nouveau village de l'Arche est installé, il pour travail d'en assurer la tranquillité, surtout avec les civils qui n'aiment pas que les soldats bourrus se mêlent des possibles disputes. Il sert de médiateurs, d'assistants de relations de vie et fait un peu de police civile à hauteur de ses compétences.

« Non, non et non ! Cette caisse doit être rangée avec les produits d’entretien et non avec la section cantine, bon sang ! Tu veux qu’on te fasse bouffer du détergeant peut-être ?! »

Voilà le genre de réplique que l’on peut entendre résonner dans les entrepôts de l’Arche, lorsque les stocks doivent être recensés et les caisses de matériels déplacer.
Une voix forte, et des idées bien déterminées : Fergus McLain est un homme implacable. Maniaque du rangement, tout doit suivre une logique qu’il a, lui-même, déterminé.

Fergus est né et a vécu en écosse. Fils d’un couple constitué d’un vendeur de produit de marque, et d’une mère artiste, il avait un cadre de vie stable et eut une vie somme toute agréable. Néanmoins, il avait le commerce en horreur. Et est né avec les compétences artistiques d’un droitier ayant deux mains gauche, ou d’un sourd voulant étudier une partition à l’ouïe.

Doué d’aucunes des qualités de ses deux parents, il a longuement bataillé avant de trouver son bonheur. Sa rigueur le poussa a faire des études scientifiques fades et sans goûts, qui ne le menèrent nulle part. Et pourtant, c’est ce même sens perfectionniste, maniaque, et organisé qui lui sauva la vie.

Entrant dans la fonction publique, et devenant salarié dans une boîte…son sens de la gestion le sauva complètement et lui permis de sortir la tête de l’eau. Gestionnaire d’un entrepôt, il permit à ce-dernier de fructifier, et obtint d’excellentes réussites et reconnaissances dans le domaine de la manutention. Aussi, lorsque la boîte pour laquelle il travaillait fit faillite à cause de son « incompétent de patron trop idiot pour suivre un planning et des indications lorsque son salarié prend ses vacances » …Il se retrouva dans une situation bien gênante.

Mais voilà, le projet Arche annonça sa campagne de recrutement. Perdu pour perdu, il vint à se présenter. Et il fut prit…pour se retrouver propulser à la place de chef au vu de son sens aigüe de la gestion des biens.
On le surnomme « Le Dragon de l’Entrepôt » tend il est horrible si on vient mettre le boxon dans son organisation, ou si on essaye de passer outre les formulaires qu’il a lui-même mit en place.

Darius est un jeune homme qui est né et a grandi en Allemagne avec son frère jumeau Tirius. Enfant, les deux gamins étaient intenables et avaient une sale manie de tout casser pour s’amuser, ce qui valut des cheveux blancs à leurs parents.

Plus ils grandirent et plus cela empira, ils passèrent aux gros pétards, aux petits feux d’artifices et subirent plusieurs fois des remontrances et des sanctions pour leurs bêtises. Peu après leurs 18 ans, les deux frères décident de fêter ça en beauté en faisant un grand feu d’artifice pour épater la galerie. Manque de pot, ils restaient des amateurs et mirent le feu à un vieil entrepôt, ce qui mit en danger pas mal de monde mais heureusement il n’y eut pas de victime.

Cette fois, ce fut l’arrestation et le procès avec de multiples charges dont incendie volontaire, mise en danger d’autrui, vandalisme, dégradation et plusieurs autres choses. Le choix offert aux frères fut simple : la prison ou l’armée, séparés dans des corps différents. Le choix fut vite fait…

Darius choisit les forces terrestres et plus précisément l’infanterie mobile où il se spécialisa naturellement dans les explosifs. Il suivit toutes les formations liées, démineur, force spéciale, il devint très vite un expert.

Bien que ce soit un excellent démineur, Darius préfère largement voir péter des trucs mais ses supérieurs ont vite appris à la gérer et le canaliser pour qu’il mette cette manie à leur service. Cependant, notre homme fut calmé par un incident qui lui couta un œil. Bien que son service obligatoire dans l’armée l’obligea à se faire greffer une prothèse cybernétique, hors service, il masque son œil pour se rappeler qu’une erreur peut vite couter cher…

Tirius est un jeune homme qui est né et a grandi en Allemagne avec son frère jumeau Darius. Enfant, les deux gamins étaient intenables et avaient une sale manie de tout casser pour s’amuser, ce qui valut des cheveux blancs à leurs parents.

Plus ils grandirent et plus cela empira, ils passèrent aux gros pétards, aux petits feux d’artifices et subirent plusieurs fois des remontrances et des sanctions pour leurs bêtises. Peu après leurs 18 ans, les deux frères décident de fêter ça en beauté en faisant un grand feu d’artifice pour épater la galerie. Manque de pot, ils restaient des amateurs et mirent le feu à un vieil entrepôt, ce qui mit en danger pas mal de monde mais heureusement il n’y eut pas de victime.

Cette fois, ce fut l’arrestation et le procès avec de multiples charges dont incendie volontaire, mise en danger d’autrui, vandalisme, dégradation et plusieurs autres choses. Le choix offert aux frères fut simple : la prison ou l’armée, séparés dans des corps différents. Le choix fut vite fait…

Tirius choisit les forces spatiales où il subi la formation des artilleurs, le seul poste pour lequel sa manie d’aimer faire péter des trucs le destinait naturellement.

Bien qu’étant difficile à canaliser, notre homme se révèle bon dans son travail. Dans un combat spatial où les canons tirent sur des centaines, voir des milliers de kilomètres de distances, Tirius est l’un des rares artilleurs à être capable de ne pas s’en remettre entièrement à l’informatique et tirer en manuel avec une précision vicieuse et redoutable, il n’a pas son pareil pour tirer là où ça fait mal.

Avant l’Arche, il servait déjà sous les ordres de Vanessa Crescent à bord de la frégate Le Griffon.

Maintenant qu’il est là, ça le démange de pouvoir enfin un jour tirer avec ces énormes canons à fusion…Il est d'ailleurs celui qui a appuyé sur "la gâchette" pour mettre fin à l'attaque de la sombre possédée "L'Aile de Nuit" : après que ses camarades militaires se soit arrangé pour mettre la chose dans la ligne de mire de son canon.

Winona est née dans une réserve indienne aux états unis. Extrêmement fière de sa culture amérindienne, elle a emmenée avec elle sa culture au cours de ses études d’ingénieure, où elle a excellé, d’après ses dires du fait de son lien profond avec la nature. Malgré sa nature excentrique, qui l’amène à porter régulièrement des tenues traditionnelles amérindiennes, elle a rapidement été repérée lors de la mise en place du projet arche, pour son dossier exceptionnel et sa connaissance approfondie de la gestion de la production de nourriture dans des lieux aux ressources limitées, et en particulier pour des expéditions spatiales.

La seule ombre à son dossier, sa maladresse légendaire. Malgré ses connaissances plus qu’appréciable, dès qu’elle passe à la pratique, tout tend à tourner à la catastrophe. Elle se dit elle-même possédée par l’esprit de Kwekwaxa’we, le dieu corbeau farceur, mais cela ne fait que rarement rire ses collègues : s’il y a quelque chose à ne pas toucher, un composant délicat, on peut être sûr qu’en sa présence il sera cassé. Si les épreuves de recrutement avaient été autre que théoriques, elle ne serait jamais montée sur l’Arche, mais voilà, elle y est… Les services généraux connaissent son bureau par cœur, et ses collègues la fuient comme la peste. Pourtant, cette jolie petite brune à la peau bronzée est toujours d’humeur joyeuse, et optimiste jusqu’à l’écœurement, persuadée que cette fois ci, vous allez voir, tout va bien se passer. Autant que possible, elle est cantonnée à un rôle de conseil, et s’il te plait NON NE TOUCHE PAS A ÇA !

Euphémius a toujours été un homme avec la tête dans les nuages, et qui pourtant, est doté d'une mémoire exceptionnelle et d'une véritable passion. Une passion pour les vieux ouvrages, les archives, et le passé. Cela l'a mené dans des études d'Histoire, et avec le projet Arche : il postula pour étudier ce qui serait trouver...Ayant fait sa spécialité sur les Reïn'Ta et les traces qu'ils ont put laissé. Mais en dehors de cela...Euphémius a une autre passion.

C'est un romancier ! Un homme qui a l'amour des mots, et de l'écriture : et un esprit des plus fertile. L'arrivé sur Sorëan, et la découverte de la magie : cela l'a transcendé ! Il demanda à pouvoir visiter la Tour des Mages, et s'y rend encore régulièrement. Servant de "contact quasi-permanent" avec les mages de la Tour. Il a d'ailleurs aider à trouver les informations sur les Sombres Possédées...
Pourquoi cet intérêt ? Mais, voyons...Il a toujours dit et pensé que La Magie existait ! Grand fan de la saga Harry Potter devenu désuète : il est persuadé de posséder le don et travail d’arrache-pied à comprendre la magie sorëanne pour la manipuler ! Foi d'écrivain, il y arrivera ! Et ses écrits seront transcendé par sa compréhension de la magie, qui rendra ses écrits de fantasy bien plus réaliste !

Mais, en attendant, il est vrai que la majorité des Mages se demande s'ils doivent briser ses espoirs. C'est que, sous ses culs de bouteille, son regard d'enfant tout content devant un cadeau à la Noël vous font culpabiliser...Bah, même s'il est ridicule à essayer la magie encore et toujours, il n'en est pas moins chou, non ?