Irisia est une Noble, cela se voit et pourtant, il n’est pas sans dire qu’elle a un sacré caractère.

Douce et tendre, personne ne pourra le nier, l’impératrice est quelqu’un à l’écoute, une personne qui sourit pour réconforter les autres, toujours pleine de bonnes intentions. Souriante et cultivée, elle est de bonne compagnie, elle a la conversation facile et sa curiosité sans faille fait qu’aucun sujet n’est fardeau pour elle, qu’il traite des inventions ou de la magie en passant par l’accouchement de la dernière pouliche des écuries. Elle est toujours chaleureuse et ne refuse aucune discussion.
Patiente. Elle a apprit à l’être avec le temps, cette femmes à l’énergie débordante à apprit a tout canalisé pour se motiver à faire chacune des tâches qu’il lui incombe.

Intelligente. C’est une passion chez elle mais Irisia aime apprendre, elle aime connaitre ce qu’elle ignore et c’est avec grand plaisir qu’elle accepte les leçons et les explications. Ainsi, on peut dire qu’elle en a plus dans la tête que la noblesse féminine et leur beau rond de jambe.
C’est une passionnée du monde et de la découverte.

Cependant… Il n’est pas à oublier que la dame, aussi grande d’âme soit elle, a tout de même des points Négatif. Si elle est à l’écoute, elle à beaucoup de mal a accepter les rumeurs et les critiques, ce sont des choses qui lui mine le moral.
On ajoutera à ça un coté sérieux et tout de même un peu autoritaire, sans oublier le fait qu’elle est butée. Et finalement une jalousie certaine, bien que contenu. Elle a, d’ailleurs, une légère tendance à la domination…. Que voulez vous, personne n’est parfait.

C’est une combattante et quand elle décide de quelque chose, elle s’y tien malgré les mots et les gestes. Elle est ainsi

Pourtant, récemment, elle s’est découvert une soudaine fragilité. Elle a peur, elle est effrayée et ne sait plus sur quel pied dansé. Elle ne montre rien, on ne voit rien, pourtant, au fond d’elle-même, elle sait pertinemment que cette fragilité n’est pas là par hasard…

Que dire d’Irisia si ce n’est que physiquement. C’est une belle femme ?
Elle est grande et élancé, une taille fine et des formes graciles. Un port altier et finalement un jolie visage. Rien de plus compliqué, mais c’est une femme.

Cent-soixante-dix centimètre pour un poids tout de même assez léger, elle n’est pas anorexique pas d’inquiétude, mais tout de même bien fine pour taille de dix centimètre au dessus de la moyenne. Elle est ainsi, elle est comme ça et personne ne niera le fait, qu’elle est plantureuse.
On ajoute à cela un corps finement musclé, des jambes galbées, travaillé et finalement un ventre plat qui ne montre aucun embonpoint. Si l’on remonte, on peu noter une poitrine tout de même développé et un dos droit et légèrement cambré. Le tout est rehaussé par une peau légèrement tannée. Dorée par le soleil.

S’en suit un visage ovale et fin. Des lèvres légère, toujours paré d’un sourire polie ou tendre. Un nez légèrement retroussé et deux grands yeux sentimentaux d’une belle couleur d’améthyste. Un joli visage encadré par une belle chevelure longue et sombre aux reflets violets.

Suivant son physique harmonieux elle est toujours habillée de blanc ou de couleur saillant à sa peau tannée, comme le mauve. Peu couvert lors des saisons chaleureuses, elle arbore des hauts travaillés ainsi que des jupes ou des robes à la fois longue et courtes. L’hiver ne fait pas exemption, bien qu’elle soit plus sage et mettra des vêtements plus chaud et plus couvert. Bien qu’elles soit à préférer les tenus ou elle se sent bien, il faut savoir se plier aux exigences du statu d’impératrice non ?

Vous en êtes arrivé à me demander qui je suis ? Quelle est mon histoire. Comment en suis-je arrivée ici… Vous avez de la chance, ma jeunesse fait de mon histoire quelque chose de court. Certain vous direz même qu’elle est un peu lambda, mais bon, personnellement, j’aime ma vie avec ses hauts… Et ses bas…

Je suis la fille du Duc de Numis, née dans le palais qui trône sur son Duchet. Second enfant du duc il était clair que je ne reprendrais jamais la suite de mon père. J’étais destinée à tout autre chose. Un mariage ? Une vie d’étude ? De prêtrise. Que de choix, je ne vous le cacherais pas. Mais le mariage fut le plus probable.
Jeune enfant j’apprenais déjà à être une future dame, une future femme aussi. Les codes et l’étiquette de l’aristocratie Talrëan. La finesse et la grâce d’une femme noble de Talrëa, je passais par tout.

J’ai passé mon enfance entre les leçons et les livres, pourtant, cela ne ma pas plus dérangeait que ça. Je dois le dire, j’aimais apprendre, j’aimais lire, que ce soit lors des grands froids au coin d’un feu ou sous la chaleur du soleil au couvert d’un arbre.
Je me sentais bien, dans un univers qu’était le mien. Un monde d’intelligence. Rien de plus. J’aimais apprendre et chaque chose en ce monde éveillait ma curiosité encore grandissante.
Est-ce un mal pour une femme ? J’étais simplement plus cultivée que la moyenne, rien de plus.

En ce sens, je grandis entre les cours, les leçons et l’apprentissage autodidacte. Passant des bonnes manières à la chevaucher à cheval tout en étudiant les étoiles. Je dois vous l’avouer… Les étoiles et ce ciel de nuit me fascine plus que tout, c’est un secret bien gardé, quelque chose que peux de gens savent.

Puis, vint l’aube de mon adolescence, le temps des soirées, des bals et des sortit. Ainsi, j’étais présente aux visite de mon père, j’étais présentait aux invités. Pour lui je n’étais plus une enfant et il était temps de commencer les recherches d’un bon parti…
C’est ainsi que lors d’une visite impromptue, je fis la connaissance du Duc de Turquoise. Figure forte de notre empire.

Il était doux et…souriant ? Allez savoir, je n’ai jamais réussi à déchiffrer l’énigme qu’est cet homme.
Nos chemins se sont croisés et recroisés, il fut même possible, lors d’un temps court, que je devienne sa femme. Pourtant, ce ne fut pas le cas.
Je n’étais pas prête à épouser un homme et malgré la personne qu’est le duc, je préférais attendre un peu, que je sois plus adulte.

Mon adolescence fut ainsi. Trainé dans les soirées, dans les bals animés. Je ne saurais dire pourquoi, mais je n’aimais pas vraiment cela. Etre ainsi montré comme un objet dont on fait une vague promotion.

A l’arrivé de ma vingtième année, âge butoir pour me marier, celons mon père. Il devait être désespérer le pauvre… Une fille plus attirée par l’écriture, la lecture et tout autre éruditée plus que par les hommes et leur richesses. Bien que je ne sois pas rester sans fiancé. J’en ai eu d’ailleurs quelques un… Mais il faut croire que les hommes préfèrent les femmes stupides…

Enfin, vint le soir d’un bal, le temps d’une danse et une courtiseriez. Aller savoir pourquoi, mais un jeune, bien lotie, il paraitrait, avait prit pour objectif de me courtiser. Je l’ai repoussais, il est revenu à la charge, toujours plus. Un jeu de charme auquel il fut prit et moi avec… Cinq mois à tester sa personne, ses sentiments avant d’accepter, simplement, de dire oui a sa fin de cour, à sa demande en mariage.
Ou était le problème ? J’avais trouvé un époux, qui plus est empereur, on ne demandait, finalement, rien de plus.
Ainsi, je suis devenue Impératrice sous le nom et la dynastie des Nat Eiran. J’ai rejoint sa personne à la capitale. Pour vivre a ses cotés, l’aider dans ses tâches et faire ce qu’il incombe à une impératrice.

Nous sommes mariés depuis quatre ans et je pourrais dire que s’est… Comme au premier jour ? Si ce n’est plus.
Pourtant, les ombres se dressent, nous avons tenté d’avoir un enfant, de concrétiser cette famille que nous étions devenu, mais rien à faire… Après mainte essais, rien.
Je commençais à avoir peur, les rumeurs commençait à poindre, je ne savais plus quoi faire.
Alors, pour nous rassurer ou du moins, tenter… Nous avons fait appel à un mage, un mage qui a constaté, justifié mes craintes profondes, une infertilité certaine, une stérilité…

Je jongle aujourd’hui avec les railleries et les bruits de cours. La pression de Kadvael, devenu plus sombre et néfaste depuis notre mariage à Taranis et Moi… Je ne sais plus sur quel pied danser, quelle décision prendre.
Je ne sais pas… Et cette étoile tombé du ciel, je dois avouer qu’elle me fascine plus qu’autre chose. Tellement plus.